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NAMIBIE du 23 août au 14 septembre 2012
Voyage du 23 août au 14 septembre 2012
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 24 août : Le clignotant récalcitrant !

Quand nous débarquons de l'A-380, un employé de l'aéroport vérifie nos tags de bagages au niveau du premier panneau transfert (correspondance) : cela ne nous donne aucune garantie sur le fait que nos bagages nous suivrons bien jusqu'à Windhoek mais ça nous rassure un peu. A 9h22, nous faisons la queue devant les comptoirs de l'immigration (alors que nous restons dans une zone internationale de l'aéroport ?). Certes, nous récupérons un tampon supplémentaire sur nos passeports mais ça nous a quand-même fait perdre du temps. Heureusement que notre vol pour Windhoek n'est qu'à 12h20, nous nous serions laissé abusé par le site internet de la Lufthansa, nous aurions raté notre correspondance.

Le contrôle de sécurité, situé juste après les comptoirs correspondance des compagnies, se passe sans problème : les appareils photo restent dans le sac et les agents de contrôle sud-africains nous laissent passer avec un grand sourire. Commence alors la longue attente dans le centre commercial de l'aéroport. Nous cherchons un ATM pour retirer quelques rands (sachant que les rands sud-africains sont acceptés en Namibie) mais il n'y en a pas ! Les bureaux de change ont dû faire du lobbying, nous sommes donc obligés de passer par eux. Nous changeons 50 euros ce qui, au cours officiel, aurait dû nous faire un peu plus de 500 rands, mais avec plus de 10 % de commission, nous ne récupérons que 440 rands !

Nous profitons d'avoir du temps pour acheter un adaptateur de prise électrique pour la Namibie (ou l'Afrique du Sud) dans une boutique d'électronique. Il s'agit de trois énormes broches rondes, c'est-à-dire l'ancien format anglais (encore plus gros que le format anglais actuel qui n'est pourtant pas très discret). Ce format est introuvable sur les soi-disant adaptateurs universels.

Comme à son habitude, Anne-Marie abandonne ensuite Christophe avec les sacs à dos sur un siège de l'aéroport pour visiter les différentes boutiques. Elle ne revient qu'une demi-heure après, ce qui est très long quand on reste assis devant une boutique de tongs et de chaussures à paillettes ! Elle a retrouvé la boutique où elle avait acheté les petits verres à shooters (dont le springbok) en 2002, année où elle avait déjà abandonné Christophe dans une autre partie de l'aéroport. Nous achetons ensuite deux Coca-Colas avant de trouver des sièges devant des vitres donnant sur les pistes, c'est bien mieux de contempler le mouvement des avions que des tongs !

Avant d'embarquer, nous nous demandons s'il nous faut manger ou pas ? C'est toujours mieux de manger à l'heure prévue pour se remettre rapidement du décalage horaire (euh, il n'y a pas de décalage horaire avec l'Afrique du Sud ;-) ; mais, avec presque une nuit blanche dans l'A-380, ça fait pareil). Nous trouvons alors un self où nous mangeons pour 174 rands (grosso-modo 17 euros). C'est plutôt bon marché pour deux grandes assiettes de poulet-frites (arrosé de Coca-Cola pour nous remettre du décalage horaire ;-)).

Nous rejoignons ensuite la salle d'embarquement d'où nous montons dans un bus qui nous amène au pied d'un Boeing 737 de la "South African Airways". L'embarquement se finit assez rapidement mais nous attendons une bonne dizaine de minutes, assis dans l'avion, sans que rien ne se passe. C'est juste que nous étions en avance car à l'heure prévue pour le vol, les portes de l'appareil sont fermées et les moteurs mis en route. Pendant le roulage sur le tarmac, le film sur les consignes de sécurité est diffusé sur les écrans vidéo : d'habitude, nous le regardons à peine (à l'image de celui de Lufthansa avec des images de synthèse) mais celui-ci attire notre attention car c'est sous forme de dessin animé humoristique avec un petit bonhomme à qui il arrive des histoires. Oui, nous sommes restés très gamins !

Pendant que défilent sous les ailes de l'appareil les étendues désertiques du Kalahari (du sec, du sec, du sec, un lit de rivière asséchée, du sec, encore du sec, un lit de rivière asséchée, et toujours du sec, ça promet ;-)), les hôtesses commencent par distribuer les boissons avant revenir avec les trolleys remplis de plateaux repas ! Nous avons le choix (universel des compagnies aériennes) : "beef or chicken" ? Comme nous venons de manger du poulet, nous prenons le "beef with pasta". Sur le plateau, il y a aussi une part de fromage assimilé Kiri et un petit gâteau. C'est plutôt bon, sauf que maintenant, nos estomacs vont exploser.

Pendant la descente, nous nous demandons si nous allons bien atterrir sur une piste car il n'y a que du désert, nous ne voyons strictement aucune habitation ! Et pourtant, juste avant le toucher des roues, du goudron fait son apparition et nous atterrissons bien dans un aéroport au milieu de nulle part (celui-ci est à 40 km de Windhoek). L'aérogare est assez petite, nous descendons donc sur la piste et nous traversons à pied le tarmac, ce qui permet à Anne-Marie de prendre une photo de notre arrivée en Namibie.

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"Etosha (3 / 19)"
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