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NOUVELLE-ZELANDE du 23 février au 19 mars 2025
Voyage du 23 février au 19 mars 2025
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 28 février : (suite & fin)

Après deux kilomètres de marche (pour atteindre un endroit au plus proche de l'île Ruby), nous opérons un demi-tour pour retourner au centre de Wānaka. Bien que pas extraordinaire en-soi (par rapport à ce que nous découvrirons par la suite en Nouvelle-Zélande), la ville possède néanmoins un certain charme, notamment grâce aux abords de sa plage bien aménagés (avec des toilettes publiques partout). Un de ces aménagements attire spécialement notre attention : il s’agit de dalles en béton alignées en une sorte de longue vague, où chaque dalle indique une date importante de l’histoire néo-zélandaise. En 1985, la France a d’ailleurs été l’auteur d’un de ces faits historiques : le sabotage du "Rainbow Warrior" par les services secrets français dans le port d’Auckland ! Pour la petite histoire, cette affaire nous vaudrait la découverte des kiwis (les fruits) en France : le gouvernement néo-zélandais, n’ayant pas apprécié que la France commette un attentat sur son territoire, aurait obtenu à titre de compensation que la France ouvre en grand ses portes à l’importation de kiwis néo-zélandais ! Difficile de savoir si cette histoire est vraie (personne ne s’en vante en France) mais c’est bien à partir de cette date que les kiwis néo-zélandais sont apparus en nombre sur les étals des marchés français (avant qu’on commence à cultiver ce fruit dans le sud-ouest de la France).

Arrivé au centre-ville, nous nous arrêtons boire un soda au "Lake Bar" avant de passer en revue les cartes de tous les restaurants du front de lac, pour choisir où nous mangerons ce soir (sans manger un hamburger, ni chinois, thaï ou pire, végétarien). Nous montons ensuite au "Wānaka War Memorial" d’où l’on jouit d’un bien joli point de vue sur le lac, bien qu’à contre-jour (il est 4 heures de l’après-midi). Nous nous demandons même si ce point de vue, très facilement accessible, n’est pas plus intéressant que celui depuis le sommet du mont Iron, bien que celui-ci soit bien plus haut mais aussi plus éloigné du centre-ville. Anne-Marie profite de cette petite pause au "Wānaka War Memorial" pour chercher sur internet des recommandations pour un restaurant. Avant de retourner au camping, nous passons donc devant le restaurant qu’elle a choisi, pour y réserver une table, mais celui-ci est encore fermé. Du coup, Anne-Marie réserve par le site internet du restaurant, même s’il lui faut laisser son numéro de carte bancaire (mesure servant à décourager les annulations sauvages).

Après nous être un peu reposés dans le van (nous avons quand même parcouru 5 km à pied) et avoir pris une douche, nous repartons à pied pour le centre-ville vers 6 heures et demie. Nous pensions être dans les premiers arrivés au restaurant mais la salle est déjà blindée de monde (les Néo-Zélandais mangent tôt, juste après l’"happy hour" où ils boivent une bière au bar). Heureusement que nous avions réservé une table. La patronne essaie de nous vendre une entrée mais un plat et éventuellement un dessert nous suffiront. Cependant, nous nous laissons convaincre par sa recommandation pour le vin (une fois qu’elle ait recommencé son explication à un rythme vocal moins rapide), même si le prix de la bouteille de pinot noir néo-zélandais est à 135 $NZ. Elle a juste tiqué quand nous lui avons demandé si nous pourrions emporter la bouteille si nous ne la finissions pas, car pour elle, nous allions la finir.

Nous avons commandé un assortiment de trois morceaux de viande, bœuf, agneau et venison (c’est-à-dire du cerf, sauvage pour celui-ci, bien que le serveur français qui nous a servi le plat ne savait pas ce qu’était le venison), cuits sur une pierre chaude (pierres apportées sur notre table) et servis avec une sauce (trop liquide) au vin rouge, des pommes de terre rôties dans la graisse de canard et un pesto à la tomate séchée. C’est très bon, même si les morceaux de viande sont un peu trop petits à notre goût. Le vin est excellent ! Au risque de choquer, nous n’avons jamais bu une aussi bonne bouteille de vin rouge dans un restaurant. La Nouvelle-Zélande vient donc d’entrer haut la main dans notre classement des meilleurs pays producteurs de vin. Pour finir les derniers centilitres de vin qui restent dans la bouteille, et parce que nous avons encore un peu faim, nous prenons un dessert, chacun : "warm chocolate brownie" avec une crème au Baileys et une boule de crème glacée (soi-disant à la vanille) pour Anne-Marie et "lemon curd cheesecake" pour Christophe. Heureusement que nous rentrons à pied au camping car nous sommes un peu saouls.

eclaircie

Météo de la journée :
quasiment le même scénario météorologique qu’hier : couvert le matin, dégagé l’après-midi. Il faisait bien chaud à Wānaka (nous avons même sorti les shorts pour marcher sur les rives du lac) bien que le vent se soit mis à souffler vers 6 heures et demie le soir (mais il s’est calmé après).

Kilomètres parcourus en van : 214 km

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"L'île du Sud (10 / 26)"
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