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PATAGONIE & IGUACU du 30 janvier au 21 février 2014
Voyage du 30 janvier au 21 février 2014
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 19 février : Dernier bife de chorizo !

Nous quittons l'hôtel à 8 heures moins le quart. Avec une marche soutenue (qu'Anne-Marie comprend par "les marchés ne sont pas soutenus" alors que nous ne parlons jamais de bourse, même si nous venons de recompter nos derniers pesos argentins), nous devions être à l'heure pour notre réservation à 8h30 à la Cabrera.

Nous sommes en effet très largement à l'heure car à 8 heures, nous sommes déjà devant le premier "la Cabrera" de la rue Cabrera, là où nous avons mangé la première fois (il y a trois adresses, pour trois salles différentes, très proches les unes des autres, mais il s'agit du même restaurant). Nous entrons mais ils n'ont pas notre réservation. Ils nous disent d'aller voir de l'autre côté du croisement, à "la Cabrera Norte". Mais là, ils ne retrouvent pas non plus notre réservation avant de se rendre compte qu’elle a été enregistrée sous le nom de "Christopher", ouf ! Mais nous devons faire demi-tour car nous serons installés dans la troisième salle ! Il nous faut attendre dehors car les serveurs sont en train de re-préparer la salle. Heureusement, le maître d'hôtel de cette salle note scrupuleusement sur sa feuille l'ordre d'arrivée des clients, nous sommes n° 2, car une vingtaine de personnes sont arrivées après nous. Et à 8h30, précises, il nous appelle (en seconde position) pour nous placer dans la salle (il nous avait proposé en terrasse, mais avec le passage des voitures dans la rue, ça ne nous disait pas trop).

Notre serveur est âgé mais il est aussi de bon conseil, notamment pour le choix de la bouteille de malbec, un "Nieto Senetiner". Quand il apporte la bouteille, Christophe commence par (essayer de) le sentir mais avec le nez complément bouché, c’est bien inutile. Il se contente alors de goûter directement, ce qui semble chagriner notre serveur qui lui montre comment faire tourner le vin dans le verre pour en dégager les arômes qu'Anne-Marie sent même à distance. Quant au plat, aucune hésitation pour Christophe : un "bife de chorizo" de 400 gr avec une sauce au roquefort. Anne-Marie hésite mais finalement elle choisit aussi un "bife de chorizo" comme la première fois. Cette fois, nous n'avons pas le droit à la grande planche avec les petits pots de condiments mais ce n'était pas nécessaire car les accompagnements servis avec la viande (pois chiches, maïs, brocoli, purée, betteraves rouges et potiron) sont largement suffisant.

La viande est toujours aussi bonne, un vrai régal ! Nous choisissons de prendre une dessert pour deux : un "pavlova de mascarpone" qui est très bon (plus savoureux que le flan de la maison avec le "dulce de leche") ! Avec une grande bouteille d'eau gazeuse, nous en avons pour 728 pesos. Nous demandons à payer en dollar et le serveur nous annonce un taux de 13 pesos pour un dollar, ce qui est très avantageux pour nous (le taux officiel est de 9 pesos pour un dollar). Nous en avons donc pour 56 US$ (62 US$ avec le pourboire), ce qui est bon marché pour ce fantastique repas ! Et nous avons droit à notre sucette que nous mangeons sur le chemin du retour...

De retour à l'hôtel, le réceptionniste nous imprime nos cartes d'embarquement pour demain, mais seulement celles du vol Buenos Aires - Madrid car nous n'arrivons pas à obtenir celles du Madrid - Toulouse sur le site d'Iberia.

soleil

Météo de la journée :
Beau (avec quelques nuages) à Puerto Iguazú. Un peu plus gris à Buenos Aires.

Jeudi 20 février : Hasto luego, Buenos Aires !

Après le petit-déjeuner au bar Krok (le truc à faire, c’est de tartiner le toast de crème, puis de "dulce de leche", c’est plutôt bon ce mélange même s’il est très calorique ;-)), nous remontons à la chambre pour finir de boucler nos sacs. Petit moment de stress : le coffre fort où Anne-Marie a rangé les passeports, son ordinateur et son caméscope refuse de s'ouvrir, les piles sont mortes. Elle redescend alors à la réception pour essayer de récupérer la clef qui permettrait de l'ouvrir en manuel mais la réceptionniste ne sait pas trop où sont les clefs. Heureusement, quelques minutes plus tard, Anne-Marie remonte à la chambre avec la bonne clef, une chance !

Quand nous redescendons à 10 heures à la réception de l'hôtel, la réceptionniste nous dit que notre chauffeur nous attend déjà au coin de la rue. Ce n'était prévu qu'à 10h20 mais c'est mieux qu'il soit en avance qu'en retard. Nous quittons donc ce quartier bien sympathique de Buenos Aires, avec l'avenue Corrientes, le monument au compositeur de Tango... Sniff, c'est passé si vite ! Nous avons encore l'impression de faire des détours, mais comment faire une diagonale dans un plan en carré, sans faire plusieurs virages ?

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"Hasta luego, Argentina (2 / 3)"
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