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PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 14 septembre : Décollage à 3.400 mètres !

Aujourd’hui, c’est (presque) grasse matinée car nous ne déjeunons qu’à 8 heures du matin passées. Le temps de remettre nos sacs de voyage en configuration avion (entre autres, nos couteaux suisses doivent regagner les sacs qui seront mis en soute), nous descendons à 10 heures au centre-ville. Comme le ciel est encore presque bleu mais que des nuages arrivent, nous nous rendons en priorité au monastère de la Merced pour le visiter (visite hautement recommandée par Richard, notre guide dans la Vallée Sacrée des Incas). Nous aurons ensuite le temps de faire le tour des boutiques de souvenirs qu’Anne-Marie a fortement envie de dévaliser.

Le cloître du monastère de la Merced, sur deux étages avec des colonnes toutes sculptées, est magnifique. Rien que pour ça, la visite de ce monastère est bien plus intéressante que celle de la cathédrale. La partie musée, bien évidemment remplies de bondieuseries et autres tableaux d’évêques, abrite toutefois quelques pièces intéressantes comme le tableau du Christ avec un chapeau péruvien ou une madone en habit traditionnel péruvien (œuvres qui reflètent bien la volonté du clergé de travestir "leur" vérité déjà douteuse, dans le but de convertir plus de clients) ou encore, exposé dans la salle des joyaux, un ostensoir de 22 kg d’or (massif, inutile de la préciser), incrusté de 1.500 pierres précieuses ou perles. Cependant, le véritable joyau du monastère se situe au rez-de-chaussée, caché sous un grand escalier : c’est la cellule du père Francisco Salamanca qui a peint, sur chaque mur, de magnifiques fresques détonantes : ne seraient-ce pas des papes qui brûlent dans les flammes de l’enfer ? Nous finissons la visite du monastère de la Merced par l’église, jolie.

Maintenant, Anne-Marie peut visiter tous les magasins "Sol Alpaca" qu’elle veut (et il y a plein à Cusco), à condition de ne pas acheter de poncho en alpaga car elle en a déjà un, acheté au Chili et qu’elle n’a jamais porté en plus de 10 ans (c’est trop chaud et peu étanche, donc peu compatible avec le climat de Toulouse qui est doux et pluvieux en hiver). Au final, elle n’achète que deux petits taureaux en terre cuite au marché artisanal accolé à l’église "San Cristobal", ce qui n’est pas le souvenir idéal quand on voyage avec des sacs souples (heureusement, en les mettant dans les chaussures de randonnée, ils sont arrivés entiers à la maison).

Pour manger ce midi, nous choisissons au hasard la "Tratoria Andriano" où nous mangeons une bonne assiette de pâtes (Alfredo pour Anne-Marie et Carbonara pour Christophe). Ces plats ne font pas très péruviens mais nous avons été servis rapidement (vu le record de lenteur du restaurant de samedi dernier sur la "Plaza de Armas", si cela c’était reproduit, nous aurions loupé notre vol pour Lima ;-)). En plus, ce n’est pas trop cher (pour Cusco) : 68 soles avec le pourboire et deux Coca-Cola.

Après une dernière petite halte sur un banc de la "Plaza de Armas", nous remontons au "barrio San Blas" vers 2 heures de l’après-midi. Christophe fait alors quelques photos de la "Plaza San Blas" pendant qu’Anne-Marie tente de dévaliser les boutiques du coin, avant de retourner à l’hôtel refaire les sacs pour ranger les taureaux (au passage, c’est toujours un peu laborieux de récupérer les sacs déposés à la consigne de cet hôtel) et attendre le chauffeur (qui ne sera pas Esteban) et le guide qui nous conduiront à l’aéroport. Ils arrivent à 3 heures moins 5 et il ne faut qu’une petite vingtaine de minutes pour rejoindre l’aéroport où le guide nous accompagne juste devant le contrôle de sécurité (une vrai mère poule, ce qui était un peu inutile, sauf quand l’hôtesse à l’enregistrement des bagages nous a demandé si nous avions des articles explosifs dans nos bagages : nous n’avons rien compris, il semblait y avoir des mots en anglais et en espagnols dans la même phrase).

Nous décollons pratiquement à l’heure prévue, pour un premier vol jusqu’à Lima où nous aurons ensuite une correspondance pour Trujillo. Cette escale à Lima est assez surprenante car le bus qui nous amène jusqu’à l’aérogare nous dépose devant la salle de réception des bagages. Nous n’avons pas besoin de récupérer les nôtres car ils sont enregistrés jusqu’à notre destination finale, et nous dirigeons donc vers la sortie de cette salle où aucun panneau n’indique une direction à suivre pour les correspondances. Nous nous retrouvons donc dans le grand hall d’arrivée et nous suivons alors les panneaux qui indiquent la direction des salles d’embarquement. Bien évidemment, avant de passer le contrôle de sécurité, il nous faut passer un contrôle des billets et là, l’employé nous demande si nous sommes en correspondance ?

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"Machu Picchu (7 / 8)"
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