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PAYS BASQUE du 26 septembre au 7 octobre 2021
Voyage du 26 septembre au 7 octobre 2021
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 3 octobre : (suite)

Anne-Marie se renseigne ensuite au comptoir information pour savoir à partir de quelle heure nous pourrons entrer : 13 heures, comme indiqué sur nos billets ! Cela nous laisse le temps de visiter l’espace ZERO dont la porte d’accès est située juste à côté du comptoir information. Dans une pièce avec deux murs couverts de miroirs, est projeté un film sur le quartier du musée avant sa construction mais aussi sur sa construction et les collections du musée, intéressant !

A 13 heures moins 10, nous tentons tout de même notre chance au contrôle des billets : ça marche, nous pouvons entrer ! Nous commençons la visite par l’exposition sur Alice Neel, une artiste américaine du XXème siècle : quelques tableaux intéressants, quelques-uns bizarres, mais ça restera pour nous la partie la plus intéressante du musée. Après cette exposition, nous montons directement au second étage (le premier étage est fermé car une exposition est en train d'être mise en place) par l’escalier (pour des raisons de Covid-19, un escalier est réservé à la montée et un autre à la descente, pour éviter que les gens se croisent, alors qu’ils se côtoient quelques minutes dans les ascenseurs dont l’utilisation est déconseillée mais qui sont tout de même largement utilisés pour monter ou descendre). Nous donnons alors libre court à notre imagination pour renommer les œuvres exposées (il le faut bien car de nombreux artistes n’ont pas intitulé leurs œuvres, ou n’ont pas osé le faire pour le pas contrarier leurs acheteurs voyant dans ces œuvres quelque chose d’exceptionnel ; ah, oui, l’art moderne et nous, ça fait un peu deux ;-)). "Sin título (Habitación de alabastro)" devient ainsi le "petit auvent en albâtre" ! En revanche, nous restons sans idée devant "La grande Anthropométrie bleue" : c’est un pot de peinture bleue jeté sur une grande toile blanche, c’est ça, non ? Un tableau, du jaune et une bande rouge en bas (l’artiste, Mark Rothko, n’a pas intitulé son œuvre) : ne manque-t-il pas une bande de couleur rouge en haut pour le drapeau espagnol ?

"Iberia", un tableau presque uniformément noir avec un petit bout non peint, resté blanc, en bas à gauche : les fins de mois devaient être difficiles et l’artiste avait déjà utilisé tout son pot de peinture noire ? "Survival Series : Men don't protect..." : c’est juste un banc en granite rouge ? "Caja metafísica por conjunción de dos triedros. Homenaje a Leonardo" ou ‘"Caja vacía con gran apertura" : ce sont bien des boîtes en métal, mal ajustées ? Et "Bérénice" (plomb, verre, photographies et cheveux) : une maquette d’avion crashé et ratée ? A la rigueur, quelques œuvres comme "Object for Reflection" attirent notre attention mais pour certaines comme "Man from Naples", nous nous demandons vraiment ce qu’elles font dans un musée !

Après le second étage, nous redescendons au rez-de-chaussée. "Installation for Bilbao", une installation électronique faite de LEDs clignotantes et de flashs, fait carrément mal aux yeux ! Dans une salle toute proche, un film est projeté : des danseurs qui dansent (heureusement) dans des flaques d’eau, un soir d’orage, soit... "The Matter of Time", une série des grosses plaques de métal ondulantes, est intéressant, surtout pour quelqu’un ayant conservé son esprit d’enfant de 10 ans, mais on ne peut pas passer partout à cause des restrictions Covid-19. En fait, c’est sur la terrasse extérieure que se trouvent les œuvres que nous avons le plus appréciées (elles sont visibles depuis l’extérieur) : "Tulipes" de Jeff Koons (qui est aussi l’auteur du "Puppy" situé devant le musée mais qui est en pleine restauration) et le "Tall Tree & The Eye" d’Anish Kapoor, une colonne impressionnante de 73 sphères réfléchissantes. Notons cependant que l’architecture extérieure ou intérieure du bâtiment est vraiment exceptionnelle et vaut au moins la visite du musée. Nous avons passé une heure à l’intérieur du musée, pour nous c’était largement suffisant (pour éviter de ne rien faire, coincé dans le van sous la pluie).

Nous prenons ensuite le tramway pour revenir dans le vieux quartier où nous nous mettons en quête de nourriture. Malheureusement, les magasins de (sandwiches au) jambon ibérique sont fermés mais nous nous rabattons sur le bar Sasibil, situé en face du restaurant Berton où nous avons mangé hier au soir (c’est le même propriétaire). Nous avalons alors deux verres de cidre chacun mais aussi 10 pintxos variés, une tortilla et des beignets de calamar. C’était très bon et nous commencions à avoir très faim.

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"Récit du séjour (17 / 24)"
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