Jeudi 20 février : (suite)
Nous ne tardons pas à arriver à l'aéroport international qui est tout neuf (ou presque). A l'enregistrement, l'agent d'Iberia nous réimprime toutes les cartes d'embarquement, y compris celles du vol Buenos Aires - Madrid. Il ne reste plus qu'à passer le contrôle de sécurité (à peine plus contraignant que le contrôle sur les vols nationaux) et l'immigration où nous sommes à nouveau pris en photo et scannés du pouce. Pourtant, nous sommes sortis, ré-entrés, re-sortis, puis ré-entrés d'Argentine sans tout ce cérémonial high-tech !
Nous faisons alors trois fois le tour du hall d’embarquement et des magasins "duty free" attenants avant d'aller manger un dernier morceau : sandwich au jambon pour Christophe et alfajores au chocolat blanc pour Anne-Marie, avec deux coca (160 pesos). Anne-Marie achète ensuite un paquet de gâteaux et il ne nous reste plus que 5 pesos argentins ! Le fait d’avoir pu payer directement en dollars ces derniers jours dans les restaurants nous a bien aidés à gérer nos derniers pesos pour la fin du séjour.
L'embarquement commence un peu avant 14h20, heure prévue pour le départ. L'avion est à moitié vide si bien qu'Anne-Marie change de siège pour avoir plus de place. Le repas "pasta or beef" (avec rab de "pasta") n’est pas terrible (mais pas mauvais quand-même) et après quelques visionnages de films, nous essayons de trouver le sommeil... Bien péniblement car dès que nous commençons à nous endormir, arrive alors un italien (toujours le même) qui se met à parler fort à la passagère assise juste derrière nous ! Ce "stronzo" nous réveille avec ces "cerveza artesanal" (oui, c'est de l'espagnol, mais pourtant c'était bien un italien, les mains parlaient aussi fort) et ces "pizza"... Bière et pizza, c'est d'une beaufitude !
Météo de la journée :
Beau et ensoleillé le matin, avec quelques nuages, mais de gros nuages noirs sont arrivés vers le coup de midi à proximité de l'aéroport. Décollage sous la pluie.
La "Garganta del Diablo"
Vendredi 21 février : Mettre la ceinture de sécurité ?!
Mode automate enclenché pour cause de mauvaise nuit passé dans l’avion (malgré la place) : atterrissage à Madrid, débarquement, tapis roulants, contrôle de passeports rapide, escalator, contrôle de sécurité moins cool qu'à Buenos Aires (de nombreux pots de "dulce de leche" acheté en "duty free" à l'aéroport de Buenos Aires finissent à la poubelle, c'est un peu scandaleux), 23 minutes de train pour passer au terminal national, tapis roulants pour arriver tout au bout du terminal, achat d'un coca pour tenter de sortir du mode automate, attente du vol pour Toulouse, embarquement, décollage, vol, atterrissage à Toulouse, récupération de nos deux sac de voyage au tapis sous douane (mais sans douanier), taxi, mettre la ceinture de sécurité sinon la voiture bippe (la ceinture semblait complètement optionnelle pour les passagers des taxi en Argentine, nous avions perdu l’habitude) et enfin, arrivée à la maison à 10h20 ! Direct au lit pour dormir un peu pour rattraper la fatigue du vol retour... Nous gérerons le décalage horaire une autre fois !
Météo de la journée :
A Toulouse, ça caille : 6 °C. Et c'est tout gris, tout humide !