Jeudi 7 février : (suite)
Pour attendre notre vol, nous allons au bar de l’aéroport boire un soda. Le vol "Arkefly" est en train d’embarquer, nous assistons à son décollage depuis les vitres du bar. Nous passons ensuite les contrôles de sécurité et la douane sans problème. Il n’y a plus qu’à attendre l'heure de notre vol, en se faisant bouffer une dernière fois par les moustiques qui nous disent au revoir à leur façon. Nous embarquons à l’heure mais nous décollons avec un peu de retard (qui sera rattrapé en vol). Alors que nous n'avons croisés ces 15 derniers jours que personnes plutôt sympathiques (à l’exception de l’ostrogoth, sous l’eau, avant-hier), Anne-Marie a la malchance d’être assise devant peut-être le seul néerlandais néandertalien ! Alors que le repas vient de se finir et que les plateaux repas viennent d'être desservis par les hôtesses, elle abaisse son siège car le passager devant elle vient de le faire. Le néandertal assis derrière elle réagit alors brutalement en donnant des coups dans le dos du fauteuil et en grognant ! Il aurait pu être poli (surtout à son âge, un vieux crouton qui devait avoir passé ses vacances dans un gros hôtel d’Aruba) et réclamer en formant une phrase : même en néerlandais, nous aurions compris le sens.
Météo de la journée :
Beau, quelques nuages, trois gouttes sur le pare-brise en arrivant à l'aéroport.
Vendredi 8 février : Il fait froid !
Nous atterrissons à midi à Amsterdam, il fait plutôt beau, le ciel est bleu (mais il manque tout de même quelques dizaines de degrés pour nous). Après avoir passé l'immigration et le contrôle de sécurité, nous attendons dans la salle d'embarquement. Le temps change vite : maintenant, il neige ! Pour embarquer dans l'E-90, il faut traverser la piste, seulement sur 3 mètres, mais c'est suffisamment long pour être frigorifié ! A Toulouse, le chauffeur de taxi nous informe que les stations de ski des Pyrénées sont fermées : il y a trop de neige, ça fait 15 jours qu'il pleut sans arrêt. L'hiver est toujours bien présent en Europe, beurk !
Une page de Bonaire, de corail mort !
Deux perruches...