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PAYS BASQUE du 26 septembre au 7 octobre 2021
Voyage du 26 septembre au 7 octobre 2021
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 26 septembre : J0 !

Pour la première fois depuis que nous laissons nos chats en pension pendant nos voyages, nous y arrivons avec 10 minutes de retard (alors que nous avons plutôt l’habitude d’être en avance). Nous avons mis en un peu de temps pour nous préparer ce matin alors que nous avions déjà bien rempli le van la veille. Il ne manquait plus qu’à remplir le frigo et prendre nos oreillers. Du coup, nous ne quittons la pension qu’à 10 heures du matin après une dernière caresse à nos mimines et notre GPS décide alors de nous faire perdre encore plus de temps en nous faisant emprunter un chemin de terre pour rattraper l’autoroute A64 ! Ça commence mal...

Après les premiers kilomètres parcourus sur l'autoroute, Christophe s'arrête sur une aire de repos pour resserrer les sangles d'accrochage du toit mobile (les sangles n'étaient pas assez serrées et on entendait un gros sifflement dans l'habitacle avec un léger courant d'air) et laisser le volant à Anne-Marie. Elle redonne le volant à Christophe un peu avant Saint-Lary-Soulan, avant d'attaquer les premiers virages en montagne.

Quand nous arrivons au tunnel d'Aragnouet-Bielsa, après quelques belles épingles franchies au ralenti (alors que la limitation de vitesse en vigueur nous permettrait de rouler à 90 km/h), nous sommes déconcertés par un feu de signalisation, ou pour être exact par le panneau indicatif l'accompagnant : le tunnel est en circulation alternée (un seul sens de circulation à la fois sous le tunnel) et il est indiqué que l'attente maximale est de 12 minutes, mais rien n'indique depuis combien de temps le feu est au rouge ou combien de temps il reste à attendre avant son passage au vert ! Nous ne savons donc pas si nous pouvons couper le moteur, ou pas (à titre informatif, couper et redémarrer un moteur diesel, sans dispositif adéquat de "start and stop", peut être plus improductif en termes de réduction de la pollution atmosphérique, que le laisser tourner quelques dizaines de secondes). Après quelques minutes, Christophe décide finalement de couper le moteur mais le feu repasse au vert moins d'une minute après... Ca pourrait être bien de positionner un afficheur indiquant le temps restant à côté de ce feu, non ? En revanche, aucune force de l'ordre n'est présente pour vérifier les pass sanitaires d'un côté ou de l'autre de la frontière (il y a fort à parier qu'à la mise en place de ce dispositif, le préfet devait être surplace avec des gendarmes pour montrer que les pass étaient contrôlés devant des journalistes, mais que depuis, les contrôles doivent se faire extrêmement rares, surtout depuis la fin des vacances scolaires).

Nous nous arrêtons seulement vers 13 heures pour pique-niquer car il faut que nous commencions à nous acclimater, par paliers, à l'heure espagnole ;-) (les Espagnols ne déjeunent pas avant 14 heures, voire 15 heures, et ne dînent pas avant 21 heures). Peu après cet arrêt, nous nous arrêtons à nouveau à un point de vue au bord route A-138, sur les rives du "Río Cinca", avec la montagne "Peña Montañesa" en arrière-plan. Cette montagne tabulaire, présentant d’abruptes falaises de calcaire, offre un paysage très différent de ceux que l’on retrouve du côté français des Pyrénées (même dans les environs du Cirque de Gavarnie ou du Pic du Midi de Bigorre, tout proches), c'est assez surprenant !

Un peu plus loin, alors qu’il nous faut changer de cap pour remonter plein nord bien que nous roulions vers le sud depuis la frontière, la route nous fait faire le tour d’un village fortifié perché sur une colline. Comme nous avons largement le temps (si nous avions continué sans nous arrêter, nous serions arrivés à Torla-Ordesa avant 15 heures et nous aurions passé une grande partie de la journée à jouer aux cartes dans le van), nous nous garons sur un parking en contre-bas du village pour le visiter (et profiter du soleil qui s’est bien caché ces derniers temps à Toulouse). Il s’agit du village d’Aínsa-Sobrarbe qui est classé parmi les plus beaux villages d’Espagne. Nous aurions eu tort de ne pas nous arrêter pour contempler ses vieilles maisons en pierres avec drôles de cheminées, son église et sa magnifique "Plaza Mayor" où les terrasses des restaurants et des bars sont bien occupées. Les ruines du château sont un peu décevantes, mais la petite heure passée dans le village valait largement le coup.

Nous arrivons à Torla-Ordesa à 4 heures moins le quart et nous nous garons sur le grand parking à l’entrée de la ville, près du centre d’information du parc national d'Ordesa et du Mont-Perdu ("parque nacional de Ordesa y Monte Perdido" en V.O.). Christophe est inquiet car il vient de remarquer un guichet (fermé) dans une petite maisonnette où est inscrit "ticket" ! Est-ce pour le parc national ? Les choses se corsent quand il lit que l’accès au parc national est limité à 1.800 personnes... C’est quoi le problème ? Notre topo-guide de randonnées ne mentionne aucune restriction de ce genre ! Le centre d’information n'ouvre qu'à 16h15. En attendant, nous allons visiter le village dont l’église pose majestueusement devant le "Pico Mondarruego" (autre montagne tabulaire).

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"Récit du séjour (2 / 24)"
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