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BONAIRE du 24 janvier au 8 février 2013
Voyage du 24 janvier au 8 février 2013
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 24 janvier : (suite)

Après, c’est moins drôle : 10 heures de vol nous attendent pour atteindre Aruba, ex-île des Antilles néerlandaise et pour nous, prochaine escale avant d’arriver à Bonaire ! Heureusement, le service à bord est aussi efficace que l’embarquement : apéritif (whisky-coca bien tassé car le steward, bien que néerlandais, habite dans les environs de Marseille), repas ("pasta or chicken ?"), glace, encas avec une petite pizza avant l’atterrissage, trois films... L’équipage est passé plusieurs fois en proposant des verres d’eau, c’était parfait.

A Aruba, il nous faut descendre de l’avion : nous pouvons heureusement laisser nos sacs dans les coffres à bagages de l’A-330. Heureusement, car il fallait repasser un contrôle de sécurité. Après un petit tour dans les deux ou trois boutiques de l’aérogare, nous rejoignons la salle d’embarquement. Le soleil est en train de se coucher, le voyage commence à se faire long. Heureusement, il ne reste plus que 25 minutes de vol pour rejoindre Bonaire, l’Airbus a juste le temps de monter jusqu’à 4.000 mètres d’altitude avant de recommencer sa descente !

L’aéroport de Bonaire, le "Flamingo", est tout petit. Nous descendons sur la piste pour rejoindre l’aérogare. Au contrôle des passeports (nouveau tampon, chouette), il y a une file d’attente pour les néerlandais et une pour les autres qui n’avance pas très vite. Le tapis pour les bagages est tout petit si bien qu’il se retrouve vite saturé avec les bagages des gens encore en train d’attendre au contrôle des passeports. Nous attendons longtemps, longtemps (nous commencions même à nous inquiéter) avant qu’un de nos sacs montre enfin le bout de son nez sur le tapis : ouf, nous allons pouvoir plonger et faire des photos sous-marines.

En sortant de l’aéroport, Anne-Marie repère la personne qui nous attend. Le loueur est aussi en train de nous attendre (alors qu’on devait récupérer la voiture à l’appartement). Les formalités sont vite remplies : numéro de CB, numéro de permis de conduire et c’est tout ! La voiture a 70.000 kms au compteur (ou certainement 1.070.000 kms) et un embrayage des plus surprenants...Heureusement que l’île n’est pas bien grande, nous pourrons facilement faire intervenir le loueur si ce tas de rouille nous pose des problèmes ! Encore plus surprenant, pour rendre la voiture : il suffira de la laisser sur le parking de l’aéroport avec les clefs et le ticket de parking dans le cendrier :-$.

Nous suivons ensuite la personne qui nous attendait jusqu’à l’appartement situé à proximité de l’aéroport. Il nous faudra passer demain matin au bureau du "Coco Palm" pour finir de payer la location et remplir les formalités. Heureusement, car après presque 20 heures de voyages, nous sommes sur les rotules. Quelques dizaines de minutes après, sans même avoir cherché à manger un morceau, nous sommes au lit, très fatigués mais heureux d’être arrivés à destination. Les vacances peuvent vraiment commencer !

Lever de soleil sur l'aéroport d'Amsterdam

Vendredi 25 janvier : Check out dive !

Après une nuit courte et malmenés par les moustiques (nous avons bien mis la moustiquaire au dessus du lit mais, mal adaptée, elle s’ouvrait sur un coté laissant le passage grand ouvert aux moustiques affamés), nous sommes déjà en train de faire les courses au supermarché "Warehouse Bonaire" à 8 heures du matin. Malheureusement, pas de produits locaux en vue, nous nous passerons donc de yaourt aux fruits tropicaux mais aussi de rhum pour un petit apéro après les plongées (nous n’allons tout de même pas acheter du rhum Bacardi, déjà que cet alcool est à peine du rhum). Le seul produit local que nous trouvons sur les rayons du supermarché est une bouteille de téquila locale (il n’y a que des cactus sur l’île) qui se révèlera avoir un goût "très industrie pharmaceutique". Le rayon viande est bien garni : le néerlandais, ou l’antillais-néerlandais, semble apprécier la viande hachée ou découpée en fines lamelles et marinée. Nous en achetons quelques barquettes et il faut avouer que c’était plutôt bon et vite préparé.

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"Récit du séjour (2 / 27)"
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