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NAMIBIE du 23 août au 14 septembre 2012
Voyage du 23 août au 14 septembre 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 4 septembre : (suite & fin)

Après le repas, nous remontons jusqu'au bar du camping pour y boire deux cidres bien frais. Une chauve-souris n'arrête pas de faire des allers-retours au dessus de nos têtes pour chasser les insectes attirés par la lumière. Elle doit être grasse cette chauve-souris avec toutes les mouches ;-). Puis, comme nous n'avons bu qu'un seul Amarula depuis le début du voyage (en 12 jours), nous prenons un springbok, un shooter composé d'Amarula et de menthe (délicieux).

soleil

Météo de la journée :
Beau, un petit vent agréable sur "Burnt Mountain" (mais pas au camping).

Mercredi 5 septembre : l'île du désert !

Au lever du soleil, il ne fait que 9 °C dans la voiture, notre record de froid depuis le début du voyage. L'eau pour le thé met des plombes à chauffer. Heureusement, les mouches semblent elles aussi frigorifiées et ne volent pas encore autour de nous. Nous remontons en voiture jusqu'à l'accueil du camping pour payer notre note (134 dollars namibiens pour 4 Coca-Colas, deux cidres et deux springboks) avant de reprendre la route. Au premier village après le camping, quelqu'un a déposé au bord de la route des sacs de bois avec un écriteau firewood mais il n'y a personne à côté. Nous nous arrêtons quand-même et un homme sort aussitôt d'une case située un peu plus loin. Christophe lui demande combien coûte un sac : 20 dollars namibiens (soit moitié moins que le bois que nous avons acheté jusqu'à maintenant). Christophe lui donne un billet de 20 dollars et il semble tout étonné, il devait s'attendre à ce que l'on négocie le prix ? En prenant un sac, Christophe se rend compte qu'il est bien lourd, le bois est bien dense, parfait pour le barbecue comme nous confirme notre vendeur de bois (et c'était vraiment du très bon bois pour le feu).

Très vite, nous apercevons au loin le mont Brandberg qui surgit du plateau (pourtant déjà à 800 mètres d'altitude) comme une île au milieu de l'océan. Au début, Christophe ne croyait pas que c'était cette montagne et pourtant, plus nous nous rapprochons, plus nous avons la confirmation que ce sont les 2.500 mètres du mont Brandberg qui se dressent devant nous !

Sur la route, nous croisons maintenant beaucoup moins de personnes qu'au nord du pays et nous avons aussi beaucoup moins de sollicitations diverses. Il ne reste que quelques "boutiques" de souvenirs le long de la piste. En nous entendant arriver, des femmes Hereros sortent dehors et tournent sur elles-mêmes pour faire voler leurs grandes robes coloniales. A coté d'une de ces boutiques, il y a une case traditionnelle Himba d'où sort une Himba en tenue de cuir rouge : un peu étrange aussi loin de leur région ?

Nous arrivons au "White Lady Lodge" vers 11 heures et demie du matin. Après être passé par l'accueil du lodge, nous passons au bar commander le repas pour le soir. L'atmosphère est un peu étrange car le patron est en train de faire vérifier le niveau de chaque bouteille d'alcool, alors que le perroquet dans une cage au fond du bar nous dit Hello ! Nous rejoignons ensuite le camping qui est pratiquement désert. Les sanitaires sont propres et il n'y a presque aucune mouche. Nous choisissons un emplacement sous un grand arbre pour manger et bouquiner un peu avant d'aller contempler la "White Lady".

A 14h30, nous reprenons le volant et nous arrivons à 15 heures au centre d'accueil du site archéologique. Nous payons 120 dollars namibiens d'entrée (50 par personne + 20 pour la voiture) et l'employée nous dit que nous pouvons avancer sur le sentier, notre guide va nous rattraper. Et quelques minutes plus tard, nous voyons arriver Johnny, le gardien du site (avec son uniforme) mais il se révèle quand-même être un bon guide. Il ne parle pas trop bien anglais, il cherche parfois ses mots mais il arrive à se faire comprendre parfaitement. Bien que ni lui, ni nous ne savons comment dire en anglais "tôle ondulée", il nous mime très bien les ondulations de la piste entre Palmwag et Twyfelfontein, une des pires de Namibie d'après ces dires.

En remontant la vallée jusqu'aux peintures rupestres, Il nous donne un petit cours de botanique en nous montrant l'acacia endémique du massif du Brandberg ou des petites baies que les habitants de la région mangent quand elles sont rouges. Nous sentons alors une odeur de thym et Johnny nous montre l'herbe qui dégage cette forte odeur. Dans la région, cette plante est utilisée comme anti-moustique. Nous apercevons quelques damans des rochers, très furtifs. Il nous montre aussi jusqu'où l'eau peut monter en cas de crue, c'est très impressionnant de s'imaginer qu'il puisse pleuvoir autant dans le coin.

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"Le Damaraland (7 / 14)"
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