Jeudi 12 novembre : (suite)
A 7 heures du soir, nous retournons manger au restaurant péruvien "Plazita Limeña" ! Ouf, ce soir, ils ont du pisco et nous prenons donc deux "pisco sour" en apéritif. Nous commandons les plats du jour : filet grillé de mahi-mahi pour Christophe et "poulet sate & ribs de porc" pour Anne-Marie. Ce ne sont pas vraiment des plats péruviens mais c'est plutôt bon, surtout les bananes légumes en accompagnement. Un plat par personne est largement suffisant (c'est très copieux) et c'est inutile de prendre un dessert. Avec un café pour Anne-Marie, nous en avons pour 55,50 $US, c'est très raisonnable !
Après le repas, nous nous promenons un peu en ville. Nous marchons jusqu'à un restaurant japonais mais il n'y a aucun menu affiché à l'extérieur (nous voulions vérifier les prix car sur internet, Anne-Marie a trouvé une critique comme quoi les prix étaient excessifs). Il nous semble qu'il y a beaucoup plus de restaurants ouverts le soir qu'en 2013 (même chez "Julian's" est ouvert le soir). Demain soir, pour notre dernier repas, nous n'aurons pas de problème pour en choisir un (même si notre choix est déjà fait).
Météo de la journée :
Chaud et ensoleillé, juste quelques passages nuageux. Le vent est toujours assez fort.
"Pisco sour" de la "Plazita Limeña"
Vendredi 13 novembre : Big shake !
Ce matin, la visite du parc national "Washington Slagbaai" est au programme. Nous faisons, comme en 2013, le grand tour, en passant par la "Playa Chikitu", le souffleur de Supladó, le phare de "Seru Bentana", etc... C'est moins drôle qu'en 2013 car les vagues sur l'Atlantique ne sont pas aussi grosses et les gerbes d'eau contre la côte rocheuse sont relativement petites... A "Pos Mangel", seuls quelques iguanes peuplent les alentours du point d'eau. Christophe espérait pouvoir faire des photos de perruches qu'il avait ratées en 2013, mais nous n'en voyons aucune ! Après Malmok, le point le plus septentrional de l'île de Bonaire, nous passons devant les premiers sites de plongée. En cette période, ils sont parfaitement plongeables (à conditions de prendre toutes les précautions pour éviter un accident de plongée car, vu l'état de la piste, il est illusoire de pouvoir rejoindre rapidement l’hôpital).
A "Playa Funchi", c'est vrai que les eaux calmes de cette petite crique invitent à la plongée, mais ce n'était pas prévu au programme. Christophe s'arrête ensuite au niveau de la "Saliña Wayaca" pour photographier un petit oiseau presque orange et noir, les couleurs de notre employeur... Ce n'est pas cool de nous rappeler que lundi prochain, nous serons au travail ! Nous nous arrêtons à "Boka Slagbaai" pour pique-niquer devant la baie. Par l'odeur alléché, un petit oiseau jaune vient tout près de nous : il se pose à 2 cm des doigts de pieds d'Anne-Marie ! Mais il est tellement rapide, et si près, que Christophe n'arrive pas à le photographier. Nous espérions pouvoir profiter du bar pour boire une boisson fraîche mais celui-ci est fermé (par contre, dans l'un des bâtiments de ce site historique, des personnes semblent camper sur des hamacs). En repartant, Christophe complète sa collection de photo de flamants roses. De la route, nous sommes alors plus près de ces oiseaux que depuis les rives de la "Saliña Slagbaai" situées devant les bâtiments de la "Boka Slagbaai".
Après une bonne heure à être secoué sur la mauvaise piste qui permet de revenir à l'entrée du parc national (ce qui nous fait dire que si nous revenons à Bonaire, nous ne referons peut-être pas la visite du parc national, sauf peut-être pour y plonger...), nous rentrons directement à l'appartement. Nous passons au bureau du "Coco Palm Garden" pour convenir des modalités de fin de séjour et surtout, pour leur signaler que nous avons accidentellement cassé une chaise de jardin. Le pied a glissé sur le carrelage et en se tordant, le plastique a cassé net ! Pas de problème, nous n'avons rien à payer.