Lundi 4 avril : (suite & fin)
Après une heure de baignade, nous retournons à l’appartement rincer et mettre à sécher nos maillots de bain (à 3 heures de l’après-midi, avec le vent, ils seront secs) avant de repartir vers 11 heures et demie, au centre-ville de Kralendijk pour aller manger chez Julian’s, avec une halte préalable dans l'un des magasins de souvenirs du centre (pour permettre à Anne-Marie de chercher le T-shirt souvenir qu’elle s'achète à chaque voyage). Nous n’arrivons donc qu’à midi chez Julian’s pour manger un bon filet de mahi-mahi (dorade coryphène) ou de wahoo (thazard noir ; nous n’avons pas noté le nom du poisson de manière exacte, désolé
), servi avec une persillade et des frites (mais nous aurions pu choisir du riz).
Après le repas, nous retournons glander à l’appartement (alors que nous aurions pu aller tamponner nos carnets de plongée chez "Dive Friends Bonaire" ; les cases tampon sont malheureusement restées vierges pour les plongées de ce séjour), avant de reprendre une activité que nous n'apprécions guère dans ce sens : finir de boucler nos bagages ! A 4 heures de l’après-midi, nous chargeons nos sacs dans le pick-up avant de de refaire le plein d’essence et de rendre le pick-up chez "AB Car Rental" où les formalités de retour sont réduites au minimales : l'employée a juste noté le kilométrage ! C’est le mécanicien qui avait regonflé nos pneus il y a presque une semaine qui nous ramène à l’aéroport au volant du pick-up. Il essaie de discuter avec nous mais il comprend peu l’anglais ou l’espagnol (pourtant, il nous semble avoir compris qu’il était de la Dominique ou de République Dominicaine).
Comme l’enregistrement ne commence que 3 heures avant le vol qui est prévu à 21 heures, nous attendons un bon moment sur l’un des bancs situés à l’extérieur de l’aérogare (comme ça, inutile de se prendre la tête sur le fait de devoir, ou non, porter un masque respiratoire). Bien évidemment, nous sommes les premiers devant les comptoirs d’enregistrement quand ceux-ci sont ouverts. Les formalités sanitaires se limitent à une seule question : êtes-vous vaccinés ? Et un oui oral, sans fournir de justificatif, suffit comme réponse !
Nous passons ensuite le contrôle de sécurité les doigts dans le nez (pourquoi en France et en Allemagne sommes-nous toujours suspectés de transporter une ogive nucléaire dans nos sacs photo ? Poutine ou Kim Jong-un n’ont pourtant pas besoin de nous pour les expédier...) avant de rejoindre la nouvelle salle d’attente avant l’embarquement, en terrasse en extérieur. Celle-ci est très agréable et ainsi, on n’a pas besoin de porter de masque respiratoire. Nous embarquons et décollons quasiment à l’heure (21h10 au lieu de 21h00). Bye-bye, Bonaire, à la prochaine fois !
Après un plat de "poulet-riz" et avoir visionné un seul film ("West Side Story" de Steven Spielberg), et encore pas juste au bout pour Christophe qui s'est endormi avant la fin du film, nous essayons bien tant que mal de dormir un peu. Presque plus aucun passager ne porte de masque mais l’équipage continue de le porter. Nous tentons plus ou moins (surtout moins) de conserver le nôtre (mais pour manger, il faut bien l'enlever et même pour un temps suffisamment long pour risquer être contaminé s'il n'y avait pas la climatisation de l'avion), mais celui-ci est quand même très inconfortable quand on essaie de dormir.
Météo de la journée :
Journée grisonnante, ça ne s'est pas levé, sauf le soir, quand nous étions à l’aéroport .