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PATAGONIE & IGUACU du 30 janvier au 21 février 2014
Voyage du 30 janvier au 21 février 2014
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Le fjord "Última Esperanza"

Samedi 8 février : Gros retard !

A 7 heures et demi du matin, un bus (un petit modèle mais ce n'était pas une camionnette) passe nous chercher, rien que nous deux (même si la valise d'un autre client de l'hôtel a failli faire partie du voyage car le réceptionniste a cru qu'elle nous appartenait), pour nous conduire au terminal de bus. A 8 heures précises, alors qu'une trentaine de passagers ont pris place dans le bus de "Turismo Zaahj" (mais pourquoi Korke nous a indiqué "Bus Sur" dans le carnet de route ?), le chauffeur engage la marche arrière. C'est parti pour quelques heures de bus à travers la pampa argentine, peuplée de guanacos (il y a en a beaucoup autour d'El Calafate)... La route est goudronnée sur tout le trajet, sauf entre la route n° 40 en Argentine et le poste de douane chilien de "Cerro Castillo".

Quand nous arrivons au poste de douane argentine, un grand bus et un petit bus sont déjà devant nous. Il faut attendre que leurs passagers ressortent du minuscule bâtiment des douanes pour aller faire viser nos passeports. Dans la pénombre, l'agent de l'immigration essaie de retrouver nos noms sur la liste que lui a remise notre chauffeur et tamponne alors nos passeport sans autre formalité (et sans utiliser le moindre outil informatique, le scanner d'empreinte digitale et l'appareil photo à l'aéroport de Buenos Aires, c'est pour l'étape). Mais le temps que les 30 passagers du bus passent l'immigration (pendant que le chauffeur paye une taxe de douane), ça nous prend quand-même une heure.

Mais le pire reste devant nous : la douane chilienne ! Il faut savoir que l'administration chilienne a une peur maladive des fruits qui pourraient rentrer sur leur territoire, transformant ses agents en vrais névrosés de la nectarine... Nous attendons donc dans le bus, le temps que les passagers des bus devant nous en finissent avec la douane chilienne et c'est alors à notre tour. Il faut sortir tous les bagages et les sacs du bus, les amener dans les bureaux de la douane, faire tamponner son passeport à l'immigration (une simple formalité, les agents de l'immigration passent juste nos passeports au "scanner" en prenant l'un des bordereaux des formulaires d'immigration qu'Anne-Marie était passée prendre au bureau de la compagnie à El Calafate et nous souhaitent la bienvenue au Chili avec deux mots en français, ce qui est fort sympathique), puis passer les sacs dans la machine à rayon X sous le regard d'un douanier fort sympathique et remettre les sacs dans la bus, enfin ! Résultat de tout ce manège : une heure et demie pour passer la douane...

Nous arrivons alors à Puerto Natales à 14h30 au lieu de 13 heures. Normalement, un chauffeur aurait du nous attendre au terminal de bus mais il n'y a personne. Nous attendons un peu : toujours personne... Nous nous rendons alors au point d'information pour qu'ils essaient d'appeler les numéros de téléphone inscrits sur le bon d'échange mais aucun des trois numéros de téléphone ne répondent. Nous comprenons bien que le chauffeur ne nous a pas attendus mais qu'il n'y ait personne pour répondre au téléphone, c'est quand-même un peu ennuyeux. En plus, nous n'avons pas un peso chilien en poche et il n'y a pas d'ATM dans le terminal.

Nous attendons encore une demi-heure avant qu'Anne-Marie retourne au point d'information pour tenter de nouveaux appels, toujours aussi infructueux ! Elle demande alors d’appeler un taxi qui arrive illico-presto (de toute façon, la course en taxi nous coûterait moins cher que d'essayer d'appeler avec notre téléphone portable à 2 euros et quelques de la minute). Le coffre n'est pas assez grand pour contenir nos deux sacs (c'est surtout que la moitié du coffre est occupé par un réservoir de gaz) mais le chauffeur le laisse ouvert, ça ne craint rien. L'embrayage du taxi a dû rendre l'âme au siècle dernier, ça patine sérieusement et la boîte de vitesse n’est pas en meilleur état. Notre chauffeur de taxi fait donc un premier arrêt devant une banque, le temps qu'Anne-Marie retire 100.000 pesos chiliens à l'ATM, puis nous amène à l'hôtel : 2.000 pesos la course (2,50 euros).

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