Samedi 21 décembre : (suite & fin)
4- Remplir une petite fiche avant de passer l'immigration.
5- Passer l'immigration où le policier se contente d’entasser cette fiche dans une pile avant de tamponner nos passeports.
6- Juste derrière les guichets de l'immigration, montrer son passeport tamponné à un autre agent.
7- Franchir le "vrai" contrôle de sécurité (toujours les femmes d'un côté, les hommes de l'autre) : inutile de sortir les appareils photo ou les tablettes des sacs, mais il faut enlever les chaussures et les passer au scanner à rayons-X.
8- Et enfin, juste derrière le contrôle de sécurité, faire tamponner par un agent de sécurité sa carte d'embarquement (avec option contrôle visuel du bagage cabine comme cela est arrivé à Juliette) !
Le hall d'embarquement de l'aéroport est gigantesque. Nombreuses sont les boutiques de "Duty Free" qui vendent des bouteilles d'alcool et des cigarettes. Puis, certaines boutiques proposent des sacs Vuithon ou Channel, empilés par dizaines sur leurs rayons. Et comme le fait remarquer l’un des vendeurs à un potentiel client, ces sacs coûtent bien moins chers que les originaux sauf si, bien évidemment, l'acheteur se fait prendre la main dans le sac contrefait à la douane française (et dans ce cas, il risque une amende de deux fois la valeur originale du produit)...
L'embarquement débute vers 4 heures de l'après-midi et il se fait en bus (donc, inutile de se précipiter pour l'embarquement prioritaire auquel nous pourrions avoir droit car le principe de la FILO n'a pas évolué depuis une semaine). Comme à l'aller, l'avion n'est pas plein et il reste une place libre à côté de nos deux sièges, tant mieux ! Le Boeing 737-800 décolle à 16h58 (au lieu de 16h45). C’est donc parti pour 5 heures d'avion avec un menu repas à 9 euros toujours aussi mauvais ! Comme le sandwich jambon-fromage de l'aller n'était pas terrible, nous voulions tester la pizza mais il n'y en a plus. Le steward nous propose alors des pâtes (un plat industriel qu'il faut passer au micro-onde) que nous acceptons, mais ces pâtes ne sont vraiment pas bonnes, tant pis ! Christophe avait enregistré un film de plus de 3 heures sur sa tablette, mais il est trop fatigué pour le regarder...
Nous atterrissons à Orly à 21h18, avec 12 minutes d'avance. Après avoir récupérer nos bagages et dit au revoir à Juliette et Florian, nous rejoignons la grande passerelle qui mène à l’hôtel qu'Anne-Marie a réservée (le même qu’à aller). Ce soir, notre chambre, située au rez-de-chaussée (exactement 4 étages sous celle de l'aller), est toujours aussi petite mais la télé fonctionne ! Néanmoins, avant de la regarder, nous refaisons nos sacs pour avoir au maximum 23 kg par bagage pour le vol de demain.
Météo de la journée :
soleil à Hurghada avec un petit vent rafraîchissant tout de même.
Dimanche 22 décembre : Grrrrr !
Réveil à 6 heures du matin, petit-déjeuner dans la foulée, sortie des bagages de la chambre sans se retrouver coincé en dehors et arrivée, avec le chariot à bagages, devant l'ascenseur de passerelle. Mille milliards de mille sabords : cet unique et seul ascenseur de ce côté de la passerelle est en panne ! Une affichette indique que nous pouvons prendre une navette pour rejoindre l'aérogare mais, au lieu de faire des centaines de mètres pour essayer de trouver cette navette, Christophe entreprend de monter, un à un, nos 3 bagages (heureusement, munies de roulettes pour les deux plus gros) par l'escalier menant en haut de la passerelle. Heureusement, après avoir traversé la passerelle (sans chariot car nous avons dû l'abandonner en bas de l'escalier), l'unique et seul ascenseur de la passerelle côté aérogare fonctionne, ouf...
Nous arrivons finalement à Orly 3 peu après 7 heures du matin où nous procédons à l'enregistrement du vol pour Toulouse. Il nous faut tout faire tout seul sur les bornes automatiques : impression des cartes d'embarquement et des tags bagages et dépose des bagages (les actionnaires d’"Air France" les veulent dorées à l'or fin ).
Nous passons ensuite le contrôle de sécurité dans Orly 2 où aucun panneau indique s'il faut sortir, ou non, les téléphones, tablettes et appareils photo des sacs pour le passage aux rayons-X. Malheureusement, ils n'ont pas des machines modernes comme à Orly 3 et il faut donc tout sortir sous les reproches de l'agent de sécurité qui nous aurait dit de le faire (au passage, les actionnaires d'ADP les veulent aussi dorées à l'or fin car ça doit être trop cher de prévoir des chariots de ménage qui restent en zone sécurisée, pour éviter de rendre pénible le travail des femmes de ménage qui doivent vider tous les objets de leur chariot de ménage, pour les passer aux rayons-X, lors du contrôle de sécurité).