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BONAIRE du 21 mars au 5 avril 2022
Voyage du 21 mars au 5 avril 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 2 avril : (suite)

Nous larguons les amarres un peu avant une heure de l’après-midi. Après avoir traversé les canaux de la marina de Port Bonaire, nous mettons le cap vers le nord, en longeant la côte de l’île (et en passant devant l’immense paquebot de croisière à quai aujourd’hui à Kralendijk, sa hauteur est à la fois impressionnante et cauchemardesque :-$). Comme nous l’avait conseillé Juan-Marco, ce n’est qu’au niveau du quai des navettes maritimes pour "Klein Bonaire" (situé un peu avant "Bari Reef") que nous mettons le cap plein est pour rejoindre justement "Klein Bonaire". Après avoir rejoint cette petite île, nous nous mettons à la recherche d’une bouée jaune pour nous amarrer mais les premières que nous croisons sont occupées. Ce n’est que bien après la plage de "No Name Beach" que nous trouvons enfin une bouée libre. L’amarrage n’est pas des plus exemplaires, loin de là (nous avons dû avoir nos permis bateau dans un paquet Bonux). Disons même qu’il a été des plus laborieux mais au moins, nous n’avons pas coulé, ni enroulé le boot dans l’hélice ;-). Il faut dire que la bouée bougeait dans tous les sens, on comprend donc facilement pourquoi cette bouée était inoccupée. Après avoir installé l’échelle, Christophe tente une mise à l’eau pour vérifier s’il est facile de remonter à bord. Malheureusement, le tableau arrière où s’accroche l’échelle, est penché dans un sens qui nécessite d’escalader l’échelle en dévers pour remonter à bord, avec les premiers barreaux de l’échelle sur la coque du bateau ! Christophe remonte donc avec difficultés, en se mettant plein de graisse du moteur sur ses jambes (et il en a mis ensuite partout dans le bateau). Ca serait mission impossible pour Anne-Marie de remonter à bord.

Nous décidons alors de renoncer à nous baigner pour profiter du bateau pour visiter un peu plus loin l’île de à "Klein Bonaire", même si les 25 cv du moteur ne nous permettent pas d’aller bien vite. Nous ne faisons pas le tour complet de cette petite île mais nous avons presque dû rejoindre son extrémité occidentale avant de faire demi-tour. Après être repasser devant la plage de "No Name Beach", nous mettons le cap vers les deux énormes citernes d’eau de l’usine de désalinisation (celles situées au nord de "Hamlet Oasis"). De retour à proximité du rivage de Bonaire, Anne-Marie prend alors la barre pour la suite du programme : cap vers le nord, en suivant la côte, pour voir depuis la mer les sites où nous avons plongé ! Après avoir passé "Oil Slick Leap" et "Weber’s Joy", nous faisons demi-tour au niveau de "1.000 Steps" car ça nous prendrait trop de temps pour monter jusqu’à Tolo (et encore plus pour Karpata).

Nous passons ensuite bien évidemment devant "The Cliff" et "Bari Reef" avant de retraverser Kralendijk. Comme nous avons encore du temps devant nous, nous poussons jusqu’à "Bachelor’s Beach", ce qui nous permet bien évidemment de passer devant Windsock. De retour vers la marina, Anne-Marie fait faire des prouesses au petit moteur 25 cv : nous ne sommes jamais allés aussi vite depuis le début de l’après-midi ! Il faut dire qu’avec le vent dans le dos et sans vague, le frêle esquif file à toute vitesse.

Que font ces immeubles sur notre terrain-vague ?

Néanmoins, dès que nous passons l’entrée du chenal pour rentrer dans la marina, l’affaire se corse car avec le vent, l’inertie du bateau (bien que léger) et l’absence de direction si on ne met pas assez de moteur, le bateau refuse de suivre la trajectoire désirée. Anne-Marie fait alors des ronds dans l’eau (il faut dire qu’elle manque de patience et change de manœuvre avant même que la précédente porte ses fruits, même si c’est plus évident à dire que de faire). Christophe reprend ensuite la barre et arrive un peu mieux à dompter la bête qui n’est tout de même pas simple à manœuvrer dans les canaux étroits de la marina. De plus, les canaux forment un véritable labyrinthe et bien évidemment, nous nous trompons et arrivons du côté de la piscine de la résidence. Il fallait prendre le canal suivant pour revenir devant notre appartement où l’amarrage est très laborieux (ou, des pare-battages sont installés le long du quai en bois). Heureusement, il n'est que 5 heures moins 10, personne n’a vu notre démonstration de tout ce qu’il ne fallait pas faire pour s’amarrer à un quai.

Jean-Marco est passé un peu après 5 heures, en coup de vent, sans même récupérer les clefs du bateau, ni l’argent de la location. Cependant nous n’avons pas le temps de l’attendre plus longtemps car il faut nous partir faire des dernières courses au supermarché avant la fin du séjour et remettre 30 $US d’essence dans le pick-up pour le programme de demain (à titre informatif, il faut payer avant de faire le plein et remonter un bitoniau sur la pompe pour enfin visualiser la somme payée sur l'afficheur de la pompe).

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"Récit du séjour (19 / 23)"
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