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PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 31 août : (suite)

Après ces dernières figures, l’avion rejoint alors l’axe de la piste d’atterrissage, passant juste au dessus d’un aqueduc sous-terrain creusé par les Nazcas qui ont tracés les lignes il y a 2.000 ans (cette civilisation est apparue dans cette région du Pérou, entre 200 avant J.C. et 600 après J.C., c’est à dire bien avant les Incas ; au fait, on écrit Nazca en quechua et Nasca en espagnol). Du ciel, on ne voit qu’une succession de puits. S’en suit donc l’atterrissage. D’un côté, nous sommes contents que nos estomacs aient tenus (ça parfois été très limite pour Christophe), mais de l’autre, nous n’avons pas vraiment eu le temps de contempler pleinement ces mystérieuses lignes de Nasca, c’est un peu frustrant... Il nous faut donc aller au mirador situé à une vingtaine de kilomètres au nord de la ville au bord de la panaméricaine !

Après avoir payé le vol (100 $US par personne qui se transforment immédiatement en 110 $US après une remarque de notre guide que nous n’avons pas saisie ; mais 110 $US était le prix indiqué par "Comptoir des Voyages" depuis le début), nous demandons le prix de l’excursion à notre guide qui meurt d’envie de nous emmener au mirador : 20 $US par personne. On pourrait certainement en avoir pour moins cher mais nous acceptons tout de même cette proposition, d’autant plus que nous pouvons partir de suite (ce qui évitera de perdre du temps en rentrant à l’hôtel, en demandant un taxi, etc, etc...). Le hic, c’est qu’il tient à dérouler le programme standard de ce genre d’excursion, avec le passage obligé par des endroits totalement inintéressants mais où il doit toucher une commission (il n’aura donc pas de pourboire en fin d’excursion Vexé !).

Donc, première visite inutile : l’atelier du potier, où le soi-disant atelier car comment expliquer qu’il n’y a aucune trace de fumée au dessus du petit four à bois où sont cuites les poteries, des reproductions de poteries nazcas ? Etrange, non ? Après nous avoir expliqué comment il fabriquait ces poteries (avec le coup du caillou frotté sur son nez pour récupérer de la graisse pour lustrer la surface des poteries), le potier nous emmène tout droit dans la partie magasin. Christophe remarque une petite tête de chat (ou plutôt de puma), assez jolie (au moins, ça ne ressemble pas à du "Made in China" et nous nous assurons bien qu’il s’agit bien de reproduction et non pas du résultat du pillage d’un site archéologique). Il demande alors le prix : 150 soles ! Bien trop cher pour quelque chose qui va prendre la poussière à la maison... Nous ne cherchons donc même pas à négocier mais la femme du potier propose immédiatement 120 soles. Il faut bien faire tourner l’économie locale, non ?

Nous la prenons finalement (mais nous aurions dû continuer à négocier pour l’avoir à moins de 100 soles mais c’est notre premier "vrai" jour au Pérou et nous ne connaissons pas encore les us et coutumes locales pour le marchandage).

Deuxième visite totalement inutile (nous aurions presque eu le temps de rentrer à l’hôtel pour prendre un taxi :-$) : l’orpailleur (quelqu’une n’aurait pas dû dire qu’elle aimait l’or :-$) ! Au Pérou, à condition de n’utiliser aucun moyen mécanique, tout le monde peut creuser le sol pour chercher de l’or. Idem pour l’extraction de l’or du minerai, aucun moyen mécanique n’est autorisé, tout se fait à la force des bras et à grand renfort de mercure pour amalgamer l’or (nous avons même le droit à la démonstration, heureusement en plein air, avec du véritable mercure). Bien évidemment, après les explications de l’orpailleur, à l’aide de petites maquettes en bois, le passage par le magasin est non facultatif. Les prix sont affichés en dollars américains : il est donc hors de question d’acheter quoique ce soit ! Lors de ces visites touristiques à la noix, on a toujours l’impression que le touriste est un tiroir-caisse ambulant, même si ça doit souvent être le cas (nous préférons repartir en voyage qu’acheter des souvenirs onéreux, mais ça ne doit pas être le cas de tout le monde).

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"Lima - Nasca (6 / 10)"
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