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BONAIRE du 24 janvier au 8 février 2013
Voyage du 24 janvier au 8 février 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 5 février : (suite)

Nous rentrons par Rincon et nous profitons qu'il fait beau (ce qui n'a pas été le cas de manière absolue ces deux derniers jours) pour aller faire les photos des tas de sel et des salines roses, ainsi que celles des cailloux des sites de plongée du sud. A midi, nous allons manger chez "Julian’s". Pour une fois, nous ne prenons pas le menu du jour car nous voulons goûter au spaghetti Alfredo aux crevettes grillées du menu, qui sont très bons. Au moment de payer, la serveuse nous dit que c'est seulement 20 $US pour les deux plats et les deux boissons comme pour le "Special" (alors que le plat était à 16 $US au menu). C'est vraiment très gentil !

A peine le temps de nous poser à l'appartement, nous reprenons notre matériel de plongée, direction le "Dive Inn", le centre de "Dive Friends Bonaire" juste en face de la "Playa Cha Cha Cha" (Prof. max. : 20 m / Tps : 62 min.). Nous demandons au moniteur du club si nous pouvons vraiment plonger là : sur la droite, au nord de la plage, c'est la zone portuaire où il est interdit de plonger mais au sud, il n'y a pas de problème. D'ailleurs, les poissons crapauds sont dans ce secteur, par 8 mètres de fond, juste après un gros bloc de béton duquel part un cordage qui forme un demi-cercle. Nous avons encore deux bouteilles pleines dans la benne du pick-up mais plutôt que s'ennuyer à les descendre et en recharger deux pleines après la plongée, nous prenons deux blocs pleins directement au "Dive Inn". Nous nous immergeons ensuite sur la plage, nous repérons bien l'endroit qu'il ne faudra pas dépasser au retour pour éviter d'aller explorer le port (une grande corde posée au fond semble bien marquer la limite à ne pas dépasser) et par 8 mètres de fond, nous palmons vers le sud. Nos arrivons alors au niveau du bloc de béton et Christophe se dirige alors vers la première grosse patate de corail qui dépasse des autres. Il trouve en premier le plus petit des poissons crapauds, le rouge qui ne mesure pas plus de 5 cm de long. Il le montre à Anne-Marie qui le prend pour une étoile de mer avec du sable dessus. Heureusement, Anne-Marie repère ensuite le plus gros des trois poissons crapauds posés sur cette patate de corail : un noir qui mesure entre 20 et 30 cm de long. Le dernier, le jaune, un peu plus petit que le noir, est posé juste dessous.

C'est vraiment très étrange comme poisson, leurs nageoires forment de véritables pattes. Le rouge bouge alors un peu, ce qui permet à Anne-Marie de se rendre comme que ce n'est pas une étoile de mer. Après les poissons crapauds, nous suivons une murène tachetée en pleine haut qui nous emmène un peu bas (pas terrible le profil de cette plongée :-$). Nous remontons ensuite vers les 10 mètres. Pendant qu'Anne-Marie essaie de photographier un poisson coffre, une plongeuse montre à Christophe un hippocampe juste à côté de lui. Il est accroché par la queue à une éponge de la même couleur que son corps qui semble recouvert d'algues. Anne-Marie tente les premières photos mais ce n'est pas facile de faire la mise au point et de positionner correctement le flash.

Arrive alors une sorte de spoutnik avec une Go Pro au milieu du front : qu'est-ce qu'on a l'air con avec ce truc là au dessus du masque ! Le problème, c’est que celui-ci n’en n’avait pas que l’air... Alors que nous regardons l'hippocampe en étant bien stabilisé, les trois ostrogoths qui viennent de débarquer palment et gesticulent des bras dans tous les sens. Ils soulèvent une tonne de sable. Christophe fait alors signe à Anne-Marie de reculer pour les laisser passer, il faudra de toute façon attendre que tout le sable se repose pour essayer de faire de nouvelles photos. Nous reculons donc mais sans perdre de vue l'éponge où s'est accroché l'hippocampe, pour le retrouver ensuite. A priori, les envahisseurs sont un "dive master" avec une gamine qui fait un baptême mais qui ne voit rien à ce que le "dive master" lui montre (en bousculant tout au passage, quand on dit qu'il ne faut rien toucher au fond, ce n'est pas du tout ce qu'il a fait). En repartant, un des hurluberlus attrape la bouteille de Christophe dans son dos et se met à le secouer comme un prunier ! C'est quoi ces manières de vauriens ? Anne-Marie leur faire signe qu'ils sont tarés. Quand Christophe se retourne, très énervé, il voit le débile croiser les bras, position qu'avait Christophe pour attendre que ces hurluberlus dégagent. Une fois le sable reposé, Anne-Marie reprend la séance photo. Après l'énervement et l'attente de la fin de la séance photo de l'hippocampe, Christophe fait signe qu'il a froid (dans une eau à 27 °C). Heureusement, en re-palmant un tout petit peu, la sensation de froid disparaît. De toute façon, il est maintenant temps de remonter. C'était une belle plongée, bien que surprenante !

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"Récit du séjour (22 / 27)"
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