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CHINE du 3 au 18 septembre 2018
Voyage du 3 au 18 septembre 2018
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 3 septembre : (suite)

Nous sommes donc dans les tous premiers à parvenir devant la porte B28 et nous trouvons donc des places libres sur de confortables fauteuils. Quelques minutes plus tard, Anne-Marie repère une feuille de papier A3 scotchée au dessus des guichets de la porte d’embarquement (moyen pas très moderne et pas très visible, l’efficacité allemande n’est vraiment plus ce que c’était, si elle l’a été un jour ;-)) : il nous faut passer au guichet avec nos passeports pour nous faire établir une nouvelle carte d’embarquement, celles que nous avons imprimées à la maison (en vidant nos cartouches d’encre) ne sont pas valables ! Très tôt, une longue file d’attente se forme devant la porte d’embarquement. C’est une habitude typiquement allemande, mais aujourd’hui, pour ce vol "Air China", beaucoup d’asiatiques (que nous supposons être Chinois) attendent. Serait-ce aussi une habitude chinoise ? Nous le saurons bientôt (et non, ce n’est pas une habitude chinoise car les Chinois appliquent souvent la technique de l’entonnoir bien française pour les files d’attente, en essayant de se glisser dans le moindre espace pour passer devant les autres). Cependant, aujourd’hui, il y a tout de même une variante par rapport à nos précédents embarquements en Allemagne, car bientôt se forment deux files d’attente. Quand l’embarquement débute enfin pour la classe économique, les messages diffusés par haut-parleurs indiquent pourtant que les passagers assis sur les dernières rangées de l’appareil doivent embarquer en premier mais seul l’ordre d’arrivée dans les files d’attente compte. D’habitude, cela engendre un embarquement assez long mais nous décollons tout de même à l’heure prévue... Cela dit, c’est un vol "Air China", pas un vol Lufthansa ;-).

La rangée 59 où nous sommes assis (et que nous n’avons pas pu changer hier lors de l’enregistrement par internet,) est la dernière avant celles où il n’y a plus que deux sièges à côté du hublot. Heureusement, la jeune femme qui se retrouve coincée côté du hublot par notre présence, ne bougera pas de la nuit. Le voyage se déroule donc plutôt bien (pour un vol de nuit). Le repas, avec l’incontournable choix "chicken or fish", n’est pas trop mauvais. Après une salade de pommes de terre agrémentée d’un morceau de saucisse surnaturelle, nous avons choisi le plat de poulet, cuisiné avec des champignons noirs et servi avec du riz. La part de gâteau du dessert est en revanche parfumée par un fruit méconnaissable (c’est peut-être de l’ananas, qui sait ?). Avec "Air China", les plateaux repas sont vite servis et vite desservis, les hôtesses chinoises sont assez efficaces. Elles passeront d’ailleurs régulièrement durant la nuit pour proposer des verres d’eau.

Mardi 4 septembre : Pour une poignée de yuans !

L’équipage nous réveille deux heures avant l’atterrissage. Christophe a somnolé seulement deux ou trois heures durant cette courte nuit. Anne-Marie n’a pas vraiment dormi plus longtemps mais sa super-montre connectée lui indique qu’elle a dormi 5 heures en sommeil profond, incroyable ! Si le dîner n’était pas trop mal, le petit-déjeuner n’est tout de même pas terrible : omelette et salade de fruits méconnaissables (l’autre choix était une sorte de porridge peu appétissant).

Nous atterrissons à midi moins le quart, comme prévu, mais à l’instar de Francfort, il faut encore un bon temps de roulage avant de rejoindre la place de stationnement car l’aéroport de Pékin est immense. Après avoir débarqué, au bout d’un long couloir, nous devons scanner nos passeports sur des machines qui vérifient aussi nos empreintes digitales : les 4 doigts de la main gauche serrés, les 4 doigts de la main droite serrés et enfin, les deux pouces. Une fois la procédure réalisée, la machine délivre un petit ticket qui nous permet d’accéder au contrôle suivant qui est bien moins high-tech puisqu’il s’agit d’un contrôle de police standard, pour lequel il faut faire une longue file d’attente avant de passer devant un policier.

Au moins, pendant cette attente, nous avons le temps de remplir l’éternelle petite fiche en papier où il faut indiquer nom, prénom, date de naissance, numéro de passeport, numéro de visa, numéro du vol d’arrivée et le pire, adresse de résidence dans le pays. Comme pour la plupart des pays, le France ne faisant pas exception, cela est complétement idiot car si on vient faire du tourisme dans un pays aussi grand que la Chine, on va forcément bouger, et donc changer d’hôtel au cours du séjour.

Puis en l’occurrence pour la Chine, cela nous semble bien archaïque car toutes ces informations, nous les avons fournies lors de la demande de visa (et ce de manière bien plus précise car il fallait la liste de tous les hôtels où nous allions séjourner) et avec une simple base de données et le scan de nos passeports, les autorités chinoises pourraient retrouver ces informations sans qu’on ait besoin de remplir une petite fiche en papier.

Cela dit, le plus surprenant est que devant le policier, il faut rescanner les doigts de la main gauche, après avoir été pris en photo, comme aux USA (mais c’est moins stressant qu’aux USA où l’on a toujours l’impression d’être un dangereux criminel). A quoi servait donc la machine automatique ? Mystère, mais la Chine est ainsi...

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"Pékin (2 / 22)"
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