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PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 19 septembre : Ca ne klaxonne pas ici ?

Donc, après 12 heures de vol, nous atterrissons à Roissy à 14h20 (pour être exact, le posé des roues était à 14h10), avec 45 minutes de retard sur l’horaire prévu car le pilote a dû largement contourner par l’ouest, le cyclone Maria qui sévissait sur la Guadeloupe. Déjà que nous sommes assis tout au fond de l'appareil, le débarquement est encore plus long car une des passerelles a mal été mise en place et elle doit être replacée. Puis, des douaniers français effectuent un contrôle volant dès la sortie de la passerelle. Ils n’ont strictement aucune estime pour les passagers ayant des correspondances courtes (et très courtes dans notre cas à cause du retard).

Heureusement, nous passons ensuite rapidement le contrôle de sécurité mais le contrôle de police pour entrer en zone Schengen est ahurissant. Une fois notre tour arrivé, nous nous présentons ensemble devant le policier qui se met aussitôt à râler : "c’est une seule personne à la fois ! On fait comment maintenant ?". Et bien, il s’occupe d’un passeport après l’autre, ça semble simple, non ? S’il y avait eu le moindre panneau indiquant qu’il fallait passer un par un, nous l’aurions respecté mais ce n’est pas le cas. De plus, ce psychorigide, un individu tel qu’on n’en voit rarement dans le monde (même en Allemagne ou au Japon, pays qu’on pourrait imaginer être ceux des rois de la psychorigidité, mais où les policiers sont courtois, contrairement au phénomène franco-français sur lequel nous sommes tombés) préfère engueuler l’hôtesse de l’aéroport qui était sensée nous faire passer un par un (mais elle était en train de rêver et nous sommes pressés), plutôt que se mettre à son travail. Anne-Marie qui a reculé pour laisser passer Christophe en premier, s’excuse en se représentant mais ce policier lunatique lui répond que ce n’est pas de sa faute. Certes, le retard qui risque de nous faire rater notre correspondance n’est pas de sa faute, ni le nombre de fonctionnaires restreint mis en place pour effectuer le contrôle de milliers de passagers, mais sa connerie (désolé, mais il faut bien le dire) et son manque de politesse et de courtoirsie le sont ! Belle image de la France...

Nous reprenons ensuite notre course folle pour rejoindre la porte d’embarquement de notre vol pour Toulouse, la porte 29 du terminal 2F. Et quand nous arrivons devant cette porte, un retard de 40 minutes est aussitôt annoncé... Quand nous embarquons (enfin), le pilote nous explique alors les raisons de ce retard : ils ont d’abord eu du mal à débarquer un passager handicapé, puis, ils ont eu des problèmes d’avitaillement de l’avion et enfin, ils ont dû ressortir des bagages de la soute de l’avion car des passagers en provenance de Lima ont loupé l’embarquement. Il faut dire que nous sommes arrivés à l’heure grâce aux files "Sky Priority" mais des Péruviens, ne connaissant pas Roissy et ses contrôles de police interminables, ne pouvaient pas attraper cette correspondance ! Le pire est que les agents d’Air France ne se sont pas ennuyés en retirant les bagages en provenance de Lima : ils ont dû débarquer tout un conteneur car l’un de nos bagages est manquant à l’arrivée (celui qui n’avait pas de tag "priority" et qui contient les bouteilles de Pisco, un drame :-$). Nous recevons alors un SMS de la part d’Air France au même moment où nous nous rendons au comptoir (automatique) de réclamation. Ils devraient nous le livrer demain, dans l’après-midi, alors que nous serons au travail. Du coup, nous décidons de poser une demi-journée de congés supplémentaire, pour aller rechercher notre sac manquant directement chez le transporteur demain matin, ce qui nous permettra aussi de nous reposer un peu en dormant un peu plus longtemps.

C’est le bordel sur la route en sortant de l’aéroport de Toulouse mais ça ne klaxonne pas, il y a un peu plus d’un mètre entre les voitures et des conducteurs respectent les files, sans essayer de forcer le passage par la gauche et la droite. Ca change du Pérou ;-) !

Nous passons ensuite à la pension récupérer nos chats qui ont bien grandi. Elles se sont surtout épaissies (elles pouvaient moins courir qu’à la maison) et elles font moins chatons. Heureusement, elles ne semblent pas nous bouder et semblent même un peu plus calmes (mais c’était juste le temps d’un ou deux jours, elles ont vite retrouvées leurs cavalcades endiablées à travers toute la maison). Léia est même plus câline alors que Leeloo est toujours une boîte à ronrons sur pattes. Les nouvelles maîtresses de la maison sont de retour chez elles (nous ne sommes que leurs serviteurs ;-)) !

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"Lima - Pachacamac (5 / 5)"
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