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PHILIPPINES - VISAYAS du 25 mars au 9 avril 2017
Voyage du 25 mars au 9 avril 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 7 avril : "Carbon Market" !

Après le petit-déjeuner, nous quittons l’hôtel vers 8 heures et demie. Jean-Sébastien a réservé un minibus pour nous véhiculer jusqu’au "Carbon Market", puis à la "Basilica Minore del Santo Niño", toute proche du fort "San Pedro" et nous ramener à l’hôtel. D’après Vincent, bien qu’en dehors des itinéraires touristiques (à part les membres de notre groupe, nous n’avons pas croisé d’autres touristes sur le marché), le "Carbon Market" est suffisamment sûr pour que des touristes s’y rendent de jour (de nuit, ça serait certainement une autre histoire). A condition de ne pas étaler sa fortune (bijoux) et de faire un minimum attention aux pickpockets, il n’y a pas de danger particulier. C’est vrai que les alentours du marché sont très pauvres, surtout derrière le hall des bouchers (des gamins jouent nus dans des flaques d’eau peu ragoûtante), mais on ne s’y sent pas en insécurité. Nous sortons même nos appareils photo sans susciter la moindre animosité. Certes, une personne ne veut pas qu’on prenne sa maison en photo, mais nous circulons dans le marché dans l’indifférence totale des Philippins, et parfois nous sommes même accueillis avec de grands sourires, comme ces deux Philippins qui allaient remonter sur leur deux-roues et nous demandent de les prendre en photo.

Dès le début de la visite, une énorme averse s’abat sur le marché. Nous nous réfugions alors sous un abri en tôles ondulée au milieu des fleuristes qui préparent leurs fleurs comme si nous n’étions pas là. Nous sommes marqués par les gens qui essaient de dormir à peu près n’importe où dans le marché, entre les étals. La partie la plus difficile, olfactivement parlant, est celle du hall des bouchers et tripiers : rien ne se perd aux Philippines, des morceaux d’abats que nous ne consommons plus depuis des dizaines d’années en Europe (de l’ouest), sont encore vendus aux Philippines. Le marché est gigantesque, en un peu plus d’une heure, nous n’avons pas le temps d’en faire tout le tour mais c’était déjà une visite bien intéressante.

Nous rejoignons ensuite la "Basilica Minore del Santo Niño" où l’ambiance est différente (une mendiante et quelques vendeurs ambulants de vulgaires contrefaçons, nous ont abordés à la descente du minibus, mais sans insister lourdement). Après être passé devant la reconstitution de la croix de Magellan, nous entrons dans la basilique où se tient une grande messe en extérieur (interdiction de prendre des photos), retransmise sur des écrans dans la basilique même (c’est bientôt Pâques). La ferveur des Philippins est impressionnante, certains remontent les allées de la basilique à genou. Même au Vatican, nous n’avons pas vu cela.

Inutile d’espérer aller voir la relique que tous vénèrent ici : la file d’attente pour se rendre devant la statue "Santo Niño" est très longue. Comme notre intérêt de la voir est minime (à la rigueur, observer la dévotion des Philippins aurait pu être intéressant), nous préférons faire un rapide saut jusqu’au fort "San Pedro", une grosse muraille sans grand intérêt. Anne-Marie a cependant repéré un magasin de souvenirs et de T-shirts... La visite de cette boutique est donc incontournable après le passage devant le fort !

Après cette matinée de visite, nous rentrons à l’hôtel, en déposant au passage Jean-Sébastien dans un grand centre commercial (pour information, cette "excursion" nous a coûté 320 Php par personne, soit 6,20 euros, juste le prix de location du minibus et de chauffeur pour 3 heures et quelques, divisé par huit). Il est midi passé mais nous n’avons pas faim (nous avons bien, voire trop, mangé au petit-déjeuner). Nous retournons donc directement à la chambre pour mettre nos combinaisons et gilets stabilisateurs au soleil, dans le jardin. Après une petite sieste, nous nous rendons tout de même au restaurant de l’hôtel pour manger un morceau : calamar farci aux petits légumes (délicieux) pour Christophe et "fish & (quelques) chips" pour Anne-Marie ! Nous passons ensuite au bureau d’Abyssworld rapporter notre magret séché à Nicolas (personne ne semblait avoir pris de quelque chose à grignoter pour l’apéro, un magret séché à partager à 18 aurait été un peu juste et Nicolas saura en faire bon usage) et acheter quelques cartes postales (nous en avons même reçu une de plus, envoyée par Vincent et Nicolas pour nous remercier, sympathique attention ;-)).

Vers 4 heures de l’après-midi, nous passons faire un tour à la piscine : l’eau est plus froide qu’il y a deux semaines ! Deux hypothèses : soit il a tellement fait froid et tellement plu que la piscine s’est refroidie, ou soit nous nous sommes acclimatés. La première hypothèse semble la plus réaliste... Après ce bain, nous retournons dans la chambre pour refaire nos sacs, sans rien oublier (mission difficile vu que nous en avons mis partout dans la chambre). Demain matin, nous quittons l’hôtel à 8 et demie du matin. Heureusement, avec cette journée de soleil (et retournant régulièrement nos combinaisons), le matériel a bien séché, nous ne devrions pas payer de supplément bagage à cause de l’eau imprégnée dans nos affaires.

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