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ROCHEUSES CANADIENNES du 20 mai au 11 juin 2011
Voyage du 20 mai au 11 juin 2011
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Parcs Canada : (suite & fin)

A "Radium Hot Springs", c’est le plus grand bassin des parcs, mais la vue est bouchée d’un côté par le bâtiment en béton et la falaise de la montagne de l’autre. Réduction sur le prix d’entrée avec le "pass" du parc national. A "Banff Upper Hot Springs", le bassin est plutôt petit, mais la vue (si les nuages ne la bouchent pas) doit être magnifique. Ces derniers sont les bains les plus chers des parcs nationaux.

Le camping-car :

Nous voulions avoir un hébergement dans les parcs, pour éviter d’avoir à faire une cinquantaine de kilomètres pour nous rendre au départ des randonnées tôt le matin. Il faut noter que ces parcs nationaux des Rocheuses canadiennes ont quelque chose de particulier par rapport aux autres parcs : Jasper, Banff, et dans une certaine mesure, "Radium Hot Springs", sont des villes situées à l’intérieur même des parcs nationaux, avec des hôtels, des restaurants, des B&B... Le choix entre le camping et l’hôtel est peut-être moins évident qu’ailleurs. Voici plusieurs éléments à charge ou décharge du camping-car :

Contre :

• Le prix de la location de cet engin est assez élevé, surtout en pleine saison. Mais nous avons eu la chance de profiter d’une offre promotionnelle, hors saison.

• La consommation en essence de ce genre d’engin est très élevée : notre "19 pieds" faisait du 20 litres aux 100 km (à 70 km/h de moyenne, sans dépasser les 90 km/h). Le passage à la pompe était un long moment de solitude pour remplir les 120 litres de sans plomb du réservoir, à 1,25 $ canadiens le litre (en moyenne).

• Il est important de noter que le camping sauvage dans les parcs nationaux est interdit, il faut donc prendre un emplacement dans un camping des parcs, à environ 30 $ canadiens (emplacement avec électricité, ce qui est utile pour le chauffage et le micro-onde).

• En cette saison (donc hors saison), beaucoup de campings des parcs étaient fermés, si bien que nous dormions près des villes où nous aurions pu trouver une chambre.

• Passé les 90 km/h, l’engin devient difficilement contrôlable, le volant part alors dans tous les sens et on trouve que les larges routes canadiennes deviennent trop étroites.

• Nous avions un engin assez petit, nous n’avons pas eu de problème pour passer partout dans les parcs nationaux (les routes sont larges), mais quid d’un monstre de "27 pieds" ? Pour Calgary, nous avons eu quelques sueurs froides au volant de cet engin (le GPS n’intègre pas la hauteur de l’engin et n’hésite pas à vous faire passer sous des ponts à moins de 2 mètres de hauteur).

• Il est important de noter qu’en pleine saison, les campings sont bondés et qu’il faut réserver à l’avance. On perd alors la liberté de changer le programme, un des avantages du camping-car.

Pour :

• On a toujours la cuisine (et le frigo) avec soi. C’est plus économique de se faire à manger que d’aller au restaurant (le coût de la vie est moindre au Canada, même dans les petits supermarchés, les courses nous revenaient moins cher qu’en France).

• Et de manière général, on a toujours tout sous la main, la "maison" nous suit dans nos déplacements, avec tous les habits rangés dans les placards : pas besoin de refaire les valises tous les matins, pas souci pour chercher le maillot de bain dans la valise qui est tout au fond du coffre de la voiture pour aller se baigner.

Etant donné que nous avons parcouru une distance raisonnable pendant ces trois semaines (environ 2.800 km), nous n’avons refait le plein d’essence que tous les 3 à 4 jours. Le camping-car nous a coûté moins de 80 $ canadiens par jour, en incluant son prix de location, sa "surconsommation" en essence (par rapport à la consommation d’une voiture standard nord-américaine qui doit faire dans les 6 à 7 litres aux 100 km) et le camping. Ce coût est sensiblement moins cher que le prix d’une nuit dans un hôtel, auquel il faut ajouter celui de la location d‘une voiture et le surcoût des repas au restaurant. Par contre, si nous avions fait beaucoup plus de kilomètres, ça aurait été une ruine !

Nous nous en sommes bien tirés au final, tout en profitant pleinement des avantages du camping-car, comme rester confortablement au chaud à jouer aux cartes en attendant le passage d’une éclaircie pour partir en randonnée.

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