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PHILIPPINES - VISAYAS du 17 mars au 2 avril 2023
Voyage du 17 mars au 2 avril 2023
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 17 mars : (suite & fin)

Nous rejoignons ensuite la porte 50 où nous embarquons à l'heure. Nous décollons à 18h56 (au lieu de 18h45, un tout petit retard) mais nous atterrissons carrément avec 14 minutes d'avance (à 20h16 au lieu de 20h30). Nous avons donc tout le temps de rejoindre tranquillement la porte d'embarquement pour le vol à destination de Singapour, sans avoir à repasser le moindre contrôle de sécurité. Nous avons juste à scanner notre passeport sur une borne de contrôle automatique (au fonctionnement rapide) pour passer en zone internationale et rejoindre la porte H18 (puis H32, elle avait changé entre-temps). Nous avons même le temps de visiter le terminal en long et en large avant le début de l'embarquement qui commence à l'heure. Nous décollons de nouveau avec 11 minutes de retard (une paille sur un vol international et surtout, depuis le Covid-19) à 22h31 (au lieu de 22h20).

Peu de temps après le décollage, un plateau repas nous est servi : salade de nouilles au goût surnaturel en entrée, un plat au choix, un bout de fromage de Brie (d'après l'emballage, mais ce fromage n'avait aucun goût) et une petite part de gâteau au chocolat (qui avait tout de même le goût de chocolat, contrairement à celui de KLM en novembre dernier). Comme Christophe est assis au milieu de la rangée de trois, il n'est pas servi par le même steward qu'Anne-Marie et il est servi plus rapidement, à son grand désespoir quand il découvre que le plat de ravioli qu'il a choisi comporte une grosse couche d'épinards ! Du coup, Anne-Marie change in-extremis son plat pour se récupérer du poulet teriyaki servi avec du riz et des légumes, plat qui est bien meilleur que les raviolis aux épinards. En plus, Anne-Marie récupère un verre de vin blanc pétillant. Cela dit, ces plateaux repas sont moins pires (aux épinards près) que ceux de KLM en novembre dernier.

Samedi 18 mars : Tout automatique !

Deux heures avant l'atterrissage, l'équipage nous sert un snack composé d'un yaourt, d'une barre de céréales et d'un sandwich au goût surnaturel, contenant une tranche de fromage et une sorte de ratatouille (froide) de pickles au vinaigre ! Nous atterrissons ensuite à Singapour avec une heure d'avance (16h26 au lieu de 17h25). Nous qui stressions comme pas possible sur les retards potentiels des vols, finalement, tout s'est très bien passé, sans le moindre retard, une première depuis 2019 (avant le Covid-19) !

Après le débarquement, rapide, s'en suit le passage de l'immigration ultra-rapide ! Nous avons juste eu à poser nos passeports sur le scanner de la borne automatique et de positionner nos pieds sur les marques jaunes pendant la reconnaissance faciale, sans même avoir à présenter l'autorisation que nous avions remplie deux jours auparavant sur internet et imprimée (cette remarque peut paraître absurde mais elle n'est pas si stupide que ça, car dans un pays géré par des fonctionnaires absurdes, comme la Chine pour ne pas la citer, il faut remplir une demande de visa avec 20.000 documents à présenter mais ça n'empêche pas qu'il faille passer à l'arrivée un premier contrôle totalement informatisé, puis remplir à la main un petit formulaire papier qu'il faut ensuite présenter à un policier : c'est le paradoxe de la Chine, ils utilisent le "QR code" bien avant qu'on commence à l’utiliser en Europe durant la pandémie de Covid-19, mais ils utilisent toujours les vieilles tracasseries administratives du siècle dernier). Bien que nos bagages soient enregistrés jusqu'à Cebu (et que nous ne soyons pas dans un aéroport d'Afrique du Sud ou des Etats-Unis), nous attendons tout de même un certain temps devant le tapis de livraison des bagages pour vérifier que les nôtres n'apparaissent pas ! Nous n'attendons cependant pas jusqu'à la livraison du dernier bagage car nous finissons par faire confiance à l'organisation singapourienne qui semble très efficace (il n'y a qu'à voir le contrôle de l'immigration).

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"Malapascua (2 / 13)"
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