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MER ROUGE NORD du 13 au 22 décembre 2024
Voyage du 13 au 22 décembre 2024
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

sejour

Poisson porc-épic et couple de poissons-clowns à deux bandes à "Ras Za‘atar"

Vendredi 13 décembre : Préacheminement !

Nous quittons la maison à 11 heures et demie en taxi qui nous dépose à l’aéroport à midi. Les bornes d’enregistrement automatiques ne fonctionnent pas (sablier infini lors de l’impression des cartes d’embarquement sans que le moindre bout de papier, imprimé ou pas, ne sorte de la borne) mais heureusement, des hôtesses sont en poste pour procéder à l’enregistrement de manière traditionnelle (les actionnaires d’"Air France" n’ont heureusement pas encore totalement fini la déshumanisation du service aux passagers, mais cela ne saurait tarder, malheureusement).

Le contrôle de sécurité reste toujours aussi chaotique à Toulouse (ils sont même arrivés à être pire qu’à Orly 3 comme nous le découvrirons le lendemain, même si Orly 2 se bat encore bien pour défendre sa place haut dans le classement des aérogares les plus merdiques). Le caisson photo dans la valise cabine d’Anne-Marie pose un sérieux problème l’opératrice du scanner à rayons-X et elle n’arrive pas à se décider, ce qui prend du temps...

Certes, les agents de sécurité semblent mal formés, les appareils ne sont pas aux derniers cris (loin de là) mais les voyageurs sont aussi bien nombreux aujourd’hui et certains tentent même de passer (véridique) avec trois tubes de dentifrice et deux camemberts dans leur bagage, ce qui n’est pas vraiment autorisé en cabine...

Après le contrôle de sécurité, nous déjeunons dans l’aérogare : sandwichs au jambon ibérique (le jambon est bon mais le pain n’est pas terrible, il forme comme une sorte de pâte de farine avec le jus des tomates frottées à l’intérieur) et morceaux de tarte au citron meringuée (dont l’épaisseur de meringue ne ferait pas honte à un Péruvien). Il ne nous reste plus ensuite qu’à rejoindre la porte d’embarquement. Nous décollons à 14h09 avec quelques minutes de retard et nous atterrissons à Orly 2 sans problème, avec 4 minutes d’avance, à 15h16. Nous récupérons ensuite rapidement nos bagages car peu de passagers du vol voyageaient avec des bagages en soute.

Il nous reste maintenant à rejoindre le terminal 4 où nous devrions trouver une grande passerelle qui doit nous mener directement à l’hôtel situé dans la zone présomptueusement intitulée "Cœur d’Orly". Commence alors un véritable jeu de piste passant par l’Orlyval (ou il nous faut donc abandonner le chariot à bagages). Puis, il nous faut chercher quelle porte du terminal 4 veut bien fonctionner pour sortir de l’aérogare, puis chercher l’étroit, minuscule et unique ascenseur (de ce côté de la passerelle) qui permet d’accéder sur le dessus de la passerelle, la traverser, redescendre par l’ascenseur de l’autre côté (ascenseur toujours aussi unique, étroit et minuscule, nous y rentrons à peine avec le chariot et nos bagages) et enfin, arriver à la réception de l’hôtel ! Demain matin, il nous faudra prendre un peu de marge pour refaire ce périple en sens inverse.

Après avoir récupérer une clef magnétique à la réception, nous rejoignons notre minuscule chambre située au quatrième étage. Nous avons à peine de la place pour tourner autour du lit (et pourtant, il nous faut bien y caser nos trois bagages et le chariot que nous avons conservé) et la salle d’eau est si petite que pour s’asseoir sur les toilettes, il faut se contorsionner derrière le lavabo (en exagérant un peu ;-)). Mais, au moins, c’est à côté de l’aérogare et nous n’avons pas eu à prendre un taxi parisien qui nous aurait sûrement concocté un tarif touriste pas piqué des vers...

Le programme de l’après-midi est simple : rééquilibrage du poids des bagages pour que nous n’ayons que 10 kg en bagage cabine (nous avions le droit à 12 kg sur le vol "Air France") et 30 kilos en soute, par personne (dans la configuration de départ de Toulouse, l’un de nous deux aurait eu 23 kg de bagage et l’autre 32 kg ; cela dit, ce rééquilibrage était inutile mais nous ne l'apprendrons que le lendemain matin) et surf sur internet car le téléviseur de la chambre ne fonctionne pas (Anne-Marie est pourtant repassée à la réception de l’hôtel pour faire changer les piles de la télécommande mais ça ne marchait toujours pas).

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"Récit du séjour (1 / 17)"
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