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PHILIPPINES - VISAYAS du 17 mars au 2 avril 2023
Voyage du 17 mars au 2 avril 2023
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 23 mars : (suite & fin)

Ce soir, un groupe de musique joue en live au bar de l'hôtel (en espérant qu'il ne joue pas jusqu'à 3 heures du matin, ce qui n’a pas été le cas, ouf...). Heureusement, notre table a été installée sur la plage un peu plus loin que d'habitude pour éviter que nous mangions les oreilles collées aux enceintes ;-). Après l'apéritif (Anne-Marie s'est pris un cocktail avec alcool, une margarita, mais Christophe, pour éviter que son nez se rebouche, n'a pas pris d'alcool : il a décidé de faire "Dry Safari", du moins, tant que nous plongerons), le repas commence invariablement par une soupe, de brocolis ce soir, très bonne car ça ne sentait pas le brocoli (grâce à beaucoup d'épices et d'autres plantes aromatiques, ça passe bien). Ensuite, nous découvrons le ceviche philippin qui se révèle excellent. Il est meilleur que le ceviche chilien mais il est incomparable au ceviche péruvien car la recette philippine est préparée avec du gingembre et d'autres épices. En plat principal, un grand plateau de fruits de mer cuits est déposé au centre de la table : calamars à la plancha, noix de pétoncle, moules, crevettes et morceaux de thon. C'est très bon, encore une fois !

soleil

Météo de la journée :
belle journée malgré quelques gros passages nuageux (mais rapides) vers 15 / 16 heures avec quelques éclairs à l'horizon. Mer un peu agitée au nord de l’île de Malapascua.

Vendredi 24 mars : Folie et vertige !

Après avoir pris le petit-déjeuner à l’hôtel et payé notre petite note de bar, nous quittons Malapascua vers 8 heures et demie du matin (ça a fait du bien que le réveil ne sonne pas à 5 heures du matin). Après une petite heure de navigation, nous nous préparons pour la dernière plongée sur "Kimud Shoal", en espérant revoir des requins-renards. Heureusement, il faut croire que le requin qui a sauté hors de l’eau hier a prévenu ses copains car ils sont venus en nombre danser un véritable ballet subaquatique ! Il y en a devant, pas trop loin de nous, sur le côté, de plus près, et au-dessus, à 3 mètres de nous. Nous ne savons pas où donner de la tête. C’est une plongée de folie !

On dit ces requins très timides, prêts à s’enfuir à la moindre contrariété comme des gestes brusques d’un plongeur ou une lampe allumée, pourtant ce matin, ils semblent curieux. On a l’impression qu’ils viennent nous voir, ce qui n’est sûrement pas le cas, mais nous n’observons pas aujourd’hui des requins craintifs. Même au palier (Anne-Marie qui est descendue avec l’appareil photo configuré avec un haut niveau d’ISO pour ne pas utiliser le flash, a un peu consommé ce matin), nous continuons d’observer des requins-renards tourner autour de nous. C’était une magnifique plongée pendant laquelle nous avons observé plein de requins-renards mais aussi des bonites, des gros poissons-ballons, trois petits calamars...

Après cette plongée exceptionnelle, le Katawa met le cap plein sud. Pendant l’heure et demie de navigation pour rejoindre l’île de Kalanggaman, une petite île plantée de cocotiers, au milieu de nulle part, nous observons des dauphins nager à proximité du bateau. Mais avant de visiter cette île, nous allons préalablement plonger au nord de celle-ci, le long du tombant la bordant. La mise à l’eau s’effectue au-dessus du sable mais après quelques coups de palmes, nous arrivons à l’aplomb d’un mur vertigineux qui descend tout droit vers les abysses. Bien que la visibilité soit très bonne, nous n’apercevons pas le fond qui serait 1.000 mètres plus bas, car l’obscurité devient totale après une centaine de mètres (au pifomètre). Il y a intérêt de bien vérifier que les lampes et le caisson photo soient accrochés car ils pourraient descendre jusqu’à des profondeurs où il serait impossible d’aller les rechercher (s’ils n’implosent pas avant).

Malgré sa verticalité, la paroi est bien concrétionnée par les coraux mous (alcyonaires) comme le corail à bulles, ou les anémones des mers. Nous observons alors une belle quantité de nudibranches, des poissons-clowns et quelques poissons-scorpions qui ont l’avantage de se laisser facilement prendre en photo (sans fuir comme le font les zanclus ou autres poissons-papillons qui sont assez craintifs). De retour sur le haut du tombant, nous observons aussi un poulpe mais il est maintenant temps de remonter dans les 6 mètres de profondeur pour effectuer le potentiel palier de décompression (après une cinquantaine de minutes de plongée, l’ordinateur de Christophe avait commencé à afficher un palier obligatoire mais celui-ci s’est effacé quelques minutes après le retour sur le haut du tombant).

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"Malapascua (12 / 13)"
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