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PAYS BASQUE du 26 septembre au 7 octobre 2021
Voyage du 26 septembre au 7 octobre 2021
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 27 septembre : (suite & fin)

En entrée, nous avons eu une grosse "Ensalada de salmón marinado con gulas al ajillo" à partager. Le saumon était très bon mais nous nous sommes demandé ce qu'étaient les sortes de gros vermicelles, blancs d’un côté et grisâtres de l’autre, posées au-dessus de la salade et qui n'étaient pas mauvais (mais sans trop de goût tout de même) ! C'était justement les "gulas al ajillo" (un plat basque), c'est-à-dire des civelles, des petits alevins d’anguilles (en regardant bien, on distinguait les minuscules nageoires et les yeux), cuites dans l’ail. C’était quand-même un peu étrange ! En plat, nous avons eu une "1⁄2 paletilla de ternasco de Aragón asada" par personne, c'est-à-dire un gros morceau d’épaule d’agneau par personne, cuit lentement au four et servi avec des pommes de terre cuite au four et des morceaux de poivron. C’était excellent ! La viande était toute fondante, un régal, surtout accompagné d’un verre de "3404 D.O. Somontano", un bon vin rouge d’Aragon. Et enfin, en dessert, Anne-Marie a choisi la "Torrija de Aragón con natilla, chocolate y helado", du pain perdu recette aragonaise avec de la crème anglaise, du chocolat et une boule de glace à la vanille, et Christophe, le "Yogurt artesano de oveja con sésamo, cereales y miel", un yaourt de brebis avec des céréales, des fruits rouges et du miel.

Kilomètres parcourus en van dans la journée : 25 km

Kilomètres parcourus en van depuis le départ : 305 km

eclaircie

Météo de la journée :
le matin, presque un grand ciel bleu s’il n’y avait un léger voile de nuages sur les hauteurs. Un peu gris, le soir, en fin de randonnée (16 °C au thermomètre du van au retour de randonnée ; il faisait 10 °C le matin, au réveil).

Le cirque de Soaso et le "Monte Perdido"

Mardi 28 septembre : Labyrinthe !

Nous quittons le camping à 10 heures du matin, après avoir tenté d’organiser le contenu de la soute du van de manière pratique (mais, ça ne devait pas l’être car le soir, nous avons dû de nouveau tout ressortir pour trouver nos affaires de vélo). Pour rejoindre les "Bardenas Reales", nous reprenons la route de l’avant-veille, l’étroite N-260 jusqu’à Fiscal (où, il n’y a pas de contrôle ;-)), avant de bifurquer vers l’est sur une route bien plus large (qui est aussi numérotée N-260). Nous ne tardons pas ensuite à rejoindre une 2x2 voies, la E-7, qui présente une caractéristique assez surprenante : les deux voies opposées suivent un itinéraire très différent de celui des 2 voies que nous empruntons, et ce, pendant plusieurs kilomètres !

En arrivant à proximité de Huesco, le soleil fait sa réapparition (c’était tout gris à Torla-Ordesa ce matin, avec des bancs de brouillard), au même moment que l’apparition d’un panneau de signalisation indiquant la direction du château de Loarre. Hier, nous avions recherché des visites qui auraient pu animer cette journée de route, mais les prévisions météo nous avaient fait quelque peu renoncer. Mais puisque le temps semble s’améliorer, allons-y, le château de Loarre n’est plus qu’à 30 km de l’endroit où nous sommes ! Le Guide du Routard indique que le château est perché sur un éperon rocheux, mais heureusement, il ne s’agit pas du grand pic que nous voyons à l’horizon (vraisemblablement le "Pico Gratal"), car l’ascension de ce pic avec le van aurait pu être épique. Le piton rocheux du château de Loarre est un peu moins vertigineux mais sa situation n’est reste pas moins exceptionnelle. Avec ses remparts, ses multiples tours, il est vraiment imposant et impressionnant. La construction du château a débuté au XIème siècle et elle s’est terminée au XIIIème, par l’adjonction de nouveaux bâtiments à la construction originale. Il en résulte un véritable labyrinthe : plusieurs couloirs se croisent et se recroisent pour parfois, aboutir au même endroit. La partie plus grandiose reste l’intérieur de l’église de San Pedro, avec son impressionnante acoustique (écoutez l’écho dans la vidéo).

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"Récit du séjour (5 / 24)"
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