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NAMIBIE du 23 août au 14 septembre 2012
Voyage du 23 août au 14 septembre 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 7 septembre : (suite)

Et en parlant de linge sale, c'est dans un état désastreux que nous mettons les serviettes de la chambre car nous prenons une douche avant de partir faire des courses en ville (la veille au Spitzkoppe, nous n'avons pas pu prendre de douche).

En tout premier, nous passons aux bureaux de la "Namibian Wild Resort" pour acheter notre permis d'entrée dans le "Namib Naukluft Park" (nous avions déjà le permis pour camper mais personne n'a besoin de notre bon d'échange, nous aurions pu y camper gratuitement). Nous demandons aux employées où se trouve la poste mais personne ne le sait précisément. Nous continuons donc dans la grande rue de Swakopmund à chercher cette poste. A un croisement, un homme nous aborde : "Comment allez-vous ? Comment vous appelez vous ?". Anne-Marie commence à lui répondre et Christophe râle car elle n'a pas lu le guide de voyage. C'est la (toute) petite arnaque de Swakopmund : les graveurs de noix de Makalani (palmier) abordent les touristes dans la rue, demandent leurs prénoms et aussitôt, une noix se retrouve gravée avec le prénom en question. C'est alors une manière un peu forcée de vendre la noix. Ce n'est pas un problème d'argent mais de temps perdu ensuite en négociation pour ne pas acheter cette noix. Et justement, cette après-midi, nous n'en avons pas trop. Heureusement, le graveur de noix n'insiste pas quand nous lui disons que nous en avons déjà une (ce qui est vrai, même si elle date de 2002).

Quelques dizaines de mètres plus loin, il y a un opticien (allemand). Il n'y a malheureusement pas moyen de réparer les lunettes d'Anne-Marie car il n'a pas de pièce de rechange. Nous lui demandons alors s'il n'a pas des clips à fixer sur les lunettes de vue. Et si ! Pour 150 dollars namibiens, il peut retailler des clips. Mais, c'est parfait ça ! Il nous faut juste attendre une vingtaine de minutes. Nous lui demandons alors où se trouve la poste et avec ses explications, nous arrivons à temps, juste avant la fermeture à 16h30. Le gardien a fermé la porte d'entrée juste après la personne derrière nous. Nous achetons donc une dizaine de timbres pour nos 10 cartes postales. Et nous avons même le temps de coller les timbres et de poster les cartes avant la fermeture de la poste. Timing parfait, car de retour chez l'opticien, les clips d'Anne-Marie sont prêts.

Nous avions prévu de faire les courses au supermarché mais nous les repoussons à demain matin car nous avons arrêté le frigo pour éviter de vider sa batterie. Nous retournons donc à l'hôtel chercher les appareils photo, avant de passer réserver une table pour ce soir au "Lighthouse restaurant & pub".

Nous cherchons alors une terrasse de bar avec vue sur la plage pour boire un cidre mais ça ne court pas les rues et nous ne trouvons au mieux que la cafétéria du musée maritime (et il n'y a pas de cidre). Nous nous rappelons alors pourquoi nous n'aimons pas Swakopmund : nous n'avons pris que deux Coca-Colas et la serveuse, noire, se fait enguirlander par son patron, blanc, car il n'y a que ces deux Coca-Colas sur notre addition ! Déjà, il aurait pu éviter de faire ça à 2 mètres de nous, nous avons tout entendu et en avons pris une partie pour notre grade (jusqu'à preuve du contraire, le client a le droit de commander ce qu'il veut) et secundo, nous ressentons dans cette enguirlandage, un mauvais relent de racisme que nous avions déjà observer dans cette ville en 2002.

Nous parcourons ensuite les rues de Swakopmund pour faire quelques courses très diverses, comme un carte de Namibie neuve qui nous servira au retour pour écrire ce récit de voyage. A côté du supermarché, nous trouvons une boutique d'alcool pour acheter une bouteille de 70 cl d'Amarula pour la fin du séjour (un verre et demi en deux semaines, nous sommes loin du compte), mais nous ne tardons pas à rentrer à l'hôtel car des nuages sont de retour et nous avons froid, nous ne sommes pas assez habillés pour l'hiver.

A 7 heures, nous nous rendons au restaurant. Nous nous rendons compte que c'est celui où nous étions allés en 2002, c'est-à-dire celui où vont manger tous les groupes de passage dans la ville. Et malheureusement ce soir, une grande famille, très anglo-saxonne dans leur comportement, s'y réunit pour fêter un événement quelconque. Ils sont très nombreux et très, très bruyants. Dire que la veille au soir, nous n'étions que tous les deux, seuls au monde, dans le silence du désert. Le contraste est donc saisissant ! Heureusement, passé l'apéritif, les clopeurs du groupe sortent dehors pour se gazer les poumons, ça fait un peu moins de monde et donc un peu moins de bruit. Comme le reste du restaurant est à moitié vide, c'était un peu idiot de regrouper tout le monde dans une seule salle (certes, celle qui offre la plus belle vue sur la mer quand il n'y a pas de brouillard, comme ce soir ;-)).

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"Le Damaraland (13 / 14)"
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