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MER ROUGE NORD du 13 au 22 décembre 2024
Voyage du 13 au 22 décembre 2024
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 14 décembre : (suite)

Nous décollons, enfin, avec plus de 50 minutes de retard (à 10h26 au lieu de 9h35) car le plein d’eau de l’appareil n’avait pas encore été fait lorsque nous avons embarqué. Le Boeing 737-800 laisse assez de place entre les rangées, c’est donc assez confortable (en plus, l’avion n’est pas complet, nous avons un siège de libre à côté de nous). Un prise USB permet de brancher une tablette, ce qui est bien utile pour faire passer les 5 heures de vol car il n’y a aucun écran de divertissement à bord. Bien évidemment, "low cost" oblige, le menu à 9 euros "boisson / sandwich jambon-fromage" n’est pas terrible (Anne-Marie avait bien acheté des boissons et un paquet de financiers avant d’embarquer mais nous avions tout de même faim), mais Transavia nous semble cependant la moins pire des compagnies "low cost" ou charter que nous ayons empruntées.

Après le survol de l’Italie, de la Grèce et de la Méditerranée, nous arrivons enfin en vue des côtes égyptiennes, avec le Nil visible sur la droite de l’appareil. Il ne reste alors plus qu’un peu de désert et quelques montagnes à survoler avant l’atterrissage à Hurghada, à 15h48, avec seulement 3 minutes de retard sur l’horaire prévu.

En sortant de l’avion, nous nous posons subitement et tardivement la question du visa qui, heureusement après vérification de nos papiers, doit nous être remis à l’arrivée. Nous découvrons d’ailleurs, avant les comptoirs de l’immigration, les nombreux représentants des tour-opérateurs qui brandissent de panneaux à bout de bras pour récupérer leurs clients. On nous dirige alors vers un petit guichet "Sea Base - Volantis" où un employé appose l'autocollant du visa sur une page de nos passeports avant de nous remettre une fiche à remplir pour passer l’immigration. Bien évidemment, le policier se contente d’entasser cette fiche dans une pile avant de tamponner nos passeports tout neufs qui viennent donc d’être inaugurés. Nous le remercions par un choukrane (à défaut de photo du président René Coty, notre Raïs à nous :-$) qui lui fait visiblement plaisir, avant de rejoindre le hall de livraison des bagages.

Après avoir récupéré nos trois bagages (nous savions qu’ils étaient bien dans l’avion ;-)) et les avoir passés aux rayons-X du contrôle de douane, nous sommes les premiers à rejoindre l’employé de "Sea Base" qui nous attend à la sortie de l’aérogare. Deux autres participants de la croisière doivent nous rejoindre et nous ne tardons pas à être rejoint par Juliette et Florian qui est le propriétaire du sac photo qu’Anne-Marie avait repéré ce matin à Orly (elle aurait dû jouer au Loto) ! Sur le chemin pour rejoindre la marina d'Hurghada, nous nous arrêtons quelques instants devant le "Mahmya Beach" (où nous devrions passer la dernière demi-journée en Egypte avant de reprendre l'avion) pour récupérer Brigitte, une retraitée qui vient de faire une première croisière avec "Sea Base" et qui enchaîne avec une seconde cette semaine et même une troisième croisière plongée la semaine prochaine.

Hurghada a bien changé depuis 2005 (cela dit, nous l'avions à peine découverte cette année-là) et quand nous arrivons à la marina où est amarré à quai le Volantis, nous découvrons un nombre incroyable de bateaux de plongée... Le tourisme est vraiment une industrie florissante en Egypte (qui possède de très nombreux attraits touristiques dignes d'intérêt). Aussitôt embarqué sur le bateau, c'est déjà le briefing, avec jus de fruit frais de bienvenue, pour les 5 nouveaux arrivants que nous sommes : récupération des passeports, fiches à remplir (nous les avions déjà reçues par mail avant le départ), attribution du numéro de cabine (la n° 7 pour nous, celle près du bar, mauvaise pioche, mais bien meilleure pioche tout de même que les cabines inférieures près du local moteur) et des numéros de blocs (n° 26 et 27) et explications sur le fonctionnement du bateau (comme par exemple, les petites "cravates” en néoprène autour de la robinetterie du bloc pour indiquer si on veut un gonflage à l'air ou au nitrox).

Nous équipons ensuite nos blocs avec notre matériel de plongée (et cela ne se fait heureusement pas à 3 heures du matin comme avec Dune en 2005 et 2003), afin de vider nos sacs de plongées pour les ranger ensuite dans le grand espace prévu à cet effet sous le petit lit de la cabine. Nous croisons alors Amr, le cofondateur de "Sea Base", qui reconnaît (vaguement) nos visages car il était notre moniteur de plongée lors de notre croisière en Mer Rouge en 2005 (en 20 ans, il a un petit peu grossi, et nous beaucoup, mais il est toujours aussi sympathique). Avec tout ce que nous avons entendu sur "Sea Base" (et ce que nous découvrirons par nous-même dans la semaine), Amr a parfaitement su identifier les bons points de ses expériences passées pour en tirer le meilleur pour sa société, au grand bonheur de ses clients !

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"Récit du séjour (3 / 17)"
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