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NAMIBIE du 23 août au 14 septembre 2012
Voyage du 23 août au 14 septembre 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 31 août : (suite & fin)

Nous rejoignons ensuite à pied le puits où notre chauffeur est en train de remplir des bidons pour le village. Alors que nous n'avions vu presque aucun homme au village, car ils sont dans les "pâturages" pour s'occuper du bétail, un homme Himba arrive pour aider à pomper. Ces habits n'ont rien de traditionnel (les hommes Himbas ne se recouvrent pas de graisse rouge) mais sa coiffure est tout de même typique : une seule tresse en arrière du crane, comme une seule corne de bœuf. Le chauffeur passe ensuite déposer les bidons au village et nous prenons la route du retour. L'Allemand demande alors au guide combien le chef du village a de têtes de bétail : environ 5.000 têtes et chaque bœuf coûte entre 400 et 500 euros ! Il pose ensuite la question cruciale : est-ce que le tourisme est bon ou mauvais pour les Himbas ? Pour le guide, pour qui c'est son gagne-pain, la réponse est simple : oui, si les visites des villages se font avec un guide !

A 10 heures et demie, nous sommes déjà de retour au camping. Nous passons boire un Coca-Cola au bar, avant de manger, de nous reposer et de nous ennuyer un peu (cette journée est assez contrastante avec les précédentes). Un crocodile sur des rochers au milieu du fleuve apporte quand-même une petite distraction photographique à Christophe. A 15h30 (après avoir bu un Coca-Cola au bar de la piscine et discuté un peu avec le barman originaire de Ruacana), nous retournons voir les chutes en essayant d'avancer plus loin sur le sentier longeant le fleuve. Comme la veille, elles sont magnifiques ! En rentrant des chutes, nous essayons d'aller un peu plus loin dans le village, avant de retourner au bar du camping pour goûter la bière de Windhoek au bar : pas mauvaise mais pas vraiment à notre goût, nous lui préférons nettement les cidres.

soleil

Météo de la journée :
Beau ! Un peu plus frais que la veille (disons, un degré de moins que la veille).

Samedi 1er septembre : Réservoir percé !

Quand le réveil sonne à 6 heures moins le quart, le soleil n'est pas encore levé, il ne fait pas très chaud en dehors de la tente. Heureusement, le temps de passer aux toilettes pour le pipi matinal, les premiers rayons du soleil viennent vite nous réchauffer. Aujourd'hui, nous battons notre record de repliage de tente, car en moins d'une heure, tout est replié et rangé, nous sommes prêts à partir. Enfin, il nous reste encore à aller payer notre note (pas si petite que ça avec l'excursion Himba). La machine à carte bancaire ne fonctionne pas à cause d'une panne sur le réseau téléphonique, heureusement, nous avons assez de liquide pour payer.

Le jour de notre arrivée à Epupa, dans la soirée, un "raft master" était venu nous proposer ses services. Nous lui avons expliqué que nous ne ferions plus jamais de raft. Notre première et seule expérience sur le Zambèze nous avait laissé un souvenir indélébile, nous n'avions plus envie de revivre cette impression de mourir ! Lui aussi a commencé sur le Zambèze et a connu cette même impression. Il n'a donc pas insisté. La veille, nous l'avions recroisé à nouveau et il nous avait demandé si nous pouvions prendre en stop sa femme et son petit garçon qui retournent dans leur famille au Zimbabwe. C'est toujours délicat de prendre un stoppeur inconnu au bord de la route, mais là, en ayant discuté avant, ça ne nous pose aucun problème.

A 7 heures, nous sommes donc prêt à partir mais notre "raft master" n'est toujours pas arrivé, Christophe lui avait dit qu'on partait à 7 heures (parce nous avons beaucoup de route à faire aujourd'hui) mais Anne-Marie qui a toujours du mal de sortir du lit, avait dit 7h30. Quelle heure avait finalement compris notre "raft master" ? Heureusement, dix minutes plus tard, il arrive enfin et nous voilà parti pour Opuwo.

La route est longue, chiante, presque toute droite, quoique faisant un peu montagnes russes avec les passages de gué. Il faut faire attention aux chèvres et aux vaches le long de la route, mais aussi aux jeunes Himbas qui courent à 1 mètre de la voiture en nous suivant (étonnant qu'il n'y ait pas d'athlètes Himbas aux jeux olympiques car ils sont assez sportifs, une jeune fille nous a suivi pendant une dizaine de secondes à 20 - 25 km/h), à ceux qui essaient de vendre des souvenirs, à ceux qui demandent de l'eau (justement, nous n'en avons plus car l'eau le long du fleuve Kunene n'est pas recommandé à la boisson, pour les touristes en tous cas)... C'est impossible de s'arrêter pour tout le monde car nous avons des sollicitations toutes les 5 minutes.

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"Le Kaokoland (4 / 6)"
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