-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
GUADELOUPE du 18 mars au 2 avril 2011
Voyage du 18 mars au 2 avril 2011
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Vendredi 18 mars : (suite & fin)

Sans compter que les règlements sont à la hauteur de la formation des agents de sécurité : un règlement qui demande de faire attention au caméscope, mais qui néglige les réflex numériques qui ont pourtant des batteries aussi importantes que celles des petits caméscopes et un règlement qui demande à ce que les PC soient sortis des sacs mais qui laisse indifférent les agents de sécurité devant un phare de plongée contenant plus de batteries qu’un PC.

Pendant que nous passons le contrôle de sécurité, une longue file s’est formée devant les comptoirs d’embarquement. Heureusement, l’embarquement se fait par rangées de sièges et nous devons nous faufiler entre les olibrius qui se sont agglutinés devant les comptoirs sans pouvoir passer. Nous nous asseyons dans l’avion sans avoir attendu une seconde, c’est au moins l’avantage de n’avoir eu que 55 minutes pour le transfert à Orly.

Cela dit, cette course n’aura pas servie à grand chose car quelques minutes après, la commandante de bord annonce qu’une rayure a été repérée sur la carlingue de l’avion et que nous devons attendre le résultat de l’inspection. En plus, il faut un appareil spécial pour mesurer la profondeur de cette rayure, appareil qui n’est pas immédiatement disponible ! Heureusement après 45 minutes d’attente, la commandante de bord annonce que la rayure est dans les tolérances et que nous pouvons décoller en toute sécurité, après avoir refait les pleins (pour la climatisation, le groupe auxiliaire a tourné pendant toute cette attente et a consommé du kérosène).

Nous atterrissons en Guadeloupe avec une heure de retard. Nous rejoignons au plus vite la salle de livraison des bagages sans même présenter une pièce d’identité à la police des frontières. Dans une ambiance "créole pour métro", les gens s’agglutinent devant les tapis et pour récupérer nos sacs qui sortent rapidement, il faut jouer un peu des coudes :-$. Nous sommes Vexé ! donc dans les premiers à sortir et rejoindre le guichet du loueur de voitures : Quickly ! La voiture devra être rendue propre et on nous propose une assurance à 9 euros par jour pour supprimer la franchise de 700 euros : nous ne la prenons pas, nous verrons bien ! Nous montons alors dans la navette pour rejoindre le parking des loueurs (au passage, un mec s’est trouvé un petit boulot en rangeant les bagages dans le coffre de la navette et en demandant un petit pourboire).

Sous un déluge, nous récupérons une Peugeot 107 de 47.000 kms et un peu griffée de partout (nous en faisons rajouter sur le constat de prise en main du véhicule). Le déluge nous accompagne pour nos premiers tours de roues et heureusement, dès que nous passons le col des Mamelles, le soleil est au rendez-vous.

En arrivant à Pigeon-Bouillante, nous nous arrêtons au supermarché : ce n’est plus un "Match" mais un "Marché-U" avec des "produits U" à profusion, c’est à dire des produits venant de métropole :-$. Exit donc les bons jus de fruit locaux de marque Royal ! Mais, c’est quoi ce délire ? Nous, nous voulons du jus de goyave rose mais pas du jus de pomme ! Le comble du ridicule est le rayon rhum : bouteille de Dillon (rhum de Martinique) à 15 euros ! Alors qu’à une trentaine de kilomètres de là, la bouteille de Bologne (bien meilleur que le Dillon) est à 7 euros à la distillerie. Il y a fort à parier que la bouteille de Dillon a, dans un premier temps, fait le voyage Martinique – métropole pour être achetée par la centrale d’achat des magasins U, avant de refaire le voyage inverse pour finir sur le rayon du magasin.

Au gîte, les propriétaires nous accueillent avec un verre de punch maison, c’est très sympathique. Le frigo est rempli avec un litre de jus de fruit, il y a des fleurs sur la table du séjour, des fruits sur le bar de la cuisine, un hamac sur la terrasse (pour celui qui fait la vaisselle d’après Nicole ;-)) avec vue directe sur les îlets Pigeon. Nous devrions être très bien pendant ces quinze jours, tout est parfait.

Pour le repas du soir, ça faisait deux semaines nous avions déjà choisi le menu, car Dada est ouverte le soir en saison : entrée avec 3 accras et crudités dont de la salade de papaye verte, colombo de cabri et glace coco, le tout à 12,50 euros le menu. En plus cette année, Dada a du punch coco pour l’apéro, 3 euros le verre pour un liquide absolument délicieux. Ca faisait si longtemps qu’on rêvait de ces accras et de ce colombo de cabri ! La serveuse nous a reconnu, c’est de bon augure pour demander à Dada de nous préparer une langouste (elle n’aime pas les faire, mais elle les cuisine pourtant à merveille).

eclaircie

Météo de la journée :
Pointe-à-Pitre : déluge, Pigeon-Bouillante : soleil !

Page n° 6 sur 23 :

"Récit du séjour (2 / 18)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.