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PHILIPPINES - VISAYAS du 25 mars au 9 avril 2017
Voyage du 25 mars au 9 avril 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 28 mars : La danse des Mandarins !

Le rythme du safari est immuable: petit-déjeuner à 7h15 et début de l’embarquement sur le Sagana à 8 heures. Et une demi-heure plus tard, nous sommes amarrés au sud de "Pescador Island" pour une plongée le long de sa côte ouest. Nous plongeons de nouveau avec Nicolas. Après le platier où nous repérons deux poissons pierre (ou poissons scorpion), nous longeons un magnifique tombant. Le corail dur ou mou (alcyonnaires) est vraiment resplendissant. Nicolas essaie en vain de repérer des poissons comètes dans les petites grottes formées dans le récif. Par contre, il nous montre un magnifique poisson crapaud, un petit antennaire de 4 ou 5 centimètres de haut, caché dans une gorgone. Nous croisons ensuite un gros diodon et, en fin de plongée, nous observons une magnifique murène flocon de neige (mais, nous n’avons pas vu de tortue durant cette plongée).

Après la plongée, le Sagana se rapproche de la ville de Moalboal. Nous visitons alors le marché : poissons (oh, des murènes flocon de neige), porcs (les morceaux ne sont pas conservés au froid), légumes... Christophe demande à une commerçante quel est le fruit marron présent dans ses étals et elle s’empresse de lui en ouvrir un : il a le goût de datte, mais ce n’est pas une datte (la dame a donné le nom du fruit, en philippin, mais nous ne l’avons pas retenu). Christophe se demande comment il va se débarrasser de la peau du fruit car, malgré les échoppes faites de quelques morceaux de bois et de tôles ondulées rouillés, c’est propre, aucun déchet ne traîne par terre ! En fait, il suffit d’utiliser la poubelle d’une des échoppes. Plus loin, une boisson à la couleur orangée nous intrigue, d’autant plus quand Vincent et Nicolas nous disent ce que c’est du vin de coco ! Nicolas en achète un verre pour nous le faire goûter : c’est assez étrange tout de même, assez acide !

Nous finissons de visiter le marché (étals de tongs ou lunettes de soleil) avant que Vincent et Nicolas se mettent à la recherche d’un moyen de locomotion pour rentrer à l’hôtel. Ils cherchent un jeepney (les beaux, ceux qui ont été fabriqués à partir des vieilles jeeps américaines sont rares ; ceux qui circulent dans les environs sont plutôt des transformations de minibus japonais) mais il leur est difficile d’en trouver un de libre. Heureusement, un jeepney vide pointe enfin le bout de son capot. Il n’est pas assez grand pour transporter les 18 personnes du groupe mais en utilisant en complément des side-cars philippins, tout le groupe a un moyen de locomotion pour rentrer à l’hôtel (même si Vincent a voyagé perché sur le marchepied extérieur du jeepney). Le trajet dans le jeepney est assez folklorique, nous sommes pliés en 4 (les philippins sont plutôt menus, bien plus menus que nous en tous cas, et petits, ça manque de hauteur sous plafond dans cet engin) et malgré le manque de place, nous devons absolument éviter de laisser traîner un bras en dehors car les conducteurs de ces engins motorisés se croisent parfois de très, très près !

Après le repas (et la recharge du pack batterie du flash), nous retournons en jeepney à Moalboal où nous attend le Sagana. Pour la seconde plongée de la journée, nous nous rendons dans un sanctuaire marin, le "Tongo Sanctuary". Daniel et Jean-Sébastien se joignent à notre palanquée. Nous descendons le long du mouillage jusqu’à 8 mètres de profondeur, là où deux plongeurs photographient quelque chose. Nicolas pense que ça doit être le poisson fantôme qui vit dans les parages, mais ce n’est pas le cas. Le poisson fantôme est bien situé un peu au dessus, dans les 6 mètres de profondeur, là où il devait être. Le problème est que maintenant, toutes les photographes se disputent la photo d’un truc qui ressemble à un bras de comatule cassé, de deux ou trois centimètres de long. Le seul moyen de le distinguer, de loin (c'est-à-dire, à un mètre de distance), d’un morceau de comatule, est que cette créature nage à contre-courant.

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"Moalboal (3 / 6)"
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