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NAMIBIE du 23 août au 14 septembre 2012
Voyage du 23 août au 14 septembre 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 29 août : (suite)

Nous continuons donc la route vers le nord, en nous arrêtant au point d'eau de Tsumcor. Là, c'est bien mieux, il y a des oryx en train de se battre et de très beaux koudous dont un mâle avec de très beaux bois. Avec la mort dans l'âme, nous quittons le point d'eau une dizaine de minutes après notre arrivée. Nous avons adoré ces trois jours passés à Etosha, et même si nous savons que nous allons faire plein de choses les prochains jours, dont une rencontre avec les Himbas, nous savons aussi qu'en quittant le parc, nos chances de voir des félins, lions, léopards ou guépards, en liberté, ne sont pas nulles mais diminuent comme une peau de chagrin. Nous n'avons vraiment pas envie de quitter le parc national qui s'est révélé vraiment extraordinaire avec tous ces éléphants. Mais nous ne pouvons pas faire autrement, nous avons des réservations pour tout le reste du séjour (sinon, il y a fort à parier que nous serions restés dans les environs d'Halali).

Les trente derniers kilomètres qui nous séparent de la porte d'Andoni ne sont pas extraordinaires, un incendie a dû ravager les plaines du parc car l'herbe a à peine repoussé. Nous essayons de trouver le point d'eau d'Andoni mais on le distingue difficilement. Il semble asséché et en tous cas, il n'y a aucun animal dans les parages. Quand nous sortons du parc, un employé vérifie que nous avons payés les droits d'entrée puis, un policier prend notre numéro de plaque d'immatriculation avec le numéro du permis de conduire de Christophe (décidemment, l'administration namibienne aime bien remplir des carnets). Les vaches remplacent maintenant les zèbres au bord de la route, c'est triste !

Nous ne tardons pas à rejoindre la route goudronnée qui va nous mener jusqu'à Ruacana. Grosso-modo, c'est la route la plus pénible de Namibie car c'est assez peuplé tout le long de cet axe, avec une multitude de troupeaux de bœufs ou de chèvres prêts à traverser la route au dernier moment. Il en est de même pour les ânes qui sont parfois plantés sur le goudron (deux ou trois sont même en voie de décomposition dans le bas-côté).

Puis, il y a les limitations de vitesses aux abords des villages : 120 km/h, puis 100 mètres plus loin, 90 km/h, puis 60 km/h ! Au début, Christophe respecte ces limitations, mais comme personne ne le fait, il finit par faire comme les autres, sans toutefois accélérer jusqu'à 120 km/h, ce qui est une vitesse trop importante pour passer entre les ânes ou les vaches (car les freins du 4x4 sont loin d'être puissants et totalement incapable de stopper les presque 2 tonnes de l'engin sur une dizaine de mètres).

Au début, nous croisons des petits villages, qui deviennent de plus en plus grands (ou pour être exact, longs), jusqu'à devenir des grandes villes comme Ondangwa où nous nous arrêtons pour faire quelques courses. Mais, c'est un peu l'enfer, ça fait presque 4 jours que nous croisons au maximum 20 véhicules par jour sur les pistes et là, il y en a des centaines, dans tous les sens, se garant n'importe comment.

Nous nous arrêtons près d'un petit supermarché adossé à une banque. Pendant que Christophe reste dans la voiture pour la surveiller (nous avons tous les appareils photo sur la banquette arrière, cachés des regards par un sac de couchage), Anne-Marie file au supermarché pour refaire le plein de viande et de boisson (nous n'avons pas pris assez d'eau minérale à Windhoek). Quand elle revient, nous glissons à la hâte toutes les courses sur le siège arrière.

Nous sommes incapables de dire s'il y a un risque d'insécurité, ou pas, mais Caroline nous avait mis en garde contre les pickpockets et dans toute cette agitation, c'est difficile de faire la part des choses. Mais personne n'est en train de faire la manche auprès de nous, ni d'essayer de nous vendre quoique ce soit ou de nous solliciter d'une manière ou d'une autre. Ce n'est pas que nous passons inaperçus mais on nous ignore. Anne-Marie passe alors retirer 2.000 dollars namibiens à l'ATM situé à l'intérieur de la banque, ce qui se fait sans problème car un gardien est là pour surveiller (il aide même les vieilles personnes à utiliser l'ATM).

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"Etosha (17 / 19)"
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