Samedi 1er février : (suite)
Nous commandons des légumes grillés et une pomme de terre au four en accompagnement (mais, il y en avait de trop, la pomme de terre était énorme) et une bouteille (entière) de syrah (Lagarde), un peu décevante (pas mauvaise mais les shiraz sud-africains sont bien meilleurs ; le malbec est vraiment le cépage de référence pour le vin rouge argentin). L'agneau grillé, servi dans un plat en fonte pour le garder au chaud, est excellent. La graisse a entièrement fondu, la peau est craquante, la viande est toute moelleuse : un délice, il ne fallait absolument pas louper ça ! Nous en avons pour 680 pesos (en tout), ça valait largement le coup, ça aurait été idiot de regarder les agneaux griller derrière la vitrine du restaurant sans y goûter. Puis, le service était sympathique et rapide (il y avait même une sonnette électronique, sans fil, sur la table pour appeler le serveur), c'était donc une bonne adresse (recommandée dans le carnet de route de Korke).
Agneau patagonique...
Nous profitons des 15 minutes de marche à pied pour revenir à l'hôtel pour digérer un peu. Avant de nous endormir, comme notre sac n'est pas arrivé, Anne-Marie consulte le site internet d'"Aerolinas Argentinas" : recherche en cours ! Le site internet semble surtout ne pas être mis à jour...
Météo de la journée :
A 8 heures du matin, de gros nuages très noirs arrivent au dessus de Buenos Aires et une heure plus tard, un gros, très gros orage éclate. Belles éclaircies en arrivant à El Calafate.
Quartier de la Boca
Le tour des anglais, ou pas ?