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GUADELOUPE du 22 décembre 2016 au 4 janvier 2017
Voyage du 22 décembre 2016 au 4 janvier 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 22 décembre : (suite)

Habituellement, tous les passagers assis aux premières rangées de l'appareil, attentent groupés devant la porte, bloquant le passage aux personnes assises à l'arrière de l'appareil et qui peuvent embarquées. C'est bizarre que ce ne soit pas le cas aujourd’hui ? L'explication est simple : beaucoup de passagers sont encore bloqués dans la file d'attente avant le contrôle de police. Quoiqu'il en soit, Anne-Marie a réservé des sièges sur la toute dernière rangée, "Sky priority" ou pas, nous pouvons donc embarquer immédiatement. L'avion se remplit ensuite doucement mais heureusement, nous ne décollons qu'avec 20 minutes de retard par rapport à l'horaire prévu (qui, de toute façon, est rarement l'heure de décollage ; au mieux c’est l'heure de fermeture des portes de l'appareil).

Les places sur la dernière rangée offrent quelques avantages non négligeables : on peut abaisser le dossier de son siège sans gêner personne derrière, on est les premiers servis pour le repas, et les premiers desservis. Mais ces sièges offrent néanmoins quelques désavantages : les toilettes sont justes derrière, ce qui crée un peu de passage (heureusement, personne n'attend juste à côté de nos sièges) et la queue de l'appareil est l'endroit le plus secoué de l'appareil (la dérive et les gouvernes de profondeurs transmettent la moindre perturbation du flux d’air). Après un premier film, un second, une salade de pâte, un poulet gingembre avec une purée carottes - pommes de terre, un cake au chocolat et d'autres films, nous atterrissons à l'heure prévue à Pointe à Pitre, à 3 heures et demie de l'après midi (heure locale), sous une grosse pluie d'orage. Le vol est passé vite.

Pour récupérer les bagages en soute, c'est le gros bordel de chez gros bordel ! Un vol Corsair est arrivé quelques minutes avant le nôtre et l'affichage des tapis de livraison est incorrect si bien que les passagers des deux avions attendent tous au même tapis, le n° 3. Anne-Marie reste au premier étage de l'aéroport pour surveiller de haut les bagages qui arrivent sur le tapis alors que Christophe est au cœur de la mêlée. Au bout d'un moment, ne voyant aucun de nos sacs arriver, Christophe se rend compte que les tags des bagages tournant sur le tapis sont ceux de Corsair. Il décide alors d'aller voir au tapis n° 4, juste quelques secondes avant qu'un message correctif soit diffusé dans le hall. Nous récupérons rapidement le sac de plongée de Christophe, puis celui contenant le caisson photo sous-marin mais le sac de plongée d'Anne-Marie tarde à arriver... Va-t-elle pouvoir plonger demain ?

Oui ! Le sac finit par arriver, même s'il manque le cadenas sensé le fermer (mais rien n'a disparu à l'intérieur du sac, Christophe avait dû mal refermer le cadenas après avoir glissé un dernier T-shirt à l'intérieur).

Nous rejoignons ensuite les bureaux des loueurs de voitures (bâtiment séparé de l'aérogare, situé sur la droite en sortant du hall d'arrivée). Par chance, au comptoir Avis, il n'y a personne (ce qui n'est pas le cas des autres loueurs), si bien que nous récupérons rapidement la clef d'une petite citadine Suzuki Swift. La chance nous sourit à nouveau, la navette pour rejoindre le parking du loueur arrive presque aussitôt et à 4 heures 50, nous quittons l'aéroport de Pointe-à-Pitre, direction la route de la traversée (le moteur manque cruellement de chevaux pour passer le col des deux Mamelles mais c'est moins pire qu'avec la Twingo de 2014). La traversée de Pigeon-Bouillante est délicate car la RN2 est inondée ! Elle vient juste d'être ré-ouverte à la circulation, les pompiers sont encore en train de nettoyer les coulées de boue sur la chaussée et sur la façade d'un restaurant.

Les derniers 100 mètres pour rejoindre les bungalows "Fleur de Café", situés sur les hauteurs de Bouillante sont assez épiques : le chemin empierré est assez chaotique (il faut viser juste sur les deux rangées de pierres) et la pente est rude ! Heureusement, il fait encore jour. Même si ce dernier tronçon est assez cauchemardesque (au premier abord, après, avec l'habitude, il ne pose pas tant de problème), le bungalow qu'a réservé Anne-Marie et que nous fait découvrir Ellen, est par contre paradisiaque : petite piscine privative (où nous espérons bien boire le ti'punch l'un de ces prochains jours) et chambre qui donne par une porte-fenêtre sur une belle terrasse couverte avec une magnifique vue (les îlets Pigeon ne sont pas visibles mais la vue sur la mer des Caraïbes est tout de même magnifique). C'est parfait ! Il y a juste un petit problème qui devrait être passager : à cause des fortes pluies, l'eau est coupée dans tout Bouillante, pour éviter que de la boue encrasse les canalisations.

Après nous être installés, vers 6 heures et demie, nous redescendons à Malendure faire des courses au supermarché (que nous appelons toujours Match, même s'il s'agit aujourd'hui d'un "Carrefour Market") pour les petits-déjeuners. Le restaurant "Le Ranch", situé en face du supermarché, est en cendre (d'après la caissière du supermarché, l'incendie a eu lieu en avril dernier). Nous espérons que le restaurant "Chez Dada" sera ouvert ce soir, car "Le Ranch" était notre plan B.

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"Récit du séjour (2 / 21)"
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