Lundi 28 avril : (suite & fin)
Après la visite du Duomo, nous retournons sur la "Piazza Del Campo". Christophe a l'idée d'essayer sa carte bancaire dans le distributeur automatique récalcitrant. Elle fonctionne correctement. Nous sommes donc sauvés : Anne-Marie peut acheter sa glace quotidienne (pas très bonne ; mais après celle de Venise, nous sommes mal habitués). Nous quittons ensuite Sienne car nous avons encore deux heures de voiture et des courses à faire. Cette fois, nous acceptons que Catherine nous propose de passer par les péages. Pour 50 centimes d'euros nous repassons par la SGC SI-FI et nous avons gagné 30 minutes de route (en fait, il y avait seulement un petit bout d'autoroute payante, juste en arrivant sur Florence ; si nous avions su).
Météo de la journée :
Brumeux dans la matinée, soleil en fin de matinée avec quelques passages nuageux dans la journée. Le temps se couvre le soir.
Mardi 29 avril : Premiers conctacts avec Florence.
Au lever, il pleut à verse ! Nous décidons alors d'aller faire le plein de pâtes pour manger au gîte le soir. Nous avons le choix entre des spaghettis n° 1, 3, 5, 7, 9, 11 et n° 13 avec le choix de sauces différentes qui vont avec ! Nous en avons profité pour passer par la gare d'Empoli pour vérifier les horaires de train et la disponibilité des places de stationnement à côté de la gare (il y a un parking payant).
Après notre plat de pâtes pour midi, nous partons vers 14 heures pour Florence (comme nous avons le temps, nous verrons bien s'il est possible de trouver un parking moins cher que celui d'Empoli). L'arrivée dans Florence est assez perturbée, car un tramway est en construction. Nous avions programmé l'adresse d'un parking sur le GPS, mais ce tout petit truc était complet, comme le grand parking de la gare. Nous finissons par abandonner la voiture au parking Parterre à côté de la place de la liberté, c'est-à-dire relativement loin du "Palazzo Vecchio" et du Duomo (environs 3 km). Nous utilisons le GPS pour rejoindre ces points intérêt mais la réception n'est pas très bonne, si bien que nous avons bien dû faire un kilomètre supplémentaire à pied (ensuite, nous nous sommes achetés une bonne vieille carte papier de la ville).
L'idée était de passer à la Galerie des Offices pour réserver la visite. Nous découvrons alors une porte n° 1 (réservée au groupe et aux personnes avec une réservation), une porte n° 2 avec une énorme file d'attente (au moins deux heures de file d'attente), et la porte n° 3 où il n'y a pas grand monde mais où il nous semble que c'est l'accueil pour retirer les billets réservés à l'avance. Mais où est la porte pour réserver ? Devant le manque de réponse à cette question, nous optons pour la fuite : direction le "Ponte Vecchio". Nous continuons ensuite sur le palais Pitti pour vérifier là aussi les horaires d'ouverture (et les prix d'entrée).
De retour à la Galerie des Offices, un employé nous indique où il faut aller pour réserver les billets : le "hall Michel" ou à 17 heures à la porte n° 3. Mais où est donc ce "hall Michel" ? De nouveau, nous optons pour la fuite : direction un glacier (toujours moins bon que celui de Venise). Et c'est en revenant du glacier que nous découvrons le "Hall Michel" : c'est à la "Chiesa di Orasan-Michele", un guichet sur la façade de l'église vend des billets (moyennant 4 euros de plus, mais qu'est-ce qu'un euro comparé à deux heures de file d'attente). Les premières places disponibles sont pour le samedi suivant, à midi. Comme nous avons lu que c'est le plus grand musée du monde (c'est ce qui est écrit dans le guide Géo ; en septembre, nous avions visité le Louvre, au pas de charge, nous avions eu du mal à passer dans tous les couloirs du musée en une journée, une demi-journée ne serait donc pas suffisante pour la Galerie des Offices), nous décidons de prendre les tickets pour le dimanche matin, à 9 heures.
Avec le soleil de retour, nous décidons de flâner devant la "Palazzo Vecchio", le "Ponte Vecchio" (et ses bijouteries, pas cool ) et de trouver un bar pour aller faire pipi (5 euros le café à deux pas du "Ponte Vecchio", gloups
). C'est en revenant devant le Duomo que le soleil décide de s'éclipser à nouveau. Sur la longue route de retour vers le parking, nous en profitons pour acheter quelques antipasti pour agrémenter le repas du soir (des petits poivrons farcis au thon, délicieux mais épicés).
Météo de la journée :
Il pleut des cordes toute la matinée. En arrivant sur Florence en début de journée, les nuages s'écartent doucement, laissant une soirée sous le soleil.