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ROCHEUSES CANADIENNES du 20 mai au 11 juin 2011
Voyage du 20 mai au 11 juin 2011
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 1er juin : Back to winter !

Après une nuit presque tranquille (aux passages de train près), nous mettons 14 minutes pour remonter du camping et rejoindre la transcanadienne. A 7h30 du matin, nous franchissons l'entrée de "Glacier N.P.". En fait, comme il y a une heure de décalage horaire, il est 8h30 pour l'Alberta. Le centre d'accueil du col Roger semble fermé (il était en travaux et ceux-ci ne semblent pas finis). De toute façon, c'est encore le plein hiver ici. Certes, nous avons du soleil mais il y a encore quelques mètres de neige de chaque côté de la route et le parking du col n'est déneigé que sur la voie qui le traverse. Le parking est le domaine des écureuils fouisseurs. Ceux-ci surveillent chaque personne passant à proximité d'eux, pour essayer de récupérer de la nourriture. Ils sont accompagnés de deux geais de Steller, magnifiques oiseaux bleus, qui volent autour de nous certainement dans le même espoir.

Après le col Roger, nous nous arrêtons près d'un site historique, le sentier "Loop Brook", permettant de voir les anciennes installations ferroviaires. La création des parcs nationaux de la région est lié à la "Canadian Pacific", la compagnie de chemin de fer qui a créé la voie reliant la Colombie britannique au reste du pays et qui, en découvrant les sources d'eau chaude de la région, a crée les parcs nationaux pour les protéger mais aussi pour faire venir des touristes, en train évidemment. Le sentier ne fait que 1,6 km mais il est complètement enneigé, nous ne pouvons pas l'emprunter.

Plus loin, nous nous arrêtons au jardin de rocaille mais celui-ci est fermé pour laisser les ours, tout juste sortie d'hibernation, s'alimenter sans être dérangés. C'est un peu frustrant, nous ne pouvons rien faire à part nous promener sur la route et encore : c'est la transcanadienne avec un énorme flot de camions aux remorques multiples qui foncent à toute vitesse. Impossible de flâner dans ces conditions. Vers la sortie du parc, nous repérons un ours noir (le n° 7), dans les pissenlits, à gauche de la route, près d'un petit parking. Il n'y a pas de camion en vue pour traverser la route, parfait ! Clic-clac, il est dans la boîte ;-) !

Nous décidons ensuite de rejoindre "Mount Revelstoke N.P.", nous y aurons peut-être plus de chance. Sur la route entre les deux parcs, un camion a certainement été trop rapide et a fait tout droit dans un virage. La cabine du camion est explosée, il n'en reste presque plus rien.

Le premier point d'intérêt de Revelstoke est fermé à cause de la neige. Le second est heureusement ouvert car au fond de la vallée. Il s'agit du sentier du chou puant, une plante bizarroïde qui possède un gros pistil et trois ou quatre énormes feuilles autour de celui-ci. En cette saison, il ne dégage pas d'odeur particulière. L'endroit est aussi occupé par la prèle fluviatile, une sorte de plante ressemblant à des queues de rats, avec des fleurs minuscules tous les 2 cm sur la tige. Normalement, l'intérêt du sentier est l'observation des oiseaux : nous en entendons bien, nous en voyons même un petit jaune, mais les migrateurs ne sont pas encore arrivés. Finalement, ce petit sentier nous a permis de faire une petite balade de 1,2 km de marche. Nous empruntons ensuite la promenade des près dans le ciel qui est censé mener au sommet du parc, sauf que seulement 8 km de route sont ouverts, jusqu'à un point de vue sur la ville de Revelstoke, intérêt minime.

Sur la route de retour, une chèvre de montagne est perchée sur la falaise au bord de la route, sauf que c'est en pleine zone de travaux, nous ne pouvons pas nous arrêter. Au col Roger, il fait maintenant tout gris. Nous nous y arrêtons quand-même, histoire de refaire des photos des geais de Steller qui cherchent toujours à manger auprès des personnes qui s'y arrêtent.

Nous sortons de "Glacier N.P." en début d'après-midi. Inutile de camper dans les environs, nous décidons de rallier "Radium Hot Springs" au plus vite. A Golden, nous abandonnons la transcanadienne pour prendre la 95. Ca fait du bien de ne plus avoir de camions sur la route. Il faut dire que la conduite canadienne est loin d'être sans reproche. A la sortie de "Glacier N.P.", nous avons même vu une voiture doubler par la droite un camion qui en doublait un autre, et se faufiler entre les deux camions.

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"De Yoho à Kootenay (3 / 8)"
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