La météo bien sûr en plein juillet, il y fait très chaud ! Nous avons souffert de la chaleur sur le continent, mais c'était parfait dans les Cyclades !
L'ouzo et le vin résiné : ça fait pochtron mais que de bons moments passés à siroter un ouzo en regardant un coucher de soleil. Quant au vin résiné, c'est surprenant au début mais finalement pas mauvais.
Cyclades : Village de Ia à Santorin
Kastraki dans les Météores
Samedi 8 juillet :
Lorsque nous arrivons à l'aéroport "Charter" d'Athènes, à 9 heures du matin, nous ne parlons pas un mot de Grec (non, sans blague ) et c'est par gestes que nous essayons de faire comprendre au chauffeur de la navette qui relie l'aéroport au centre ville, que nous voulons rejoindre le terminal de bus. Nous avons bien failli nous payer deux kilomètres de marche à pied avec les sacs à dos (l'alphabet Grec, ce n'est pas si évident que ça au début ! Par la suite, nous nous y sommes mis et nous nous y sommes faits mais cela n'a pas été sans peine), mais heureusement, dans le bus, une mamie s'est bien doutée que nous descendions au terminal de bus et elle nous fait comprendre qu'il faut descendre bien plus tôt que nous le croyons (premier exemple du très bon accueil des Grecs).
Après deux heures d'attente et un "tiropitas" (ou "tyropittas" : feuilleté à la Féta - gare au piège, il y en a fourré aux épinards), à 13h30 pétantes, l'autocar quitte le terminal en direction de Trikala. Nous changeons ensuite d'autocar pour rejoindre Kalambaka et c'est vers 18h30 que nous arrivons enfin à Kastraki. Guide du Routard en poche, nous prenons une chambre à l'hôtel "France" (le patron et son fils parlent Français, ça fait du bien ; c'est fatiguant de ne parler qu'avec les mains) pour 9.0000 drachmes : elle est superbe, un mur en pierre du pays et la chambre donne sur les gros rochers des Météores.