Chevalier ponctué juvénile à "Bari Reef"

Lundi 21 mars : 25 heures !

Le réveil sonne à 4 heures du matin. Le taxi passe nous prendre à 4h45 et à 5h05, nous sommes dans le hall de départ de l'aérogare de Toulouse-Blagnac, devant les guichets d'enregistrement de "Brussels Airlines", soit 2 heures avant le décollage comme cela est recommandé pour respecter les mesures Covid (pour avoir le temps de procéder à la vérification des multiples formulaires et résultats de test qu'il faut présenter à l'enregistrement à cause des réglementations Covid assez complexes). Il n'y a heureusement pas grand monde et l'enregistrement s'effectue rapidement. Nous avons juste eu peur quand l'hôtesse ne retrouvait pas la référence du 3ème bagage en soute que nous avions payé, alors qu'hier, 4 bagages apparaissaient sur les billets à la suite du changement de vols. Le passage du contrôle de sécurité est un peu plus lent et le contrôle de la police des frontières est encore plus lent. Pour vérifier notre identité, l'agent nous demande de baisser le masque en nous faisant remarquer que le port n'est plus obligatoire (cela est ahurissant car on peut donc potentiellement se contaminer sans masque dans les halls de l’aérogare, mais le port du masque est toujours obligatoire dans l’avion où le risque de contamination est bien plus faible que dans l’aérogare, grâce à une climatisation et une filtration performante). Cependant, nous préférons le porter encore car le taux d'incidence n'est tout de même pas bien bas et ça serait vraiment stupide d’attraper le Covid à l'aéroport (ou une bronchite ou la grippe) et de gâcher notre voyage "plongée".

Le vol "Brussels Airlines" à destination de Bruxelles décolle à l'heure mais c'est un vol "sec" car le service à bord est payant (et cher) : 3 euros la tasse de café, 3 euros la canette de Coca-Cola, 3 euros de bol de soupe à la tomate (chimique ?) et la moindre goutte d'alcool est à 6 euros (bien que nous ne comptions pas en boire). Nous attendrons donc l'atterrissage pour avaler un petit complément à notre rapide petit-déjeuner de 4 heures du matin mais le bon petit sandwich au fromage de KLM nous manque ! Finalement, c'est aussi cher dans l'aérogare de Bruxelles mais nous nous laissons tout de même tenter par une très bonne gaufre liégeoise (la ronde, avec des perles de sucre ; malgré son nom d'origine belge, c'est la première fois que Christophe en mange une et c'était un gros loupé car cette gaufre est vraiment très bonne, bien que ce bar de l'aéroport de Bruxelles ne fasse peut-être pas les meilleures gaufres liégeoises de Belgique) avec un chocolat chaud (à la machine, moins bon). Un jour, il nous faudra revenir visiter la capitale belge pour se régaler de nouvelles gaufres liégeoises , c'est juste à moins de deux heures d'avion de Toulouse !

Après cette gaufre, nous retournons au rez-de-chaussée de l'aérogare, juste pour nous apercevoir que la porte d'embarquement de notre vol pour Amsterdam est située au premier étage. Dans les bonnes nouvelles de la journée, nous n'avons pas à repasser de contrôle de sécurité, ce qui est une très bonne nouvelle car avec le matériel de prise de vues sous-marines, ça peut être galère de vider entièrement le sac photo pour le passer aux rayons-X. Notre vol KLM pour Amsterdam embarque à l'heure prévue, en suivant les numéros de groupe mais aucun numéro de groupe n'est mentionné sur nos cartes d'embarquement Lufthansa ("Brussels Airlines" est membre de "Star Alliance", comme la compagnie teutonne). L'hôtesse de KLM nous refait donc nos cartes d'embarquement, en vérifiant au passage les formulaires et résultats de test que nous avions remplis et déposés hier sur le site de la compagnie.