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GUADELOUPE du 20 janvier au 4 février 2021
Voyage du 20 janvier au 4 février 2021
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 20 janvier : (suite)

Dans le bus, la distanciation n’est guère mieux respectée. On nous y entasse mais nous avons pu nous asseoir sur les sièges tout au fond du bus, ce qui nous permet de maintenir un petit espace pseudo-sanitaire autour de nous pendant les quelques minutes de trajet nécessaires pour rejoindre l'avion. Après avoir rejoint nos places tout au fond de l’appareil, un steward nous donne une explication du retard : ils ont dû remplacer une diode ! Etrange, on ne remplace pas une diode, comme ça, toute seule ? Mais le commandant de bord nous informe quelques minutes plus tard que c’est un alternateur qui a été remplacé (la pièce de remplacement a dû être prélevée sur un autre appareil) et que les tests pour vérifier le bon fonctionnement de cet alternateur ont ensuite pris du temps. C’est sûr, si la batterie ne pouvait pas être rechargée par l'alternateur, ça aurait été difficile de démarrer l'avion à la poussette ;-)... Comment ça ? On ne démarre pas un avion à la poussette comme une voiture ? Bin, ça alors ! Au fait, cet alternateur défaillant était peut-être celui de la petite éolienne qui se déploie sous l'avion en cas de perte de la génération électrique de l'appareil (car il n'y a pas 36.000 alternateurs sur un avion de ligne équipé de turboréacteurs).

Nous décollons finalement avec 1 heure 40 de retard par rapport à l'horaire initial et, après un service de restauration simplifié en raison des mesures Covid-19 après le décollage (c’est-à-dire un plateau repas composé d'une salade de lentilles en entrée et d'un ragoût de porc avec de la ratatouille ou de pâtes avec des courgettes et des aubergines en plat principal ; d'accord, nous avons quand-même eu droit à une petite coupe de champagne avec ce plateau et nous aurons aussi droit à une collation composée d'un sandwich fourré au "on ne sait pas quoi" et d'un petit cake, une heure avant l'atterrissage), le visionnage de quelques films (les sorties ont été rares ces derniers temps, fermeture des cinémas oblige ; "En avant" des studios Pixar a été le meilleur film de la sélection des nouveautés proposée le système de divertissement) et le remplissage d'une nouveau formulaire sanitaire à remettre à la sortie de l'avion, nous atterrissons à 20h40 (au lieu de 18h45). Nouvelle contrariété avant le débarquement : le satellite reliant l'avion au terminal refuse de se mettre en place ! Décidément, le matériel se ligue contre nous aujourd'hui.

Le débarquement s'effectue ensuite (presque plus rapidement que d'habitude) dans l'ordre et la discipline : chacun reste patiemment assis sur son siège et ne s’en lève qu'au moment où le couloir devant lui est libre ! Les mesures de distanciation sanitaire ont donc été respectées dans l'avion, mais elles sont partiellement abandonnées dans les files d'attente qui se sont formées devant les guichets de la police aux frontières où les fonctionnaires de l'agence régionale de santé, pourtant en nombre, vérifient les résultats des tests RT-PCR et empilent les attestations (les 6 vols arrivés aujourd'hui de Paris, représentent donc environ 1.200 attestions qui ne seront certainement pas triées avant une semaine).

Pendant le débarquement, nos bagages ont largement eu le temps d'arriver sur le tapis de livraison. Nous n'avons donc pas à les attendre et nous pouvons ainsi sortir de l'aérogare au plus vite par une porte inhabituelle, située près du bâtiment des loueurs de voitures où les guichets sont fermés (autre mesure Covid-19). Les loueurs ont regroupé leurs activités dans leurs bâtiments près de leurs parkings. Il faut donc téléphoner pour que la navette passe nous chercher (d'où l'intérêt d'avoir un téléphone portable en voyage ; cf. la fin du récit du séjour en Suède). Le temps de remplir le contrat de location (et de payer 32 euros de frais de livraison tardive), nous récupérons une Renault Clio toute cabossée. Cet état pitoyable nous fait encore perdre de précieuses minutes car il nous est difficile de faire le lien entre les bosses et les rayures présentes sur la carrosserie et celles mentionnées sur le constat de remise du véhicule. Du coup, nous prenons en photo toutes ces bosses et rayures, à la lumière des projecteurs du parking, photos qui seront donc datées du 20 janvier comme cela est demandé par le loueur (des photos prises demain ne seraient pas acceptées et malheureusement, il est pratiquement certain que demain, au soleil, nous découvrirons de nouvelles rayures).

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"Récit du séjour (3 / 27)"
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