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GUADELOUPE du 18 mars au 2 avril 2011
Voyage du 18 mars au 2 avril 2011
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

aime

Inclassable :

Histoire de le redire une nouvelle fois, pour bien faire rentrer le message : nous avons apprécié l’accueil des Guadeloupéens, surtout côté Basse-Terre et aux Saintes (mais nous ne sommes pas allés côté Grand-Terre), de nos hôtes, de notre restauratrice et notre serveuse préférées à Bouillante, etc...

Les plongées autour de Malendure : cette année, la palme de la plus belle plongée revient, roulement de tambour, à celles sur les sources d’eau chaude ! Nous n’avons pas fait la connerie de descendre jusqu’à celle par 40 m de fond (car finalement, il n’y a pas grand chose à voir), mais nous sommes restés dans la zone des 20 mètres et nous avons croisé pleins de tortues imbriquées, des poissons anges français, des murènes, des langoustes, etc... Nous avons eu la chance de refaire la plongée de nuit sur la caye devant le club des "Heures Saines" : nous avons eu du mal à passer au milieu de toutes les tortues vertes et nous avons vu une raie pastenague d’une taille gigantesque ! Le Franjack est une épave très sympathique à visiter par seulement 20 m de fond ! Avec les éponges que boulottent les tortues imbriquées, les fonds sont pleins de couleurs, il y a vraiment de très belles plongées autour des îlets Pigeon.

La p’tite journée aux Saintes : certes, il faut au moins passer une nuit sur l’île pour apprécier les charmes des Saintes (nous y avons passé 10 jours en 1998), mais une petite journée, c’est quand-même bien à prendre. Surtout que nous savions où nous voulions aller : baignade sur la petite plage au pied du Pain de Sucre, repas à la "Douceur des Iles" et sieste digestive à l’ombre des cocotiers sur la plage de Pompierre !

Défilé de la mi-carême : difficile à décrire, des groupes qui défilent en rouge et noir avec des musiciens ? Bref, c'est génial, très bonne ambiance, nous aimons beaucoup ! Il n'y a qu'à regarder les photos et surtout la vidéo.

Distillerie Bologne : en mars, c’est la récolte de la canne, donc l’usine tourne à fond et les alambics laissent échapper une odeur enivrante ! La visite est donc très intéressante (et le cubi de rhum est moins cher à la boutique de l’usine qu'au supermarché).

Les chutes du Carbet : oui, ce sont de bien belles chutes, quand les nuages ne les cachent pas... Suite au tremblement de terre de 2004, la balade jusqu’à la seconde chute est moins intéressante, on reste sur sa faim !

La cuisine antillaise : que l'on mange dans les petits restaurants comme "Chez Dada" ou "La Grillade". Accras, salade de papaye verte, colombo de cabri, fricassée de chatrou, gratin de christophines, boudins antillais, poulet boucané, etc... sont autant de plats que nous adorons ! Cette cuisine créole familiale, gourmande, légèrement épicée (épicée, hein, pas pimentée !) est comme une drogue pour nous. Nous sommes régulièrement en manque, nous sommes donc obligés de retourner en Guadeloupe pour une cure de colombo de cabri !

Le jardin botanique de Deshaies : (l’ancienne maison de Coluche) 14,50 euros, c’est un peu trop tout de même (on peut aussi remplacer "un peu" par "beaucoup"), pour la visite de ce jardin qui est pourtant intéressant (moins que celui des roches gravées à Trois-Rivières).

La grande plage de Deshaies : gigantesque, avec un beau sable roux, sans être noire de monde, c'est certainement la plus belle plage de Basse-Terre. Pas contre, il y a des grosses vagues.

La plage de Malendure : elle est relativement petite, donc, quand il y a du monde, il y a moins de 2 mètres entre les serviettes ! Mais, elle n'est quand-même jamais noire de monde (sauf que pour cette plage, cette expression n'est pas totalement justifiée car c'est une plage de sable noir).

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