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PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

pratique

La conduite automobile :

Evoquée au chapitre précédent, la conduite péruvienne est une horreur absolue ! Il y a fort à parier que le Pérou trône largement en tête du classement de pays où les conducteurs sont les plus mauvais. Ca double sans visibilité (la ligne blanche n’est purement qu’une décoration au milieu de la route), ça force le passage sans arrêt, ça essaie de se faufiler dans le moindre interstice entre les véhicules dans les bouchons, ça klaxonne sans cesse et le piéton n’a aucune priorité, celle-ci revenant de droit aux automobilistes. Les passages piétons ne sont donc qu’une zone bizarrement décorée : le conducteur péruvien ne s’arrêtera pas, même parfois s’il a un feu rouge, pour laisser passer des piétons qui sont une espèce en danger au Pérou (heureusement, à Cusco et Arequipa, il y a des zones piétonnières bien protégées des véhicules).

Autre détail amusant : les Péruviens ont bien un contrôle technique pour les voitures mais des petits malins ont inventé la location de pièces mécaniques, rien que pour passer ce contrôle ! Imaginez que vos amortisseurs soient complètement morts : louez en des "neufs", montez les sur votre épave, passez le contrôle technique et remontez ensuite vos amortisseurs hors d’usage, après avoir récupéré le précieux sésame !

Donc, à moins d’être un surhomme doué d’une vision panoramique à 360° et pourvu de réflexes surnaturels (les Péruviens descendent des extra-terrestres, c’est bien connu : c’est pour permettre aux soucoupes volantes d’atterrir qu’ils ont dessiné les lignes de Nasca), il est quasiment impossible pour un occidental de conduire dans les grandes villes au Pérou où le nombre de taxis en circulation et bouchonnant les rues est incroyable. Et ne parlons même pas de stationnement dans une ville comme Cusco. Il ne reste donc plus au voyageur qu’à prendre l’autocar (et apprécier les dépassements audacieux du chauffeur) ou louer les services d’un chauffeur. D’autant plus que vu les temps de trajet entre les villes, on est finalement bien mieux installé confortablement dans le fauteuil "VIP" d’un bus que stressé à mort derrière un volant !

Les autocars :

Nous avons utilisé la compagnie de bus "Cruz del Sur" entre Lima, Nasca, Arequipa et Puno, ce qui représente en cumulé une petite trentaine d’heures de bus. Sur de telles distances, il s’agissait de bus à deux niveaux, à deux classes : "semi-cama" au second niveau (avec un sandwich servi pour le repas avec un verre de soda) et "VIP" (avec un repas chaud) au premier niveau (c’est à dire au même niveau que les chauffeurs) où il n’y a que trois sièges par rangée dans la largeur du bus (contre 4 au niveau supérieur). L’avantage (ou l’horreur) d’être à l’étage, assis tout devant, au-dessus des chauffeurs, c’est qu’on a une magnifique vue sur le paysage (et que l’on suit en temps réel les dépassements hasardeux du chauffeur).

Côté ponctualité, ce n’est pas si mal : nous avons expérimenté un quart d’heure de retard entre Lima et Nasca et entre Arequipa et Puno, mais plus de trois heures de retard entre Nasca et Arequipa alors que le bus n’était parti qu’une demi-heure en retard de Nasca. De toute façon, vue les conditions de circulation sur la panaméricaine, on est surtout content d’arriver entier ;-) !

Le train :

La seule ligne de train utilisable est celle entre Cusco, Ollantaytambo et "Aguas Calientes", celle qui est surnommée le TGV, le Train à Grande Vibration. Dans les faits, vu sa vitesse faible, ça ne vibre pas autant que ça, c’est tout à fait raisonnable. De plus, ces trains sont très ponctuels au départ (à l’arrivée, le retard était inférieur au quart d’heure), les fauteuils sont confortables, les billets incluent un snack avec une boisson chaude et les toits des wagons sont en partie vitrés, ce qui permet de bénéficier d’une belle vue sur le paysage traversé.

Le petit hic, vu que les toits sont vitrés, c'est qu'il n’y a pas trop de place pour les bagages. Il est donc demandé aux voyageurs de n’avoir qu’un petit sac, théoriquement de moins de 5 kg (en théorie, car ce n’est pas vraiment vérifié mais il y a fort à parier qu’un voyageur arrivant avec une grosse valise ne pourra pas l’emmener avec lui).

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