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YUCATAN du 24 janvier au 10 février 2010
Voyage du 24 janvier au 10 février 2010
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 27 janvier : (suite)

A part un couple qui est rapidement passé pendant notre visite, nous sommes tout seuls sur le site. Elle peut sans crainte laisser les sacs au pied de la pyramide pour faire l'ascension. Malheureusement, alors que nous avions eu du soleil à notre arrivée sur le site et pendant le temps des photos, les nuages recouvrent maintenant le site. C'est beaucoup moins photogénique (le gris du ciel, avec le gris des pierres, ça ne ressort pas vraiment).

Après 2 heures de visite, nous retournons sur Mérida. Nous retrouvons rapidement le soleil mais seulement pour une courte durée, les nuages nous rattrapent vite. Nous décidons alors de visiter le musée d'anthropologie, vraiment très intéressant, surtout le rez-de-chaussée avec les différentes sculptures. Nous sommes encore dans les pas d'Indiana Jones (après Venise et Pétra). Malgré l'amalgame du film entre les Incas du Pérou, les Mayas du Yucatan et une civilisation du 3ième type (Spielberg a toujours aimé les extra-terrestres et il en a mis à toutes les sauces), nous découvrons que les cranes allongés en arrière ont bien été une réalité des Mayas qui déformaient les boites crâniennes des nouveaux-nés pour raison esthétique. Après, d'où viennent ces critères de beauté ? Qui sait ?

En sortant du musée, nous remontons les Champs Elysées de Mérida. Avec les nuages, c'est vraiment comme sur l'avenue éponyme de Paris : tout gris ! Quand nous arrivons sur la grande place, à peine avons nous le temps de nous asseoir sur un banc qu'un rabatteur nous aborde. Celui-ci attend un ami qui est en retard, le quart d'heure mexicain, et il a envie de discuter un peu. Ces rabatteurs n'abordent pas directement leur sujet principal mais ils commencent par la pluie et le beau temps : "comment trouvez-vous Mérida ? C'est bien mieux que Cancun, etc..." Et bien sûr, au détour de la conversation, on arrive aux magasins d'artisanat ! Anne-Marie lui cloue le bec en citant (presque) tous les magasins d'artisanat de la place. Il comprend vite qu'on connaît le coup. Et son ami qui n'est toujours pas arrivé, il est vraiment long le quart d'heure mexicain. N'ayant eu que peu de succès avec nous, il repart attendre son ami auprès d'autres touristes. Bah, ce n'était pas méchant, ni agressif.

Comme les nuages ont décidé de camper au dessus de Mérida, nous en profitons pour nous rafraichir d'un petit "milk shake" au coin de la place (ou pour être exact, des boules de sorbet dans du lait, mais ce n'est pas mauvais). De retour vers hôtel, nous passons par la case ATM et "gagnons" 3.000 pesos, de quoi en avoir pour plusieurs jours (au moins pour les trois jours à Uxmal, au milieu de nul part).

Ensuite, nous continuons d'améliorer notre espagnol devant "Stargate SG-1" à la télé (c'est sûr, le docteur Daniel Jackson n'existe pas ? Donc, on ne peut pas lui envoyer la théorie révolutionnaire de Christophe concernant Cha'ac, le dieu maya de la pluie qui possède une trompe comme celle d'un éléphant, comme si c'était une très ancienne mémoire collective des peuples originaires d'Asie qui ont traversé le détroit de Béring. Ah non ? Ca ne marche pas pour l'éléphant ? Il n'y en avait pas à l'époque ! Mais un mammouth, ça peut marcher avec un mammouth ?).

Pour aller au restaurant (le premier que nous avions repéré la veille, le "Peón Contreras", situé sur la "calle 57-A"), nous prenons la voiture que nous garons dans un parking payant : 11 pesos de l'heure, nous n'allons pas nous ruiner ! Nous commençons par commander deux plats (un chacun) ainsi que deux margaritas. Le serveur nous demande comment la préparer : est-ce qu'on sait nous ? Notre vocabulaire en espagnol nous étonne : avec de la glace pillée ! Oui, comme ça, ça sera parfait (et oui, c'est très rafraichissant avec la glace pillée, comme un sorbet, qui fait tourner la tête). Le serveur propose une soupe ou un guacamole. Oui, le guacamole, c'est une bonne idée pour l'apéro. Christophe demande à Anne-Marie si elle veut aussi des nachos (chips de maïs recouvert de fromage) mais "Mme Plus" dans l'âme, commande carrément des "nachos especial", 80 pesos, aussi "cher" qu'un plat. Ce n'est pas un problème d'argent, car il n'y en a que pour 4 euros, mais pour ce prix, nous en avons une tonne : les chips, le fromage et le poulet sont en abondance ! Ca va bien pour éponger les effets de la margarita plus alcoolisée que celle de la veille. Le guacamole est aussi très bon, bien meilleur que celui de la veille.

Mis quand nous avons finit l'apéro, nous n'avons plus faim ! Anne-Marie touche à peine à ses tacos au "cochinita pibil" mais Christophe se fait péter le ventre avec son plat composé des différentes spécialités du Yucatan. Il commande alors une Corona pour aider à faire glisser. 596 pesos le repas : une fortune ;-) !

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