Mardi 9 février : (suite)

Chez le loueur, à part l'employé qui fait trois fois le tour de la voiture de façon suspicieuse (il ne manquerait plus qu'il trouve quelque chose à redire), ça se passe très rapidement et nous sommes déposés au hall de départ seulement quelques minutes avant qu'un énorme orage s'abatte sur l'aéroport. C'est nous ! Oui, la pluie, c'est nous ! Nous avons invoqué Cha'ac la veille. Il pleut tellement qu'il commence même à pleuvoir dans l'aéroport qui fuit de partout (surtout dans le hall d'enregistrement). Nos trois bagages sont enregistrés jusqu'à Toulouse, tout va bien.

Nous passons rapidement les contrôles de sécurité sans encombre (ils le font exprès en France ou quoi ?) et nous repérons la porte d'embarquement où se déroule l'embarquement d'un vol pour les Etats-Unis : un à un, les passagers doivent être palpé après avoir enlevé leurs chaussures.

Christophe s'était promis de boire une dernière "Negra Modelo" à l'un des bars de l'aéroport. C'est chose faite, mais Anne-Marie ne peut pas se faire une dernière "tequila sunrise" : parce qu'il n'y a plus de ... jus d'orange. Mais, elle se rattrape en finissant nos derniers pesos dans l'achat de divers petits souvenirs (dix fois plus chers qu'à Tulum). Il ne reste plus de 18 pesos, soit 90 centimes d'euros !

Dans l'avion, nous ne sommes pas surclassés. Les sièges sont bien plus étroits (en largeur) que ceux de la classe "Confort". Le plateau repas : euh, très bof, voire limite pas bon.

Météo de la journée :
Soleil voilé mais suffisant pour prendre un coup de soleil en deux heures sur la plage. Gros orage, le soir (la température était étouffante, il faisait très humide juste avant l'orage).

Les cascades d'"Agua Azul"

Mercredi 10 février : Où sont les degrés ?

Pour le petit déjeuner dans l'avion, il n'y a plus que des sandwichs à la dinde, servis avec un jus d'orange, tout, tout petit (nous avons pris de mauvaises habitudes dans les hôtels suffisamment chics : fini le grand jus d'orange frais).

Quand nous atterrissons à Amsterdam, les paysages sont encore sous la neige. Il fait -2 °C . Hier, nous avions encore plus de 30 °C, ça fait un choc ! Et encore plus au moment où il faut descendre du bus pour monter dans le Fokker en direction de Toulouse : il faut attendre sur le tarmac, nous sommes frigorifiés par un petit vent glacial !

A Toulouse, guère mieux : + 1 °C (positif tout de même).

Palenque (les deux photos ci-dessus)