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BONAIRE du 21 mars au 5 avril 2022
Voyage du 21 mars au 5 avril 2022
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 21 mars : (suite)

Après un rapide saut de puce entre Bruxelles et Amsterdam, nous sommes déçus en traversant l'aérogare de Schiphol : l’emblématique message "Mind your step !" n'est plus diffusé au bout des tapis roulants ! Tout se perd, même quelque chose de bien plus important qui faisait la réputation de cet aérogare batave, mais ça nous ne le savions pas encore... Heureusement les boutiques sont toujours ouvertes et nous en profitons pour acheter 3 boîtes de gaufrettes fourrées que nous mangerons en guise de petit-déjeuner demain matin (et maintenant, avec un Coca-Cola, en guise de pré-déjeuner car l'heure de décollage de notre vol transatlantique n'est prévue qu'à 13h45). Nous embarquons à l'heure dans le Boeing B-777 à destination d'Aruba et de Bonaire, mais le commandant de bord ne tarde pas à nous prévenir d'un (premier) problème : il n'y a pas assez de pression dans le système sous-terrain de distribution du kérosène de l'aérogare et la camion-pompe ne peut pas effectuer le remplissage de l'avion ! Nous perdons donc une première demi-heure pour que le système de l'aérogare soit réparé, plus une demi-heure pour faire le plein de l'avion. Après une heure d'attente, le tracteur nous pousse enfin sur la piste avant qu'il ne se passe plus rien : nous ne reculons plus, ni n'avançons ! Le commandant nous annonce alors qu'ils n'arrivent pas à décrocher le tracteur de l'avion ! Avec une nouvelle heure de retard, la ponctualité légendaire de Schiphol prend du plomb dans l'aile.

Finalement, nous décollons à 15h47 au lieu de 13h45, après avoir eu le temps de regarder un premier film. Vol ensuite sans histoire : repas (bof), puis sandwich au tzatzíki et petit en-cas (la fameuse petite pizza "calzone regina") une heure avant l'atterrissage à Aruba, à 20h10 au lieu de 18h35 (on a au moins rattrapé une demi-heure sur les deux heures de retard). Avant de débarquer à Aruba, l'équipage nous annonce une mauvaise nouvelle : la réglementation a changé et nous ne pouvons plus laisser d'affaires à bord (ce qui nous évitait de devoir repasser le matériel photo au scanner de sécurité à Aruba). Mais heureusement, cette annonce est suivie d'une bonne nouvelle : en descendant de l'avion, nous pouvons directement rejoindre la salle d'embarquement, sans avoir à repasser le contrôle de sécurité qui prenait vraiment beaucoup de temps !

Après une bonne attente à Aruba (la même durée d'attente que d'ordinaire), nous retrouvons nos places dans le Boeing B-777 pour un dernier saut de puce jusqu'à Bonaire, de seulement 24 minutes de vol. Finalement, nous atterrissons à 22h06, avec seulement une heure et 16 minutes de retard sur l'horaire prévue. Malheureusement, avant d'entrer dans l'aérogare, il faut attendre dehors (normalement avec le masque sur le nez, ce qui est quasiment inutile en extérieur lorsque les distance de sécurité sont respectées et surtout très inconfortable avec la chaleur et l'humidité ; inutile de préciser que la grande majorité des passagers ne respectent pas cette mesure, bien que respectant la distanciation) que le personnel sanitaire vérifie nos papiers. Nous apprenons alors qu’étant français, et non pas néerlandais, nous n'avions pas besoin de faire de test mais la nouvelle de réglementation n'est devenue effective qu'hier et celle-ci était loin d'être claire car elle faisait référence au pays de provenance (les Pays-Bas ou le reste du monde) et non pas à la citoyenneté (néerlandaise ou française). A titre informatif, courant avril, Bonaire a supprimé l'obligation de test pour les Néerlandais, peu de temps après que le gouvernement néerlandais ait supprimé le test pour se rendre au Pays-Bas depuis Bonaire... Quand les fonctionnaires de tous pays auront fini de jouer à la barbichette, le monde ira mieux !

L'avantage de la longue attente sanitaire est que nous n'avons pas eu à attendre pour le contrôle de police (effectué par la gendarmerie des Pays-Bas, ce qui semblerait prouver que Bonaire est bien un territoire néerlandais), ni pour la livraison des bagages qui étaient déjà arrivés et sortis du tapis de livraison. Enfin, presque tous, cas nous ne trouvons pas le sac de plongée d'Anne-Marie, alors que les derniers bagages de l'avion sont en train de tourner sur le tapis et qu'un sac de plongée, ressemblant à celui d'Anne-Marie, entouré d'une ceinture rose comme le sac d'Anne-Marie, trône seul au milieu du hall. Pourvu que le propriétaire de ce sac ne soit pas trompé ! Christophe refait alors un dernier tour du hall de livraison et trouve finalement le sac d'Anne-Marie caché par d'autres bagages dans un coin du hall.

A l'extérieur de l'aérogare, notre chauffeur nous attendait. Après avoir payé le parking, il ne reste plus qu'une toute petite dizaine de minutes de route pour rejoindre l’appartement. Il est grand et les deux climatisations tournent à fond, il ne fait que 18 °C dans l'appartement ! Christophe s'empresse de corriger cela au plus vite : 27 °C dans la chambre, juste pour avoir un filet d'air au-dessus du lit, sans que ça souffle froid, et 24 °C dans le séjour, juste pour rafraîchir un peu l'appartement (et c'était encore trop frais).

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"Récit du séjour (2 / 23)"
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