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PATAGONIE & IGUACU du 30 janvier au 21 février 2014
Voyage du 30 janvier au 21 février 2014
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 8 février : (suite)

Finalement, ce n'était peut-être pas utile de prévoir ce transfert à l'avance, nous aurions pu prendre directement un taxi en descendant du bus (Anne-Marie enverra presque aussitôt un mail à Korke pour être certain qu'on n'aurait pas ce genre de surprise pour le retour à El Calafate car nous aurons alors une correspondance avec un vol pour Buenos Aires, il ne faudra pas se louper ce jour là).

La réception de l'hôtel Amerindia à Puerto Natales est en fait la caisse de la confiteria attenante, entourée de gros gâteaux alléchants, alors que nous n'avons pas mangé à midi. L'accueil est très sympathique et nous récupérons rapidement une petite chambre à l'étage (le lit n'était pas trop grand mais suffisant), mais ce qui nous intéresse le plus pour le moment, c'est de manger un bout (nous n'avons rien mangé depuis le petit-déjeuner), c'est à dire une part de ces gâteaux qui font envie. Avec un chocolat chaud, Christophe prend une sorte de millefeuilles au "dulce de leche" et confiture de framboise et Anne-Marie, une part de gâteau chocolat-manjar (le manjar est le nom chilien du "dulce de leche"). Ca va bien mieux, c'était bien bon pour ce déjeuner tardif ou, tout simplement, pour ce goûter !

Nous attendons alors 17 heures, heure à laquelle on nous amène la voiture de location pour la suite du programme. Nous récupérons une Toyota Yarris Sedan avec un grand coffre qui nous sera bien utile. Nous faisons le tour de la voiture pour signaler la moindre éraflure (mais elle est en bon état) et nous signons le contrat. La carte bancaire d'Anne-Marie passe alors au fer à repasser pour prendre une empreinte pour la caution (nos puces électroniques de carte n'aiment pas trop ces moyens d'un autre âge ; à noter que les argentins sont plus astucieux : à El Calafate, la dame avait utilisé du papier carbone pour faire une empreinte avec le plat d'un stylo).

Nous passons ensuite retirer des pesos chiliens à un ATM avec la carte bancaire de Christophe mais cet engin ne veut pas nous donner plus que 100.000 pesos. Ca risque de faire court... Anne-Marie réessaie avec sa carte et heureusement, ça marche à nouveau, ouf ! Puis, nous nous rendons au supermarché pour faire des courses car nous ne devrions pas trouver grand chose dans le parc national "Torres del Paine" pour les pique-niques de midi (à part des "lunch boxes" des hôtels où nous ne pourrons pas vraiment choisir ce qu'il y a dedans).

Mais c'est un peu la bérézina au supermarché car il n’y a pas vraiment de choix : pas de jambon cru mais du pâté douteux en saucisson plastique... Et le pain : est-ce vraiment possible d'appeler ça du pain ? Nous prenons au moins une valeur sûre : une bouteille de "pisco sour Artesanos del Conchiguaz", tout préparé, pour les apéros après les randonnées (et il était un peu trop sucré mais bon tout de même). Nous retournons ensuite remettre toutes nos courses dans le coffre de la voiture (vu la température ambiante, ça sera un bon frigo) et nous repartons aussitôt visiter la ville en commençant par le front de mer (les rives du fjord qui communique avec l'océan Pacifique). Nous nous rendons alors compte qu'en arrivant à Puerto Natales, le bus avait effectué un premier arrêt à 100 mètres de notre hôtel, nous aurions pu gagner un peu de temps...

Une petite moule fumée ? Peut-être pas...

En passant devant le restaurant "Última Esperanza", un restaurant recommandé dans le carnet de route de Korke, Christophe réserve pour 20 heures, ce qui nous laisse une heure pour visiter la ville, visite que nous finissons en 20 minutes. Puerto Natales est un peu plus typique qu'El Calafate, notamment grâce à ses maisons en bois dont la façade est recouverte de plaques de métal, mais ce n'est tout de même pas Rome. Nous passons alors dans quelques boutiques de souvenirs, nous traînons un peu sur la "Plaza de Armas" (il y a toujours une "Plaza de Armas" dans les villes ou villages au Chili, même si celle de Puerto Natales porte un autre nom) mais à 8 heures moins le quart, nous poussons la porte du restaurant.

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