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GUADELOUPE du 15 novembre au 5 décembre 2008
Voyage du 15 novembre au 5 décembre 2008
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 26 novembre : (suite)

Nous faisons ensuite un tour dans les hauts, puis nous redescendons au bourg et nous nous mettons à la recherche des "galeries" : une curiosité géologique indiquée par notre guide. Nous découvrons une sorte de four à pizza (après être passé sur l'île de la Réunion, nous pensons plutôt à une galerie de lave formée par une bulle de gaz volcanique, mais d'après le guide, cette étrangeté serait d'origine corallienne). Il y a bien un chemin de randonnée qui semble longer une falaise, chemin assez peu praticable. Il y a un panneau à terre : mais quel côté indiquait ce panneau ? Nous faisons rapidement demi-tour. Nous essayons d'aller voir plus loin, mais il semble que nous sommes arrivés au bout du monde, d'après l'indication d'un autre panneau. Bref, nous n'avons pas vu ces galeries.

Nous remontons ensuite vers le moulin de Bézard au centre de l'île : très joli moulin restauré en 1994, qui a un toit et des pales. Le gardien semble arrondir sa paye en vendant des produits locaux dont de la noix de coco grillée (et parfumée à l'orange). Nous faisons aussi connaissance de Jean-Paul qui tient un camion buvette à proximité du moulin. Il ne fait pas à manger le midi (le soir, il prépare des agoulous mais nous ne savons pas si nous allons revenir le soir). Il nous conseille d'aller manger chez Sarah, un petit restaurant à la plage de la Feuillère. Jean-Paul nous conseille aussi "Galante Traiteur" et d'y manger du bébélé, le plat national de Marie-Galante. Malheureusement, il indique l'ingrédient principal du plat à Anne-Marie qui n'aime pas les abats. Nous repartons donc manger du poulet boucané chez Sarah, les pieds dans le sable (pas trop mauvais : le poulet est bien du poulet boucané mais un peu plus d'épices aurait été le bienvenu, même si le cuistot nous a dit qu'il n'en met pas pour plaire aux gosiers des touristes ; ceux-là, ils ne savent pas ce qu'ils ratent Vexé !)

Après le repas, nous faisons la sieste - baignade sur la plage. L'eau y est plus claire qu'à la plage de Vieux-Fort, la barrière de corail la protégeant. Mais cette barrière de corail est un peu trop loin pour aller y nager et découvrir les poissons avec le masque. A 15h30, Anne-Marie a une envie pressante et nous repartons en direction de Grand-Bourg pour trouver un bistrot mais les rues ne sont toujours pas très praticables. Nous remontons donc jusqu'au village de Ménard pour satisfaire ses besoins (ah, ces petits détails de la vie, nous espérons que nos attentionnés lecteurs partagent notre intérêt pour ce moment que nous avons pris soin de bien noter le soir et de retranscrire dans ce récit, il faut dire qu'il articule le reste du récit de cette journée passionnante ;-)). Nous passons ensuite voir l'anse Canot : nous n'y verrons pas le coucher de soleil sur les Saintes. C'est donc à Saint-Louis, sur les trottoirs en reconstruction, que nous attendons le soleil venir se poser délicatement entre les îles de l'archipel des Saintes.

Nous passons à la supérette de Saint-Louis (pour éviter de retourner à Grand-Bourg et sa décoration urbaine) : pas de frais, juste du surgelé dont nous pouvons nous demander s'il a bien suivi la chaîne du froid (cela dit, cette supérette a un bloc électrogène devant ses locaux ; si nous nous méfions des surgelés, c'est que nous avons appris, entre autres ragots, que la dite famille qui prend ses employés pour des moins que rien, fait aussi des économies d'électricité : en coupant toute l'électricité de ses magasins, la nuit, y compris des congélateurs ! Même si on peut espérer que ce n'est sûrement pas le cas de cette supérette qui a investi dans un groupe électrogène, la présence importante de givre sur les parois des congélateurs ne nous rassure pas, de quelle taille sont les maillons de la chaîne du froid ?).

Nous passons au Wok où nous pensions juste commander des plats à emporter et ainsi siroter tranquillement un ti'punch dans notre studio. Mais le propriétaire nous dit que c'est le même prix sur place et qu'il peut aussi nous servir le ti'punch. L'endroit est agréable, en bordure de plage, même si les moustiques le sont beaucoup moins. C'est peut-être pour ça que le propriétaire nous offre le deuxième ti'punch : pour anesthésier les piqûres ? (non, je blague). Le sympathique patron, Rémi, d'origine asiatique mais Bordelais avant tout, tenait un magasin d'informatique à Bordeaux (il assemblait les PC sans avoir la moindre connaissance en informatique), avant de décider que le climat bordelais était trop froid pour lui. Il a donc suivi une formation pour devenir marin-pêcheur et il a exercé pendant 12 ans à Marie-Galante avant d'ouvrir ce restaurant de cuisine asiatique.

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"Marie-Galante (3 / 12)"
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