Dimanche 23 août : (suite)
Nous embarquons vers 18 heures, par bus, dans l’Airbus A-330 de la "Turkish Airlines" (le bordel dans l’avion est un peu moins pire qu’à l’aller, mais c’est loin d’être un embarquement exemplaire). Le repas est servi à 21 heures et les plateaux sont débarrassés un peu avant 23 heures. La nuit va être courte. Même sans décalage horaire, "Turkish Airlines" est capable d’en générer un... C’est un peu pénible, c’est vraiment le gros point noir de cette compagnie (mais elle est moins chère que ces concurrentes).
Météo de la journée :
Le temps était très humide (pour Christophe, ce n’était que du brouillard, mais pour Anne-Marie, c’était de la pluie) entre Graskop et Nelspruit. Beau soleil à Johannesburg, mais nous étions enfermés dans l'aéroport.
Lundi 24 août : Récupération de notre fauve !
Joie et bonheur de voyager avec "Turkish Airlines" : l’équipage sert le petit déjeuner à 3 heures du matin et débarrasse les plateaux bien après... Leur nourriture ne nous réussit vraiment pas, nous sommes encore tout ballonnés et il n’est pas évident de quitter son siège (pour aller aux toilettes) tant que le plateau repas n’est toujours pas débarrassé et quand il est enfin retiré, c’est presque l’atterrissage, il faut rester sur son siège, ceinture bouclée ! Cette compagnie n’est vraiment pas très pratique...
Après avoir récupérer nos cartes d’embarquement au comptoir de transfert de "Turkish Airlines" et avoir patienté dans une longue queue (combien arrivent de passagers à la minute dans cette aérogare, quelques milliers ?) pour le contrôle de sécurité (qui n’est qu’une simple formalité), nous retrouvons les magasins de "Duty Free" du premier étage de l’aérogare. Comme nous n’aurons plus de contrôle de sécurité à passer, nous en profitons pour acheter deux bouteilles d’Amarula : la standard et la Gold qui n’est en fait que l’alcool qui est dilué dans la crème dans le cas de l’Amarula standard. Il ne reste plus qu’à attendre quelques heures pour notre correspondance pour Toulouse. Anne-Marie trouve encore de la place pour avaler des pancakes alors que Christophe se contente d’un simple verre de Coca-cola qui le fera peut-être digérer la nourriture servie dans l’avion (en vue du prochain repas). Par contre, juste pour une assiette avec trois pancake, un café et un verre de Coca-cola, nous en avons pour 18 euros, ce n’est vraiment pas donné dans l’aéroport d’Istanbul !
Nous embarquons à l’heure en suivant les groupes des cartes d’embarquement (même si certains français essaient de tricher) dans l’Airbus qui va nous ramener à Toulouse Ce vol se déroule bien mieux, côté service, que le vol long courrier. Au moins, si non voulons visiter un jour Istanbul (ce que nous comptons bien faire un jour), "Turkish Airlines" n’est pas si mal ! Nous atterrissons à l’heure à Toulouse. Le voyage est fini, le taxi nous ramène à la maison où nous reprenons notre voiture pour aller récupérer notre fauve domestique qui ne devrait pas avoir apprécié ces deux semaines loin de nous. La nuit prochaine va certainement être difficile car elle va nous demander plein de caresses !
La "Wild Card", reçue au retour du voyage...