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YUCATAN du 24 janvier au 10 février 2010
Voyage du 24 janvier au 10 février 2010
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 25 janvier : (suite)

Une fois le plein fait, nous prenons la direction de "Chichen Itza". Nous croisons bien un panneau indiquant "Chichen Itza", mais il s'agit de la rue (ou de l'avenue) éponyme de Cancun. Sinon, il n'y a aucun autre panneau, il faut faire confiance au GPS. La veille, nous sommes déjà passés là : c'est bien l'avenue "Lopez Portillo" que nous remontons sur sa globalité avant de quitter Cancun. Bien que nous en ayons eu un aperçu la veille, nous découvrons les topes, ces monstrueux et bedonnants gendarmes couchés qui barrent la route de part en part. En ajoutant les taxis qui nous dépassent des deux côtés, ces premiers kilomètres sont assez stressants. Anne-Marie est alors chargée de surveiller et signaler tous les topes, afin d'éviter de laisser notre carter sur la route.

Heureusement, dès que nous rentrons sur l'autoroute, la circulation devient quasi nulle et les topes disparaissent de la circulation. A part quelques autocars de touristes qui nous dépassent à toute vitesse (nous respectons les limitations de vitesse), il n'y a plus de piège à éviter (si ce n'est des personnes en tricycles, jaunes pour la plupart, qui ramassent du bois sur la bande d'arrêt d'urgence). En plus, sur l'autoroute, le site archéologique est bien indiqué par des panneaux (ce qui est le cas de tous les sites touristique, dans un rayon de 50 km autour de ceux-ci).

C'est comme dans la fable de la Fontaine : "rien ne sert de courir si les toilettes sont petites". Tous les cars qui nous ont dépassés attendent maintenant leurs passagers qui font la queue aux toilettes du péage. Nous étions surpris au début de l'autoroute : pas de ticket ou de péage pour rentrer sur l'autoroute. Mais à la frontière entre le "Quintana Roo" et le Yucatan, nous passons quand-même au tiroir caisse : plus de 200 pesos ! Notre stock de pesos fond à vue d'œil. Nous nous demandons même comment nous allons payer le prochain péage (qui n'accepte que du liquide).

En arrivant à Piste, le péage est heureusement dans nos cordes. En nous dirigeant vers la bretelle de sortie, un homme nous aborde. Que veut-il nous vendre ? Rien à priori, nous sommes bien surpris ! Il nous donne juste un prospectus. Dès l'entrée de Piste, un panneau indique la direction de l'hôtel, ouf ! Il n'est même pas encore 10 heures du matin et nous nous demandons si l'hôtel va bien vouloir nous donner une chambre ? Et oui ! Malgré le terminal bancaire qui refuse d'obtempérer (ils semblent surpris que ça ne fonctionne pas dans cet hôtel), on nous amène à une petite chambre, bien mignonne.

Après une vérification de l'état du moteur de notre chiotte roulante (qui a l'air nickel, tout comme le comportement routier de la voiture ; si au moins, ça pouvait nous rassurer malgré l'affreux bruit qu'émet parfois la boite de vitesse au démarrage du moteur Beurk !), hors que question de glander : il nous faut refaire le plein de pesos et trouver à manger ! Car il fait beau, nous allons faire la visite du site dans l'après-midi.

Pas facile de trouver un bureau de change à Piste, mais on nous indique qu'il y a un à l'entrée principale du site archéologique. Le tout est de trouver comment y aller sans payer le parking (ce qui est un peu idiot car à l'hôtel d'où nous pouvons rentrer sur le site, nous pouvons la garer gratuitement). La solution est simple : Anne-Marie marchera un peu pendant que Christophe attend dans la voiture, sur la route d'accès au site. Pour le repas, nos estomacs n'étant pas encore spécialement acclimatés, nous retournons manger un sandwich au pain de mie, pas terrible, dans un Oxxo au centre de Piste. Ironie du sort, le magasin possède un ATM (distributeur bancaire) Vexé !.

A 13h30, nous quittons l'hôtel pour visiter le site archéologique. Au guichet d'entrée, on nous bague (avec un bracelet en papier mauve) pour nous permettre de revenir sur le site le soir, afin d'assister au "son et lumière". Le chemin traverse ensuite la forêt. Des vendeurs d'artisanat ont installé leurs "objets" (souvent très kitchs, comme des masques africains, euh, non, mayas) le long du chemin (dans le site même). Heureusement, ils ne nous sollicitent pas trop. Et soudain, entre les arbres, nous découvrons la grande pyramide, le Castillo : 8 niveaux et 4 escaliers de 92 marches. C'est assez grandiose et nous n'avons pas assez de recul pour que la pyramide tienne en entier dans le viseur de l'appareil photo. Quant à l'objectif grand angle utilisable qu'avec le boitier argentique : les pellicules photographiques sont restées dans le frigo à la maison pour les conserver à l'abri de la chaleur Vexé ! ! Et bien sûr, hors que question de partir à la recherche d'une pellicule diapo au Mexique, déjà qu'en 1996 aux USA, ça avait été galère. Alors maintenant, depuis l'avènement du numérique, ce n'est même plus la peine d'y penser.

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