Mardi 18 février : (suite)
Mais le top du côté brésilien, c'est bien évidemment en haut ... de la tour qui surplombe les deux cascades précédentes et la "Garganta del Diablo" (mais on en est distant de 500 mètres, donc pas aussi près que du coté argentin). En prenant un peu d'altitude, on a une vue d'ensemble assez spectaculaire sur la "Garganta del Diablo" et en plus, comme l'ascenseur ne peut monter qu'une petite dizaine de personnes à la fois, il n'y a pas trop de monde là-haut (alors que les conditions de lumière sont bien meilleures pour les selfies, étranges zombies
).
Il nous a fallu une heure un quart pour faire les 3 gros points de vue du côté brésilien. Nous sommes donc à l'heure pour le rendez-vous que nous ont donné les guides pour ressortir du parc (car cette fois pas de retour en transport en commun possible). Mais les belges se sont perdus (ils se sont trompés de point de rendez-vous, pour être exact) et nous devons les attendre avant de repartir. Mais ne nous moquons pas trop des belges car ce sont les autres français du groupe qui manquent un peu de sagacité. Ils veulent visiter le parc des oiseaux (supplément de 40 euros par personne pour l'entrée au parc et le transport pour revenir en Argentine, un peu cher pour aller voir des oiseaux en cage) et le guide doit leur expliquer longuement comment ils trouveront leur chauffeur après la visite... Quant à nous, pas de tour en hélicoptère : 120 dollars pour un vol de 10 minutes (où on ne choisit pas sa place dans l'hélicoptère ; si on se retrouve assis au milieu, ce n'est pas terrible) ou 1.200 dollars pour un vol de 30 minutes. No comment ! Nous choisissons de rentrer à l'hôtel pour nous reposer un peu car nous sommes un peu fatigués (en plus, Christophe a chopé la crève à cause de la climatisation : même réduite au minimum, elle se met à souffler très froid pendant quelques minutes pour abaisser la température de la chambre qui remonte ensuite ; pour un bon chaud et froid, on ne fait pas mieux). De retour à Puerto Iguazú, nous évitons une grande partie du fastidieux ramassage scolaire en demandant à descendre à la station essence de l'avenue Cordoba, plutôt qu'attendre que le bus nous dépose à l'hôtel bien plus tard.
Nous laissons nos sacs à l'hôtel avant de repartir en centre-ville pour essayer de trouver à manger. Il n'y a pas grand choix, si bien que nous nous rabattons sur une pizzeria. Nous commandons une grande pizza pour deux et la serveuse nous amène une énorme pizza avec une tonne de fromage au dessus d'une bonne portion de jambon et de poivrons rouges. C'est bien garni mais aussi bien bourratif : après deux parts, nous avons déjà plus faim et il en reste encore deux ! Allez courage, nous allons à la finir...
Nous retournons ensuite à l'hôtel (via un détour par les magasins de souvenirs d'une kitcherie extrême) pour nous reposer. Nous tentons un bain à la piscine vers 4 heures et demie mais c'est pile-poil au moment où un nuage décide de lâcher trois gouttes d'eau, retour donc dans la chambre. Ce soir, nous restons manger au restaurant de l'hôtel, "La Toscana". C'est donc "pasta" : sorrentinos au saumon pour Anne-Marie et pâtes all'amatriciana pour Christophe avec une demie bouteille de sauvignon blanc. La note, ça sera pour demain matin. Il ne reste plus qu'à aller refaire les sacs dans la chambre pour demain, et si possible dans la configuration la plus proche pour le retour en Europe.
Météo de la journée :
Beau mais les nuages sont arrivés vite. 4 ou 5 gouttes de pluie quand nous étions à la piscine vers 4 heures de l'après-midi...
Ceci n'est pas un selfie ! Qu'on se le dise !