-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
PAYS BASQUE du 26 septembre au 7 octobre 2021
Voyage du 26 septembre au 7 octobre 2021
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 1er octobre : (suite)

Comme les prévisions météo pour demain sont bonnes (avant une forte dégradation pour la nuit de samedi à dimanche), nous décidons de nous rendre au camping de Gorliz, situé à proximité (relative) de l'ermitage de "San Juan de Gaztelugatxe" qu’il serait préférable de visiter sous le soleil (alors que nous pourrons visiter le musée Guggenheim à Bilbao sous la pluie). C’est donc parti pour une longue route jusqu’à la côte basque, en passant par Bilbao. Pour profiter de la verte campagne basque, nous avons programmé le GPS pour qu’il évite les autoroutes, mais juste après le village de "San Zadornil", alors que nous roulons sur la large BU-555, le GPS nous fait bifurquer à gauche dans l’étroite BU-V-5583 qui nous fait passer devant la belle "Colegiata de Valpuesta", avant de nous mener dans les étroites ruelles du village de Mioma. Le problème est que ce village est un véritable cul-de-sac et que le GPS comptait nous faire passer par un chemin de terre ! Christophe doit alors faire une grande marche arrière, entre les murs des maisons... Inutile de préciser que nous suivrons par la suite les indications de "Google Maps" sur smartphone (même si cela pose aussi quelques problèmes dans les zones où la 4G n’est pas disponible). Jamais notre GPS nous avait autant enduit en erreur (nous venions de faire la mise à jour des cartes et cette nouvelle carte contient sûrement des erreurs cartographiques qui expliqueraient cette navigation hasardeuse). Le GPS récidivera ensuite un peu avant Gorliz, en essayant de nous faire emprunter un escalier (ça aurait été un beau raccourci si nous avions été à pied).

Nous arrivons au camping de Gorliz vers 5 heures et demie de l'après-midi, après avoir traversé Bilbao par les voies rapides. Le sympathique réceptionniste du camping (certainement le propriétaire même) parle toutes les langues : espagnol, français allemand, etc... Il nous indique que nous pouvons nous installer où nous voulons en cette saison. Heureusement car les emplacements indiqués sur une carte affichée à l’entrée du camping ne sont pas du tout matérialisés in-situ. Après avoir essayé deux emplacements (ça serait dommage de se coller à quelqu’un d’autre alors que les places libres ne manquent pas), nous finissons par trouver notre bonheur près d’une table de pique-nique.

Nous passons ensuite à la supérette du camping pour faire quelques courses (le réceptionniste-propriétaire se transforme alors en caissier) avant d’aller prendre une douche bien chaude (les sanitaires sont vieillots mais propres). Comme la plage est proche du camping (400 mètres d’après le propriétaire, ce qui était vrai, mais à vol d’oiseau, il fallait faire le tour du stade), nous allons y faire un tour à pied. Elle est immense (à marée basse) et bien belle, nichée au fond d’une grande baie entourée de rochers. En bord de plage, nous profitons de la terrasse d’un bar aménagé dans un container pour boire un verre de vin : 1,50 euros le verre, moins cher qu’un verre de Coca-Cola, pour des vins pas mauvais du tout !

Nous continuons ensuite notre balade en bord de plage, jusqu’à port de Plentzia (la ville où l'on peut prendre le train pour se rendre à Bilbao, ce qui peut être une bonne idée pour ne pas s’ennuyer avec la circulation et le stationnement dans cette grande ville). Anne-Marie était motivée par la marche car elle venait de repérer sur internet le restaurant "Zuen Etxea" (bien que le propriétaire du camping nous avait dit que les restaurants de Gorliz étaient fermés le soir, ce qui était presque vrai, car ce restaurant n’ouvrait plus que le midi en semaine, mais aussi le vendredi soir et le samedi soir). Petit problème : le service ne commence pas avant 9 heures moins le quart. Nous réservons donc une table pour cette heure et nous attendons une demi-heure en faisant le tour du quartier et du port de plaisance (les bateaux sont bien bas car c’est marée basse).

Avec un verre de (bon) vin blanc en apéritif (et une bouteille d’eau gazeuse ensuite), nous commandons en entrée une assiette d’anchois à l’ail et comme il n’y avait plus de poivrons, une assiette de "jamón ibérico de cebo" (fabriqué à partir de porcs ibériques nourris à la ferme, alors que "jamón ibérico de bellota" est fabriqué à partir de porcs ibériques élevés en liberté avec une nourriture à base de glands). Nous choisissons ensuite le turbot à la plancha, servi avec des pommes de terre et de l’ail grillé, sans savoir pour combien nous en aurons (le prix est fonction du poids). Les morceaux de poissons sont vraiment délicieux ! Et finalement, l’addition ne sera pas trop salée (nous n’avons pas pris de dessert car nous n’avions plus faim) : 80 euros en tout, dont 44 euros de turbot et 2,50 le verre de vin.

Nous rentrons ensuite au camping en passant par les rues éclairées (passer par la plage, de nuit, et à travers le bois, nous semblait moins sûr) : 1,6 km de marche à rajouter aux 12 km de la randonnée à Valderejo !

Page n° 23 sur 36 :

"Récit du séjour (13 / 24)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.