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GUADELOUPE du 20 janvier au 4 février 2021
Voyage du 20 janvier au 4 février 2021
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 26 janvier : (suite & fin)

A 5 heures moins le quart (après avoir profité de la plage pendant un peu moins de 3 heures), nous replions bagage. Anne-Marie a la tentation d'emprunter le sentier dans la forêt qui débute juste à l'endroit où nous nous étions installés, pour éviter de repasser par l'entrée trop fréquentée de la plage, mais rapidement, en vérifiant sur le GPS du téléphone, nous nous apercevons que nous devrions refaire toute la marche forcée que nous avions faite en 2014, suite à l'effondrement de la bande de sable, c'est-à-dire devoir faire le tour complet du marigot par la forêt et suivre ensuite le bord de la route pour revenir au parking (ce qui n'est guère agréable). Du coup, nous revenons sur nos pas et nous repassons tout de même par l'entrée principale de la plage et son parking encombré (justement, un Ostrogoth bloque des voitures en stationnement).

Nous sommes de retour au bungalow pour le coucher du soleil. Pendant que nous faisons des photos, nous entendons nos voisins raconter leur test RT-PCR (celui à faire, normalement après l'auto-isolement prophylactique de 7 jours). Ils avaient pris rendez-vous à l'hôpital de Basse-Terre (a priori, le seul endroit pour faire ce test sur cette moitié occidentale de la Guadeloupe ; nous avions commencé à nous renseigner où le faire) et une fois sur place, on leur a demandé s'ils voulaient vraiment le faire ? Vous avez des symptômes ? Non ! Vous avez fait attention ? Oui ! Donc, le test n'est donc pas nécessaire ! S'il y a un réel manque de réactif sur l'île, il est facile de comprendre pourquoi le personnel hospitalier cherche à l'économiser pour les "vrais" malades potentiels. Quoi qu'il en soit, les chiffres officiels, publiés par le gouvernement français, confirment qu'il y a un manque évident de pragmatisme entre les mesures politiques et la réalité sur le terrain : alors qu'à la louche, la semaine dernière, 1.200 passagers sont arrivés par jour en Guadeloupe, par voie aérienne en provenance de Paris, cette semaine, seuls 800 tests sont réalisés par jour dans l'archipel ! Cherchez l'erreur ... du côté du préfet de Guadeloupe (qui a, soit répondu "chef oui chef !", le doigt sur la couture, aux ordres des ministères, ou soit voulu jouer à la surenchère avec le préfet de l'île de la Réunion) ou du côté du premier ministre et du ministre de la santé. Pourquoi imposer des tests qui ne peuvent être réalisés, à part pour faire croire à la population que toutes les mesures sanitaires sont prises pour la protéger ? Entre l'auto-isolement que personne ne respecte (nous apprendrons ensuite que presque tout le monde sur le bateau était en auto-isolement...) et le test évitable, c'est du grand n'importe quoi !

Néanmoins, le témoignage de nos voisins nous arrange finalement bien car il nous évite de perdre deux heures sur la route pour aller à Basse-Terre et en revenir, juste pour entendre dire que le test n'est pas nécessaire !

Ce soir, nous mangeons l'avocat que nous avions mis au frigo : nous aurions dû éviter cela car le premier millimètre contre la peau est trop mûr, alors que le reste de la chair manque un peu de mûrissement !

eclaircie

Météo de la journée :
Venteuse mais plutôt belle malgré quelques passages nuageux (bien nuageux le matin tout de même).

Mercredi 27 janvier : Journée parfaite !

Ce matin, à 8 heures, nous embarquons sur le Démélou pour l’une de nos plongées préférées sur Malendure, l’épave du Franjack, un ancien sablier coulé par une vingtaine de mètres de profondeur. Les directives sont simples : aucune indication pour la profondeur car, de toutes façons, nous n'allons pas creuser le sable sous la quille de l'épave, mais limitation à 40 minutes au fond, pour éviter une saturation en azote trop importante et donc un palier de décompression trop long. Ca nous suffit amplement car avec des 12 litres, nous n'allons pas pouvoir rester bien plus longtemps. Malgré le fait qu'il y a pas mal de plongeurs sur l'épave (deux bateaux étaient déjà amarrés à l'épave avant notre arrivée), celle-ci est toujours aussi magnifique. L'épave abrite une vie foisonnante : poisson porc-épic, poissons anges, un poisson "24 heures", gorettes, etc... Christophe observe de loin un labre capitaine sur le banc de sable alors qu'Anne-Marie y repère des anguilles jardinières. En fin de plongée, Anne-Marie voudrait rejoindre le bout accroché à la poupe de l'épave, alors que Christophe veut rester près du mouillage accroché à la proue... De toute façon, cela n'aurait rien changé car le Démélou ne s'est pas amarré durant la plongée et récupère les plongeurs remontant d'un côté ou de l'autre de l'épave. C'était vraiment une magnifique plongée !

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"Récit du séjour (14 / 27)"
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